D.Gray'man - Le Réveil de Pandore
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le Deal du moment : -29%
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 ...
Voir le deal
499.99 €

Partagez|

Lust Heartnet - La frivolité candide.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Lust Heartnet

Lust Heartnet
La Frivolité Candide †

Take a look to these empty people, they're tired inside.

▐ Ton Age : 30 ▐ Rp : 46 pts =P
Féminin « Messages » : 762
« Two Perso » : Hikari Hakumei.
« Situation » : Yes Rp


Who Are You ?
Level Rise_: Rang D
Souvenir/Pouvoirs/Innocence_:


Lust Heartnet - La frivolité candide. Vide
MessageSujet: Lust Heartnet - La frivolité candide. Lust Heartnet - La frivolité candide. EmptyDim 21 Fév - 12:29

    Lust Heartnet - La frivolité candide. Miharu-rokujo
    Lust Heartnet
    La frivolité candide .


    # FICHE D'IDENTITÉ

    Date de naissance; 21 septembre
    Origine; Anglaise.
    Groupe sanguin; B- .
    Race;
    Exorciste.


    # MY STORY
    Histoire; (20 lignes minimum)
    L’histoire qu’est celle de Lust, n’est pas des plus tragiques. Il est né voilà déjà 16 ans, un soir de septembre. Le 21 plus précisément. Son père avait du s’absenter, à contrecœur, ce soir là. Aussi, sa mère était seule lorsqu’elle mit au monde son fils. Seule ? Pas tout à fait. Dans sa chambre à l’étage, une gamine fixait obstinément le plafond, sans bien savoir ce qu’elle ressentait. Sa mère souffrait en bas, à cause de ce bébé qui arrivait. Devait-elle être heureuse que sa famille s’agrandisse, ou craindre que sa place ne lui soit dérobée ? Doucement, elle se mit debout, ses pieds nus dévalant les marches en silence. Là, en bas près d’un feu qui ronflait doucement dans son antre, le médecin arrivait enfin pour seconder sa très chère mère. Les grands yeux de la petite s’écarquillèrent lorsqu’elle entendit les pleurs de la petite chose qui venait bouleverser son existence.

    Elizabeth s’approcha timidement, et tendit la main en direction de la femme qui souriait à la vue de son enfant.
    « Maman ?
    - Lizzy, ma chérie, voilà ton petit frère, Charles. »

    Un petit frère ? C’était surprenant. Elle avait presque eu le temps de s’accoutumer aux images qui la traversaient lorsqu’elle imaginait le visage poupin de sa future sœur. Oui, elle avait vu ses parents serrer contre eux une fillette parfaite, tandis qu’elle, plongerait dans l’ombre. Mais si elle avait un frère, cela ne pouvait pas se passer comme cela. Ils auraient besoin d’elle, encore. Oui, ils auraient besoin d’eux deux. Soudainement rassurée, Elizabeth s’avança un peu plus, et effleura la peau chaude de son frère, un sourire aux lèvres. C’était bien moins effrayant que ce qu’elle avait prévu. Le bébé avait sur le crâne une légère tignasse noire et soyeuse et posait sur elle des yeux qui oscillaient encore entre le bleu et le vert. Il était magnifique. Et c’était son petit frère.

    Charles grandit donc en étant profondément aimé par ses parents, comme par sa grande sœur qu’il vénérait littéralement. Il avait une soif d’aventure et de liberté qui le rendait parfois insupportable et inquiétait sa mère. Le petit garçon qu’il était à 7 ans avait déjà pour passion de grimper dans les arbres, de s’enfoncer dans la forêt à chaque promenade à la recherche d’animaux étranges. De plus, il savait utiliser ses différents talents pour se faire pardonner ses multiples bêtises. Parfois, il suffisait qu’il dessine un léger sourire sur son visage d’ange pour attendrir ses parents. Même Elizabeth qui avait toujours dit qu’elle ne lui cèderait rien ne pouvait résister aux moues enfantines de son petit frère. Le petit garçon commença alors progressivement à se faire manipulateur. Oh, il restait un enfant agréable, et plutôt bon dans l’ensemble. Mais ses sourires n’étaient plus aussi innocents. Il avait un besoin profond d’être entouré et aimé par tout le monde et pour cela il ne pouvait se résoudre à être naturel. Heureusement, étant de corpulence fragile, il réussissait à être traité comme il le souhaitait. Avec une affection démesurée.

    Mais le temps en passant, le transforma. Il devint plus fort, et ses traits un peu moins enfantins. Ses parents cessèrent donc de le couver pour le laisser devenir un peu adulte. C’est donc aux alentours de ses 13 ans qu’il devint ce qu’il est désormais. Un papillon frivole qui va de l’un à l’autre pour jouer avec les sentiments des autres. Simplement pour que tous l’aiment, même s’il devait cacher ce qu’il est réellement.
    Le pire jour de sa vie fut le plus heureux de sa sœur. Celle-ci avait en effet 8 ans de plus que lui. Aussi, il arriva un moment où elle dut se marier. Leurs parents ne croulaient pas sous l’argent, mais ils étaient suffisamment riches pour ne pas tenter de vendre leur fille au plus offrant. Elizabeth unit donc sa vie avec celui qu’elle aimait. Et ce faisant, elle laissa derrière elle son frère, Charles, plus désemparé que jamais. Lui qui avait toujours tout fait pour ne pas être plongé dans la solitude devait perdre sa sœur sans avoir son mot à dire ? Il crut pendant un certain temps qu’il pourrait aller la voir tous les jours s’il le voulait, mais le mari de la jeune femme ne l’entendait pas de cette oreille, et il eut vite fait de mettre l’adolescent capricieux hors de sa maison. En rentrant chez lui cette fois là, Charles décida qu’il ne vivrait plus que pour être aimé. Il attiserait les sentiments de chaque être qu’il croiserait, afin qu’on ne l’abandonne plus jamais. Et pour marquer cette décision, dès ce jour, il exigerait que l’on enterre ce nom trop sérieux qui était le sien. Il ne serait plus Charles, plus jamais. Non, il serait Lust.

    Un sourire mutin passa sur les lèvres d’un jeune homme. Il devait à peine avoir 16 ans. Dans l’herbe, Lust était étendu au coté d’une jeune fille. Elle ne lui plaisait pas. Non, elle ne l’intéressait absolument pas, mais elle, elle l’aimait. Cela avait été bien trop simple pour lui, aussi il savait qu’il ne s’attarderait pas bien longtemps. L’amour acquis trop rapidement est prompt à se rompre. Non, il ne la supportait définitivement pas. Si il avait au début commencé à jouer avec son entourage dans le but d’être aimé, il le faisait désormais également pour se distraire. Il avait appris que tous les sentiments n’avaient pas la même valeur. Mais il ne comprenait encore rien à la profondeur du cœur humain. Car il avait beau être aussi volage qu’un oiseau de passage, il était aussi doté d’une innocence surprenante pour son âge. Cela faisait deux ans qu’il n’avait pas revu sa sœur, et à vrai dire elle comptait toujours plus pour lui que ses soi-disant amis. Lust se contentait de se faire désirer, puis il partait sans rien avoir donné, en ayant seulement reçu toute l’affection qu’une personne pouvait lui offrir, jusqu’à même la dessécher de tout son amour. Pourtant il ne comprenait même pas ce qu’il faisait. La seule chose qui comptait, c’était qu’il ne soit pas seul. Qu’il soit aimé. Pour se sentir plus important. Pour ne pas laisser couler les larmes qui tremblaient parfois dans ses yeux. Ce fut donc durant la seizième année de son existence que Lust vit sa vie tourner à la tragédie.

    Il était avec sa petite amie du moment, réfléchissant à ce qu’il était, se disant qu’il devrait peut-être un jour se contenter de l’amour que lui témoignaient ses parents plutôt que de chercher celui, bien vain, des autres, lorsqu’une femme du village où il habitait, une très bonne amie de sa mère, déboula dans le champ, l’appelant d’une voix forte et dans laquelle trainaient des accents hystériques. Ignorant l’adolescente pourtant splendide à ses cotés, il se redressa, et courut vers la jeune femme.

    « Qu’est ce qui se passe ? » demanda-t-il alors, d’une voix vaguement inquiète.
    « C’est ton père… il est… il est mort. »

    Lust recula alors d’un pas, et la dévisagea, stupéfait.

    « C’est une blague, n’est ce pas ?
    - Je suis désolée… Il a fait une chute alors qu’il faisait une promenade à cheval aux cotés de ta mère. L’animal s’est emballé… et…et, est tombé, et s’est brisé la nuque. »


    Le jeune homme ouvrit la bouche, comme s’il souhaitait parler, avant de tomber au sol, incapable d’agir, incapable de bouger à nouveau. La fille dont il avait déjà oublié le nom s’avança vers lui, et posa une main sur son épaule, se voulant réconfortante. Il tourna brutalement la tête vers lui, une lueur furieuse dans les yeux.

    « Lâche-moi. Dégage, je ne veux plus jamais avoir à poser mon regard sur toi ! »

    Durant un instant, il souhaita la frapper, elle et tout ce qu’elle symbolisait. Sa chasse à l’affection, lui qui voulait que les yeux ne se posent sur autre que lui. Mais il ne le fit pas, et se contenta de partir en courant vers sa maison, pour retrouver sa mère. Et, il osait malgré tout l’espérer, son père, intacte, un sourire aux lèvres, prêt à le serrer contre lui.

    Cinq jours plus tard il était devant une tombe. Là, dans le petit cimetière, sous terre, le corps de celui qui l’avait élevé se tenait prêt à pourrir. Serré contre sa mère, Lust pleura, comme il n’avait encore jamais pleuré. Mais les heures asséchèrent ses sanglots, et bientôt, il fût silencieux, posant un regard terne et amorphe sur la pierre tombale grise et banale.
    Un nom, une date. C’était la seule chose tangible qu’il restait de son père désormais. Un nom, une date. C’est bien peu de choses. En lui, pourtant, il y avait nombre de souvenirs qui vivaient encore. Mais il le savait, les uns après les autres ils deviendraient plus pâles et moins vivants, s’effaçant peu à peu pour ne plus être que les fantômes d’un passé regretté. Une main délicate se posa soudainement sur son épaule. Il tourna la tête, pour poser ses grands yeux verts dans ceux, baignés de larme, d’Elizabeth. Un dernier sanglot vint agiter ses épaules alors qu’il se jetait sur la délicieuse jeune femme pour se presser contre elle.

    Sa sœur avait abandonné son mari si exigeant et si exclusif pour quelques temps, histoire de soutenir sa mère et son frère dans le deuil. Lust aimait à croire qu’elle avait surtout saisi la première occasion plausible pour le retrouver. Mais lorsqu’il la voyait poser un regard inquiet sur leur mère, recroquevillée dans un fauteuil, les yeux perdus dans les myriades du temps, il comprenait qu’en réalité elle avait peur que sa mère sombre dans la folie. Lui ne s’était jamais douté que sa mère était si fragile. Il avait cru qu’elle irait toujours bien, qu’elle sourirait toujours pour lui. Mais il avait visiblement tort. Voulez-vous savoir à quel point ? Une semaine – ou un peu moins – plus tard, un bruit affreux se fit entendre dans la chambre de leur mère. Un cri, suivi d’une déchirure. Des images se formèrent dans la tête de Lust qui déboula aussitôt dans la petite pièce, sombre. La silhouette épaisse et difforme d’un homme se dessinait à la lueur de l’aube naissante qui transperçait les rideaux. Un bruit de pas. Elizabeth venait de le rejoindre. Devant eux, un spectacle macabre avait lieu sous le regard bienveillant de l’étrange créature. Un squelette taillé dans un matériau inconnu tentait de s’introduire dans le corps fin et délicat de leur mère. Le sang roulait sur le sol. Des larmes coulaient sur ce qui tenait lieu de joue au monstre. Puis les yeux maléfiques de l’être en retrait se posèrent sur eux, qui étaient restés tétanisés devant l’horreur de la scène. L’akuma, constitué probablement de l’âme de leur père enfouie dans le corps de leur mère, se jeta sur eux, tandis que le Comte, avec un ricanement amusé, disparut. Lust, toujours figé, sentit du sang gicler sur sa joue pâle. Celui de sa mère, ou celui de sa sœur ? Un peu des deux sans doute. Il tourna lentement la tête, sans essuyer les larmes de sang qui ruisselait sur son visage. Sa sœur était effondrée au sol. Ce n’était plus qu’un tas de viande sanguinolente. Il fut pris de nausées. Cela ne pouvait être réel c’était impossible. Le corps immonde qui déformait celui de sa mère vint s’en prendre à lui. Mais à cet instant, une lueur blanche illumina un jeu de cartes un peu déchiré qui trainait sur le lit de sa mère. Et les éléments se déchainèrent sur l’akuma. Il fut foudroyé, dissous, brûlé… Lust ne sût pas vraiment. La seule chose dont il se souvient, c’est d’avoir empoigné les cartes qui s’agitaient faiblement dans les airs, avant de partir en courant.

    Il vécut seul dans la rue, quelques jours, ou quelques mois. Il s’en moquait. Lust avait recherché l’affection, mais désormais il était seul. Il avait perdu toute sa famille. Tout. Aussi, lorsqu’une fois de plus, un Akuma se dressa devant lui, il refusa de lever même les yeux. Cependant, les cartes ne l’entendaient pas ainsi. Elles le sauvèrent une fois de plus. Et sans qu’il ne comprenne ce qui lui arrivait, quelqu’un l’aida à se relever, le soutenant.

    « Ravi de te rencontrer, exorciste. Je suis un membre de la congrégation de l’ombre. Souhaites tu venir avec moi ? »

    Lust eut à peine la force d’hocher la tête. Il n’avait rien à perdre après tout. S’il avait la force d’aider à détruire ces monstres, alors pourquoi pas. A vrai dire il n’avait même pas pensé que les cartes pouvaient contenir de l’innocence. C’était un jeu banal, que sa famille possédait depuis quelques temps déjà. Mais peu lui importait. Rien n’avait d’importance.

    On le ramena donc à la congrégation. Et là, un certain Reever lui fit visiter, après avoir appris sa situation. Un gamin orphelin de plus, par la faute du Comte. Le scientifique fut patient avec l’adolescent qui restait bien silencieux, réagissant à peine. Il se contentait de le suivre et d’observer vaguement ce qu’on lui montrait. Le crépuscule posait déjà sur le couloir ses mains écarlates lorsque Lust arriva aux chambres.

    « Ici il y a majoritairement des chambres. J’en ais quelque unes à te proposer. »

    C’est alors que le jeune homme entendit son guide saluer quelqu’un. Il cessa alors de fixer le sol aux couleurs sanglantes pour poser ses yeux émeraude sur le visage du nouveau venu. Marchant machinalement aux cotés de Reever, il entendit ce dernier le présenter sommairement, conseillant visiblement à l’exorciste d’être agréable avec lui. Oui, il avait toujours voulu qu’on l’aime. Et il était vrai qu’il en aurait besoin plus que jamais. Lorsque son guide le laissa un instant à part pour parler au dénommé Kanda, Lust resta immobile, s’intéressant peu à ce qui se déroulait autour de lui. Cet exorciste, il ne pourrait s’en faire aimer, cela lui paraissait évident. Mais souhaitait-il toujours être apprécié, entouré ? Lorsque le jeune homme le croisa, lui lançant un regard intense, un frisson parcourut son échine. Oui, il le voulait encore.


    Famille; (5 lignes minimum)

    Il possédait une sœur, Elizabeth qu’il aimait énormément. Mais celle-ci a été tuée par un Akuma. Comment cela se fait il ? Et bien, cet akuma était l’âme de son père, mort d’une chute à cheval, rappelé par sa mère à la santé fragile. Elle devint donc bien entendu l’enveloppe du nouvel akuma, qui fut aussitôt détruit par l’innocence de Lust, bien que celui-ci ne l’ait pas vraiment décidé. La famille était autrefois heureuse et très unie, mais elle fût détruite, par la faute du Comte Millénaire.

    Physique; (8 lignes minimum)

    Lust Heartnet - La frivolité candide. 514652.1

    Lust, malgré ses 16 ans, semble ne pas avoir eu sa poussée de croissance. Il est pourtant probable qu’il l’ait déjà eu, mais il s’avère être de corpulence chétive. Il est d’une taille correcte, loin d’être grand mais pas trop petit, simplement assez pour être qualifié d’adorable plutôt que de beau. Il a beau posséder une certaine musculature qui lui offre une force non négligeable, son corps est fuselé, ses membres fins et délicats. Il dégage une profonde fragilité, et sait donc particulièrement toucher les cœurs sensibles. Sa démarche est tendu, il est toujours aux aguets, prêt à bondir, son corps est en effet taillé pour la course. Ses mains sont artistiques, pâles, racées, aux doits fins et élancés, elles semblent faites pour courir sur les touches d’un piano. La silhouette toute entière du jeune garçon paraît jouer cette mélodie mélancolique qui illustrerait bien son état d’esprit actuel.
    Son visage, quant à lui, pâle et fin comme l’est Lust tout entier, est encore enfantin. Ses traits sont purs et délicats, presque parfaits. Il a des cheveux noirs, dont les mèches retombent sur ses yeux. Ceux-ci sont d’un vert émeraude étincelant, bordés de longs cils noirs. Ils peuvent être paisibles comme refléter la marée de sentiments qui agite Lust. Dernièrement ils ont vu passer beaucoup de tristesse, et sont un peu plus vides et ternes qu’auparavant.

    Quant aux vêtements, tant que Lust n’est pas en mission et ne porte donc pas l’uniforme habituel des exorcistes, il a pour habitude de porter une chemise, de couleur unie, avec la plupart du temps une cravate négligemment nouée autour de son cou fin.

    Caractère; (8 lignes minimum)

    Lust Heartnet - La frivolité candide. RokujoMiharu
    Le caractère de Lust n’est pas difficile à saisir. Il a toujours voulu être aimé. Lorsqu’il était enfant, il utilisait simplement l’amour de ses proches pour ne pas se faire punir. Mais lorsqu’il commença à constater qu’on s’occupait un peu moins de lui car il avait grandi, étant très attaché à sa famille et à l’amour qu’il recevait quotidiennement, il se fit plus manipulateur, utilisant son visage angélique pour se faire apprécier de tous. Puis, sa sœur partit de la maison, et se sentant abandonné, il mit tout son cœur dans ce qui n’était au départ qu’un besoin d’affection compréhensible. Il ne vivait que pour séduire ceux qui l’entouraient, être enseveli sous leurs sentiments, puis repartir découvrir d’autres personnes. Aujourd’hui encore alors qu’il a perdu tout ceux qu’il aimait, il souhaite toujours courir après l’affection des autres. Pour être heureux. Pour ne pas être seul dans ce monde où la solitude est si commune.
    Pourtant, il a beau jouer avec les autres, Lust n’est pas d’une nature mauvaise. On ne peut dire de lui qu’il est un ami loyal, puisqu’il rend rarement l’affection qu’il reçoit. Mais il ne blessera jamais quelqu’un volontairement. Certes, il aime parfois rire de son entourage, et son humour un peu violent peut parfois être vexant. Mais il sait ne pas dépasser les limites. Très social, il est pourtant désormais renfermé et silencieux, bien qu’il fasse tout pour apprendre à rire de nouveau. Il souffre encore de la destruction de sa famille. Cependant Lust ne s’enferme en général jamais dans sa douleur, il essayera à chaque fois de se relever et d’aller de l’avant, sans chercher à oublier pour autant. Car il sait qu’il lui faut garder éveillé le souvenir de ceux qu’il aimait plus que tout.
    Enfant, il avait pour l’aventure et la liberté une attirance naturelle, qu’il a conservée en grandissant. Cependant sa soif de découverte s’est étanchée alors qu’il explorait les relations humaines sans jamais les comprendre. Il n’a au final qu’une expérience limitée de la vie. Les sentiments les plus complexes lui sont inconnus, bien qu’il soit récemment devenu familier avec la souffrance. L’innocence qui le caractérisait a été quelque peu ravie par la mort, mais il conserve cependant une candeur enfantine.

    Pouvoirs/Innocence; (Noah-Akuma / Exorciste)

    Grâce à l’innocence qui s’était liée à Lust, les scientifiques ont pu créer un jeu de 7 cartes. Chacune d’entre elles possède un pouvoir lié à un élément, mais elles ont également une personnalité assez forte. Lust ne peut donc, pour l’instant, en contrôler que deux.

    Carte du Métal : Les flèches chaotiques
    Cette carte fait apparaître du néant des flèches qui ratent rarement leur but. De plus, celles-ci peuvent se dédoubler durant leur course afin de créer des dégâts plus importants. Elle représente une femme aux yeux bandés, tenant un arc et une flèche dans son poing fermé.
    Faiblesse -> Ne touchent pas leur but à tous les coups, et un Akuma moyen devra être touché de plus de 4 flèches pour exploser.

    Carte de la Terre : Prison d’épines.
    La carte fait pousser des ronces qui s’enroulent autour des Akumas et les détruisent.
    Les ronces peuvent également créer un abri pour Lust, sur lequel les démons iront s’échouer et seront donc pulvérisées. Elle représente un homme au regard désespéré autour duquel s’enroulent les ronces.
    Faiblesse -> Les ronces ne sont pas très rapides et peuvent donc être évitées assez facilement. Plus Lust raffermira son emprise sur la carte plus elles seront rapides.


    Orientation sexuelle; Bonne question ; )
    Rang; (De F à A)
    F.


    # BEHIND THE SCREEN

    Prénom; Yume // Ségolène. Double Compte de Hikari
    Âge; 16 ans et demi
    Sexe;féminin

    Une remarque sur le forum; Parfaiiit.
    Vanille ou chocolat ?
    Vanilla
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité
Invité




Lust Heartnet - La frivolité candide. Vide
MessageSujet: Re: Lust Heartnet - La frivolité candide. Lust Heartnet - La frivolité candide. EmptyLun 22 Fév - 0:21

    C'est un étrange petit garçon que nous avons là (le passage avec Yû me fait toujours autant marré, surtout lorsqu'on sait les pensées du Bakanda, oups je veux dire du Dieu Kanda =X :3) Ton Innocence est donc de Type Équipement, c'est avez joie que je te valide petit homme. N'oublie pas l'avatar.

    Lust Heartnet - La frivolité candide. 1zpijde
Revenir en haut Aller en bas

Lust Heartnet - La frivolité candide.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
D.Gray'man - Le Réveil de Pandore :: Who are you? ::  IT.'S ● ME ::  M.Y ● C.H.A.R.A.C.T.E.R :: F.I.C.H.E.S ● V.A.L.I.D.E.E.S-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit