D.Gray'man - Le Réveil de Pandore
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Hikari Hakumei - La lumière céleste

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AuteurMessage
Hikari Hakumei

Hikari Hakumei
La Lumière Céleste †


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Hikari Hakumei - La lumière céleste Anti12

Forget these empty lies.

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Hikari Hakumei - La lumière céleste Vide
MessageSujet: Hikari Hakumei - La lumière céleste Hikari Hakumei - La lumière céleste EmptySam 26 Déc - 8:10

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    Hikari Hakumei
    La lumière céleste

    TELL ME HATE SHOW ME LOVE



    # FICHE D'IDENTITÉ


    Date de naissance; 17 Février
    Origine; Japonaise
    Groupe sanguin; B négatif
    Race;Humaine


    # MY STORY

    Histoire; (20 lignes minimum)

    17 Février. 16 ans auparavant. La naissance de deux lueurs.

    Les fleurs de cerisiers s’étaient tues depuis bien longtemps. Le ciel en ce jour déversait paisiblement d’épais flocons lumineux. Dans un grand manoir, des cœurs pulsaient lentement, la chambre toute entière paraissant vibrer au rythme de ce chant si rassurant, et pourtant éphémère. La mélodie des battements sourds s’offrait comme la preuve tangible que la vie continuait. Que malgré les cris qui un instant auparavant avaient empli la pièce, la paix ne s’était pas brisée sans nul espoir de la voir revenir. Elles étaient deux désormais. Deux pour affronter ce monde qui de ses yeux torturés se contentait d’assister, en impuissant spectateur, à l’avancée lente du plan du Comte Millénaire.

    La lumière, et l’ombre douce. Deux lueurs qui somnolaient dans la nuit d’hiver. Dans le domaine, tous célèbreraient la naissance des deux héritières. Mais dehors, le firmament sanglotait, laissant s’évader de lourdes larmes glacées, présageant d’un futur bien sombre pour ces deux enfants endormies l’une contre l’autre, presque confondues tant elles étaient proches. Leurs souffles se mêlant. Elles étaient deux. Deux pour affronter le monde. Deux pour apprendre plus tard à être incomplètes. A ne plus être qu’une.

    L’écume des jours.


    Et le temps continua sa course folle. D’akumas en akumas. De meurtres en meurtres. De sourires en sourires.
    Hikari et Meian grandirent. L’histoire de l’une ne peut être que l’histoire de l’autre. Celle d’un même être aux deux cœurs, au souffle double qui sursaute doucement. Filles d’aristocrates, elles furent abondamment instruites. Rapidement, leurs langues se délièrent, et les parfaites petites devinrent d’insolentes enfants qui ne pouvaient s’empêcher de briser le silence pour faire des commentaires pertinents. Elles avaient un avis sur tout, du moins tant qu’elles demeuraient dans l’intimité de leur précieuse et parfaite famille. Lorsque quelqu’un venait les visiter, elles s’offraient alors en radieuses poupées de porcelaine. A la peau si lisse, et pourtant si faciles à briser. On ne voyait jamais Hikari sans Meian et la réciproque était tout à fait valable. Leurs caractères avaient beau différer, elles étaient toujours d’accord et jamais on ne les vit se disputer. Leurs parents, qui avaient bien l’intention de les marier à de riches jeunes hommes, et donc de les séparer dans le futur, entreprirent alors une bien difficile tâche :
    Leur apprendre à exister l’une sans l’autre. Est-ce à cause de cette décision que tout bascula ? Allez savoir. Toujours est-il que tout changea lorsque chacune fut jetée dans une chambre individuelle, obtint un précepteur particulier… Elles ne se voyaient plus que lors de courtes récréations, et lors des repas en famille. Cela ne dura pas plus d’une semaine. Chaque nuit des hurlements résonnaient dans les couloirs. Elles ne pouvaient trouver le sommeil. Savez-vous ce que ressent un cœur écartelé, un être incomplet ? Elles, le savaient. Puis vint la nuit qui bouleversa leur vie à jamais. Peu importe qui, peu importe comment ; les verrous sautèrent. Les portes s’ouvrirent. Hikari, qui avait toujours été plus faible que sa sœur, plus dépendante sans doute, vint se blottir dans le lit de Meian. Et, longtemps, elle pleura. Son cœur paraissait hurler. Ce fut lors de cette nuit qu’elle comprit que la séparation avait été réussie. Elle ne pouvait toujours vivre sans sa jumelle, pourtant elle savait que l’être qu’elles avaient formé s’était dissocié. Il n’y avait plus la petite fille forte née de deux cœurs liés. Juste deux sœurs, l’une pleurant contre l’autre. Lorsque les larmes se furent taries, alors elles se levèrent, dans le froid de l’hiver. Leurs pieds nus soulevèrent la poussière dans des couloirs peu empruntés. Et les deux formes frêles s’évadèrent dans la nature. Deux silhouettes qui couraient, frigorifiées, dans la neige, leurs pieds nus s’enfonçant dans la masse immaculée, leurs chemises de nuit flottant derrière elles.

    Et elles s’éloignèrent. Laissant derrière cette maison où elles avaient cru pouvoir être heureuses. Leur lien se raffermissait un peu, alors que leurs mains étaient étroitement serrées. Elles coururent, espérant sans doute réchauffer leurs orteils glacés, jusqu’à la forêt qui bordait le domaine. Les arbres qui leur avaient autrefois paru si chaleureux, jetaient leurs branches minces vers le ciel sombre à la recherche d’un rayon de lumière. Puis il y eut un bruit intense. Des mains les saisirent, et elles furent avalées par la forêt. Englouties par les ténèbres…

    ***


    Froid. Il faisait incroyablement froid.
    Peur. Elle avait tellement peur… Les hommes les emmenaient au loin. Là où elles auraient voulu aller, mais seules. Pas prisonnières de ces hommes. Ils voulaient demander une rançon à leurs parents. D’après eux cela faisait des mois qu’ils guettaient une occasion de les enlever. Des mois qu’ils préparaient leurs coups. Et alors qu’ils allaient mettre le feu à l’aile est de la maison pour profiter du vacarme et les enlever, elles étaient sorties. Tout avait donc été plus simple. L’un d’eux avait déjà envoyé une lettre à leurs parents. La somme qu’ils voulaient était exorbitante. Mais les deux lueurs savaient qu’elles étaient aimées. On paierait pour elle. Alors elles retrouveraient leurs lits. Et le bonheur reviendrait, effaçant le spectre du chagrin qui tourbillonnait autour d’elles.

    ***


    Trois jours. On leur avait dit que leurs parents hésitaient à se ruiner. N’étaient elles que des poupées que l’on jetait quand elles commençaient à prendre la poussière ? Elles n’avaient même plus de larmes pour pleurer. Hikari et Meian étaient assises au beau milieu des hommes, tremblantes. Même les brigands commençaient à avoir pitié. Mais pas à s’attendrir. Ils exécraient sans doute simplement un peu plus les parents qui préféraient leur fortune à leurs deux filles. Le désespoir achevait d’affermir son emprise sur les deux enfants, lorsqu’un messager apparut. Ils allaient payer, enfin. Elles allaient rentrer à la maison. Mais rien ne serait plus pareil, elles en étaient conscientes. L’argent changea de main. Beaucoup d’argent. Et des bras forts les saisirent pour les ramener à la lumière du jour. Elles découvrirent à nouveau l’étreinte de leurs parents. Mais toutes leurs certitudes s’étaient évanouies. Elles avaient peur, encore. Car tout avait changé, à jamais.

    ***


    Il fallait les marier. Elles n’avaient que 15 ans mais elles étaient belles. Des amis de la famille voudraient peut-être d’elles ? Oui, il fallait à tout prix les marier. Les Hakumei étaient ruinés. Totalement. C’était de leur faute, tout ça ! La fortune familiale était entièrement partie en fumée. Tout ça parce qu’elles avaient cru bon de s’enfuir. Désormais ils étaient mépris par tous les nobles. Ils n’étaient plus que des prolétaires qui tentaient par le biais d’un travail acharné de retrouver leur fortune d’autrefois.
    Les gamines étaient reconnaissantes. Si ils les mariaient, sans doute pourraient-ils bénéficier d’un peu d’argent de leur part. Et ils se referaient une place dans le monde. Oui, c’était parfait. Ils allaient commencer dès maintenant à leur chercher des maris riches.

    ***

    Meian et Hikari étaient devenus des adolescentes parfaites. Toujours emplies de chagrin et de culpabilité au souvenir de leur erreur qui leur avait arraché le bonheur, elles avaient travaillé dur pour satisfaire leurs parents. Leurs esprits étaient des merveilles de subtilité. Elles ne parlaient que peu désormais. Mais lorsqu’elles ouvraient la bouche, chacune de leurs paroles était intelligente, utile à la conversation. Elles ne dormaient plus ensemble. Du moins c’est ce que pensaient leurs parents. Oui, elles avaient été forcées de s’éloigner, pour le bien de leur famille. Car c’était par la faute de leur profond attachement qu’elles avaient fauté. Et sans se concerter, elles avaient cessé d’être sœurs d’âme. Elles vivaient dans la même famille, c’était tout. Il n’y avait plus d’étreintes, plus de sourires entendus. Plus rien entre elles. Et elles en souffraient. Parfois leurs regards se croisaient ; alors, elles pouvaient rester longtemps à s’observer, rattrapant les mots et les rires perdus par ces échanges muets. Tu me manques. Tu me manques tant. C’était ce qu’hurlaient leurs yeux, alors. Mais elles devaient apprendre à vivre l’une sans l’autre. Elles n’avaient plus le choix. L’enfance s’était évanouie brusquement, pour laisser à la place à une réalité absurde. Tellement qu’elle ne pouvait être vivable. Un jour, l’une d’entre elles finirait pas craquer. Et quelque chose au fond d’elles attendait patiemment que ce jour arrive.

    ***

    C’est trop tard. Trop tard pour que je revienne. J’ai fui. J’aurai du l’emmener avec moi, sans doute. Mais elle m’en aurait voulu. C’est trop tard nous ne sommes plus rien. Rien que deux noms qui ne s’entremêlent plus. Alors je cours. Je m’éloigne de cette maison. J’avais toujours eu l’espoir qu’un jour tout s’arrange. Mais ma mère veut me marier avec un homme riche. Un vieillard, presque. J’ai 15 ans. Je veux rester avec ma sœur. Je veux être heureuse, découvrir un monde plus doux. La lumière. Je veux tomber amoureuse. Pleurer par amour, et rire aussi ! Le bonheur existe, il m’appartient de le trouver. Alors je cours. Cela sera un bonheur incomplet, sans elle, sans ma famille. Mais je serai libre, désormais rien ne compte plus que cela. La liberté, douce folie qui anime ma course. Mes yeux laissent s’échapper d’inutiles larmes. Je pleure, comme toujours. J’ai toujours pleuré, elle m’a toujours soutenu. Je fuis, je fuis loin de toi Meian. Pardonne-moi. J’aurai voulu t’offrir le bonheur. Plus que nos espoirs chimériques évanouis sitôt sortis du confort de nos regards. Ne m’oublie pas. Des bruits dans les fourrés. Comme autrefois les bois cachent un monstre fébrile. Mais je le sais plus dangereux que les brigands avides d’argent qui errent dans les souvenirs de mon enfance. Une étreinte. Je suis à la lisière de la forêt, tout juste couverte d’ombre. Mes cheveux, longs et noirs, dégoulinent devant mon visage comme une vague de ténèbres derrière laquelle mes yeux s’écarquillent. C’est un jeune homme. Il est d’une telle beauté que mon cœur palpite avec force. Ses cheveux sont longs et frottent contre ma joue lorsqu’il me serre contre son torse. Il se penche. Je ne peux voir ses yeux. Et il me murmure quelques mots :

    « Pardonne moi, ma douce lumière. »

    Puis il change, devient monstre. Son étreinte se fait plus pressante. Il va me tuer. Ce jeune garçon qui, je le sais, m’a toujours observé, caché entre les arbres. Il me voulait moi, pas ma sœur. Pour une fois je suis celle que l’on appelle. Elle est celle qu’on oublie. Pour ma mort je serai enfin reconnue. Je serai la seule à mourir. J’existerai enfin. Mon cœur s’accélère. Il me brûle. J’ai mal, tellement mal. Comment peut il battre aussi vite ? Est-ce la peur, ou souhaite il seulement récupérer les battements qui aurait du être les siens si je n’allais pas mourir ?

    Je tombe à genoux. Un hurlement s’échappe de mes lèvres. Mon cœur va il lâcher ? Mon sang paraît lui aussi crier tant il circule rapidement dans mes veines. Puis, mon bras se mit à briller. Non, mon corps entier brille. Sans bien savoir comment, l’étrange lumière se condense autour de ma main. Et frappe. Seule. Tranchante. Le monstre disparait. Et je tombe au sol, haletante.

    - Hikari !
    - Meian… Maman…

    Elles ont tout vu. Cette Lumière qui est sortie de mon corps. Tout.

    - L’innocence…
    - Maman ?
    - Meian, ta sœur est une compatible ! Cette Lumière, c’est l’innocence. A n’en pas douter. C’est parfait, parfait !

    Ainsi je suis une compatible ? Je suis censée devenir exorciste c’est bien cela ? Cela ne peut pas être pire qu’un mariage non voulu. Je pourrai peut-être devenir quelqu’un. Mais ma sœur… Je la perdrai. Maman me prend par le bras. Meian nous suit, l’air soucieuse. Le futur s’annonce tumultueux.

    ***

    - Alors ?
    - C’est bien une compatible. Une symbiotique. Curieusement, l’innocence s’est logée dans son cœur… Je ne sais pas quelles seront les conséquences sur sa santé. Mais il est probable que l’utilisation de son innocence détériore le cœur. Lorsqu’elle l’active, le cristal se dissout et se répand dans le sang et l’organisme, affaiblissant son corps, mais lui permettant d’utiliser son arme. Visiblement l’innocence nimbe ses membres d’un voile de lumière qu’elle peut modeler à sa guise. Une épée… de l’énergie pure, des aiguilles, une protection… Mais plus la création est rustique plus il lui sera facile de l’utiliser. Heureusement, lorsqu’Hikari cesse d’utiliser l’innocence, celle-ci quitte le sang, le membre ou même les organes dans lesquels elle s’est répandue et retourne au cœur.

    Maman a à peine écouté. Tout ce qu’elle souhaite c’est me voir devenir exorciste en échange d’un bon paquet d’argent.

    - Elle a une sœur jumelle, croyez vous que celle-ci possède la même innocence ?
    - Non. Seule celle-ci a été élue par Dieu.

    Me voilà disciple d’un dieu qui m’intrigue plus qu’il ne m’inspire de l’amour. Mais je me battrai pour lui, puisque c’est là qu’est ma place. Meian s’approche. Je me jette alors dans ses bras, un léger sourire aux lèvres. Puis elle parle. Adieu, Hikari, adieu. Pourquoi ? Elle peut très bien rester avec moi non ? Ensemble nous serions heureuses, loin de nos parents qui ne savent plus comment nous aimer. Nous pleurons toutes les deux désormais. Un des membres de la congrégation saisit mon poignet, doucement. Ma mère, elle, empoigne Meian avec vigueur et me laisse sans même un regard. Moi, le vilain petit canard. Celle qui en souhaitant fuir la première fois, a entrainé leur ruine. Et celle qui se doit de disparaître pour expier sa faute.

    ***


    C’est un rêve douloureux. Non, pas un rêve, plutôt une vision. Meian sommeille. Je l’ai perdue depuis déjà un mois, et chaque jour la souffrance est un peu plus intense. A son chevet, un homme ricane. Il est difforme, hideux. Monstrueux. Je me débats, espérant me réveiller. Le comte, cet homme dont on parle parfois avec effroi, parfois avec un mépris factice, à la congrégation. Que fait-il auprès de ma sœur ? En quoi peut-elle bien l’intéresser ? Elle n’a personne à faire revenir du monde des morts. Du moins je ne crois pas. Elle n’avait que …moi… Non ?

    Il passe sa main le long du front pâle de ma jumelle. Ma bouche s’ouvre en un cri muet, alors qu’il caresse doucement sa peau. Sous ses doigts fleurissent des croix sombres. Une Noah. Non, c’est ridicule. Et pourtant, quelque chose ne cesse de me rappeler les derniers mots de ma sœur, alors qu’elle était trainée hors du QG par notre mère.

    « TOUS, JE VOUS HAIS TOUS ! JE TE HAIS, INNOCENCE. »


    Et un an s’écoula. Sans plus de nouvelles de Meian. Sans savoir si mon rêve était réalité. Si elle était devenue une Noah, à son tour. Je devins une exorciste pleine de volonté. J’étais chez moi à la congrégation. Pourtant, toujours, j’étais seule. Incomplète, à jamais.

    Famille; (5 lignes minimum)
    Ses parents étaient de riches aristocrates.
    Ils l’ont oublié sans le moindre problème, mais il semble qu’ils se vantent parfois en société d’avoir une fille exorciste. La congrégation leur aurait également donné de l’argent, afin qu’ils acceptent de confier leur « précieuse » enfant aux exorcistes.

    Sa jumelle… Elles étaient incroyablement proches, et la séparation est très douloureuse. Hikari a un jour rêvé que sa sœur devenait une Noah. Mais elle n’a jamais eu de nouvelles de Meian depuis qu’elle est devenue exorciste, elle ne sait donc pas réellement ce qu’il en est de sa sœur.



    Physique; (8 lignes minimum)

    Hikari est… assez semblable à sa sœur jumelle, vous devez vous en douter. Pourtant, elle est parvenue à marquer sa différence, ne supportant pas qu’on la confonde perpétuellement avec sa sœur. Elle souhaitait exister seule, parfois. Même si ne faire qu’un avec Meian lui convenait habituellement.

    Tout d’abord, parlons de son corps. Hikari est plutôt grande, mais elle laisse une impression de fragilité. Ses membres sont élancés, fins. Sa taille est étroite. Plus androgyne que sa jumelle dans son allure, Hikari a pourtant un corps féminin. Sa taille est fine, et sa poitrine présente, bien que très discrète autant l’avouer. Ses mains sont racées, mais à chaque fois qu’elle pose les yeux dessus elle les voit comme des instruments de combat, et rien d’autre, elle qui autrefois rêvait d’avoir des ongles magnifiques pour imiter les grandes dames. Les doigts ont beau être longs et fins, la paume se tâche lentement de cicatrices, plus ou moins visibles, dues à l’utilisation de l’aube vengeresse. Les jambes sont longues et musclées. Pas de place pour la graisse sur ce corps. Mais pour elle, il n’est pas assez beau pour attirer les regards. Du moins c’est ce qu’elle se disait autrefois, désormais elle a d’autres choses en tête que de pareilles futilités. Sa peau est pâle, à peine dorée, ne voyant que peu le soleil.

    Son visage est délicat, ses traits fins et épurés lui donnant un air profondément enfantin, et touchant. Ses pommettes sont assez hautes. Elle a une mâchoire fine, un menton banal, et un front tout à fait banal lui aussi. Son nez est aquilin, suivant une courbe nette. Ses yeux, quant à eux, sont considérés comme des joyaux. En amande, ils sont bordés de longues franges de cils noirs. L’iris attire les regards, inevitablement. On croit se perdre dans les pupilles turquoises, qui s’imposent comme un ciel idyllique, une mer paradisiaque. Une légère touche de mélancolie vint pimenter le dédain ou l’amusement qui le plus souvent se partagent l’étroite scène de ses yeux. Sa bouche lui laisse souvent une moue frustrée sur le visage. Elle sourit peu, mais ses lèvres ne sont pas boudeuses pour autant. Elles sont purpurines et pulpeuses.

    La chevelure de la demoiselle a été son unique moyen de se différencier de Meian. Alors qu’elle les portait autrefois incroyablement longs, ils sont désormais tellement courts qu’elle adopte un style androgyne. Les mèches retombent sur son front, ses yeux. Sa tignasse, sombre comme les plumes d’un corbeau, peine à rester en place, et Hikari s’amuse parfois à mordiller les quelques mèches qui daignent atteindre ses lèvres.

    Parlons désormais de son apparence… Des détails qui pourtant renforcent la personnalité de l’exorciste.
    Une moue agacée flotte en permanence sur son visage, tandis que ses yeux qui se veulent rêveurs ou bien moqueurs tendent parfois à dériver dans l’océan de la mélancolie. Sa sœur lui manque, et son visage le clame. Vous l’aurez compris, les grands éclats de rire, les yeux qui pétillent de bonheur, et l’immense sourire qui déforme la bouche, cela n’est pas pour elle. On retrouvera simplement un petit rictus amusé ou parfois même intimidé, et l’étincelle qui désigne encore et toujours la ruse et l’intelligence. On peut parfois voir sa bouche s’entrouvrir pour proférer des moqueries, avant de se refermer brusquement. La réflexion l’aide parfois à ne pas être trop méchante. Sa démarche est plutôt banale. Elle est désinvolte, paisible. Sauf, bien sûr, lorsqu’elle fuit le danger. Alors, sa course est fluide, rapide sans pour autant atteindre des sommets de vitesse, puisqu’elle se fait souvent rattraper ; elle s’essouffle rapidement. Ses vêtements sont ceux d’un exorciste habituel, bien qu’adaptés à son style particulier, courts, moulants.




    Caractère; (8 lignes minimum)

    Spectrale. Hikari est capable d’être totalement effacée, de faire oublier sa présence. En effet grâce à son éducation elle a appris à rester à sa place. Du moins c’est ce que se plaisent à croire les autres. En réalité, elle aime simplement rester plongée dans ses pensées. De plus, elle a pris l'habitude d’écouter sans prononcer un mot, se plaçant en simple observatrice. Est-ce de la timidité ? Un peu, sans doute. Elle se sent étrangère au monde de la congrégation. Jeune et déjà plongée au cœur du chaos. Ce qui explique sans doute pourquoi elle aime s’enfuir dans des rêveries. Mais surtout, elle a peur. Peur de s’attacher, peur des relations humaines, peur de tout.
    Les exorcistes sont comme sa famille. Qu’elle les aime ou non, ils sont les seules personnes sur lesquelles elle peut veiller. Et elle se bat pour eux. Pour sa sœur également. Du moins c’est ce qu’elle croit. Elle se bat pour se prouver qu’elle existe. Déterminée à prouver que la lumière toujours brille, même dans la nuit la plus sombre. Jamais on ne la détourne de son but. Elle ne tient plus à rien, ainsi personne ne peut l’atteindre. Comment pourrait on l’empêcher dans ces conditions de gagner chaque combat ? Elle ne craint pas la mort. Elle hait pourtant travailler avec d’autres personnes, puisqu’elle ne pourrait laisser mourir un de ses compagnons. Un peu sauvage, elle autrefois habituée à être très entourée, elle a désormais développé un léger coté misanthrope. Lorsqu’elle se retrouve au beau milieu d’une foule, elle peut se sentir prise de nausée tant elle est mal à l’aise. Elle aime rester seule, car elle ne croit plus en l’homme. Elle croit le monde corrompu et hypocrite. Et pourtant, elle persiste à se battre pour la survie de ce monde. Car c’est son unique raison de vivre. Être utile. Et peut-être, aider le bonheur à naitre de nouveau. Elle a beau éviter de s’attacher, parfois quelqu’un parvient à la domestiquer, elle, l’animal sauvage qui se sent tellement mieux dans le silence et la solitude. Alors, elle se montrera extrêmement loyale. C’est une personne de confiance, qui tient à être présente pour ses amis. Mais elle sait toujours disparaître lorsque l’heure vient. Lorsque quelque chose lui tient à cœur, elle peut être extrêmement passionnée. C’est quelqu’un d’impulsif qui agit souvent en fonction de ses émotions sans toujours réfléchir aux conséquences. Si par malheur il lui arrive de s’énerver, alors elle devient effrayante. Froide, elle est très douée en matière de répondant. En effet, elle est capable d’être parfaitement insolente. Un spectre qui parfois s’enflamme. Pareil à la lumière.

    Pouvoirs/Innocence; (Noah-Akuma / Exorciste)
    Innocence – L’aube vengeresse.
    - « C’est bien une compatible. Une symbiotique. Curieusement, l’innocence s’est logée dans son cœur… Je ne sais pas quelles seront les conséquences sur sa santé. Mais il est probable que l’utilisation de son innocence détériore le cœur. Lorsqu’elle l’active, le cristal se dissout et se répand dans le sang et l’organisme, affaiblissant son corps, mais lui permettant d’utiliser son arme. Visiblement l’innocence nimbe ses membres d’un voile de lumière qu’elle peut modeler à sa guise. Une épée… de l’énergie pure, des aiguilles, une protection… Mais plus la création est rustique plus il lui sera facile de l’utiliser. Heureusement, lorsqu’Hikari cesse d’utiliser l’innocence, celle-ci quitte le sang, le membre ou même les organes dans lesquels elle s’est répandue et retourne au cœur. »



    Aurore Brisée : La lumière enveloppe son membre (bras ou jambe) et le rend tranchant, solide, plus fort. Cependant la lumière n’a pas de forme précise. Les coups sont donc moins ajustés que si elle prenait la forme d’une lame.



    La toile astrale : Elle tisse des fils coupants et incroyablement solides à l’aide de son innocence, peuvent être utilisés pour étrangler, capturer, et autres réjouissances.






    Orientation sexuelle; Elle n’y a jamais réfléchi.
    Rang; F


    # BEHIND THE SCREEN


    Prénom; Ségolène
    Âge; 16 ans et demi
    Sexe; Féminin

    Une remarque sur le forum; Il m'a l'air super
    Vanille ou chocolat ? Vanille (L)
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Hikari Hakumei - La lumière céleste Vide
MessageSujet: Re: Hikari Hakumei - La lumière céleste Hikari Hakumei - La lumière céleste EmptySam 26 Déc - 8:57

Toujours aussi bien écrit, dévoration terminée mademoiselle ! J'aime le concept, soeurs jumelles, l'un Noah, l'autre Exorciste, l'un ombre, l'autre lueur. A quand les fameuses retrouvailles ? =3

Il te manque un avatar, j'espère que tu en trouveras un. Si tu as besoin d'aide, MP moi.
Comme ta "soeur", je vais te mettre ta couleur, ton nom et ton surnom en place.

Hikari Hakumei - La lumière céleste 1zpijde
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Hikari Hakumei - La lumière céleste

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