♣ Nemesis Crowford. || Regret

Nemesis Crowford.
Noah. Le néant d'un ultime désir.

# FICHE D'IDENTITÉ

Date de naissance et Âge; Un certain 29 Juillet. A vrai dire, on ignore sa vraie date de naissance. Il ne doit pas encore avoir atteint les 20 ans.
Origine; Du sang américain et japonais coule dans ses veines ~
Groupe Sanguin; O.
Race; Noah.

# MY STORY

Histoire;

♣ Nemesis Crowford. || Regret 081026104857169433

De toute façon, je suis incapable de raconter une histoire joyeuse. Désolé ... Irrémédiable habitude.

« L’erreur est humaine. »
Quelle belle phrase, ne trouvez-vous pas ? Elle convient parfaitement à notre espèce. Nous tentons de nous excuser nous-mêmes, comme si d’un certain côté nous reconnaissions notre faiblesse quasi-maladive. Un élan de lucidité ?
Enfin, je parle pour vous, je suis un Noah, un élu. Pour tout vous dire, je n’ai que faire de vous. Quand bien même il m’arrive de vous porter un soupçon d’intérêt, cela m’ennuie au plus haut point. Mais ... Vous avez le mérite de parvenir à m’arracher un léger rire glacé et moqueur de temps en temps. Vos querelles m’amusent.

« La bêtise est humaine. »
Nous sommes tous remplis de regrets, plus ou moins importants et douloureux.
J’aurais voulu goûter cette glace à la cannelle. J’aurais voulu m’acheter ce vélo afin de sentir ce vent frais effleurer doucement mon visage. J’aurais voulu être assez intelligent pour réussir de grandes études, pourquoi pas, de médecine. J’aurais voulu réussir ma vie. J’aurais voulu gagner au loto, être chanceux en somme, une seule et unique fois. J’aurais voulu trouver l’âme-sœur et sentir sa peau caresser la mienne, doucement, avec tendresse et désir. J’aurais voulu voir mes enfants grandir sous mes yeux ébahis et émus. J’aurais voulu arrêter cette voiture, ou plutôt, son conducteur ivre. J’aurais voulu ne pas sentir mon corps se disloquer, se déchirer puis retomber au sol avec fracas. J’aurais voulu ne pas mourir ce matin-là. J’aurais voulu que cet incapable de Dieu me sauve au lieu de ne s’occuper uniquement de sa petite personne.
J’aurais voulu ...
Trop de désirs et de regrets mais personne pour les libérer, les délivrer de cet enfer.
Et j’attends, j’attends ...
Je crois que nous le faisions tous, patienter.

Pour l’éternité.

Si vous me croyez immortel c’est que vous êtes trop faibles pour voir la mort se rapprocher de moi un peu plus chaque jour comme une ombre se dessinant avec fluidité sur un mur parfait, vierge et lisse. Mais je n’ai pas peur, pas comme vous. Incapables humains chétifs. Au contraire, j’attends ça avec impatience le moment où un certain soulagement emplira mon corps entier.

►LIEU INCONNU. On suppose que la scène se déroule en Amérique.

COMMENCONS.

Elle avait voulu découvrir une autre culture, un autre pays ... Peut être, avoir une meilleure vie. Qui sait.

La silhouette d’une femme se dessinait lentement sur le sol souillé d’une rue plongée dans les ténèbres réconfortantes de la nuit. La lueur blafarde d’un réverbère éclairait avec douceur son visage fin et magnifique, mais terriblement anxieux. Ses traits s’étiraient en un rictus de stress, voire de peur : les sourcils froncés, les canines mordillant jusqu'au sang la lèvre inférieure de sa bouche rosée. Son regard inquiet, passait les alentours au peigne fin, guettant le moindre mouvement, la moindre petite ombre, ne serait-ce qu’infime. Le pas rapide et gracieux, elle ne tarda pas à atteindre une maison étroite coincée entre deux autres, bien plus belles. Les mains fines de l’inconnue saisirent rapidement les clés dans un minuscule sac en bandoulière. Ces dernières tournent avec difficulté dans la serrure de la porte dans un bruit sinistre de film d’horreur. Puis, l’humaine pénétra dans ce qui s’avérait sûrement être son logement. Pour tout vous dire, elle avait marqué une légère hésitation, son regard inquiet avait fixé l’entrée. Ses prunelles pourpres affichaient clairement une certaine anxiété. Dois-je rentrer ou m’enfuir ? Finalement, elle n’était pas si lâche que ça. Enfin, il faut croire. C’est pourquoi elle avait mis son appréhension de côté, ne serait-ce qu’un moment.
Pendant un cours laps de temps, la jeune femme se tint immobile, tremblante. Puis, prenant une profonde et longue inspiration, elle fit quelques pas, longeant les murs du couleur faiblement éclairé. Le bruit infernal d’une télévision en marche s’élevait d’une pièce se trouvant non loin, à quelques pas, tout au plus. Elle se dirigea immédiatement vers la source de ce vacarme d’un pas assuré. Avait-il repris confiance en elle ? Sa main droite saisit avec vivacité la poignée de la lourde porte de bois qui s’ouvrit dans un grincement bruyant. Son regard chercha et trouva rapidement le corps affalé d’un homme. Celui-ci était allongé n’importe comment sur un canapé éventré et sale. Laissez-moi vous le décrire très brièvement. Ne prenons uniquement que ce qui est voyant. Ses cheveux étaient d’un magnifique argenté flagrant, accompagnés d’un regard noir, expressif. Malgré une silhouette fine et attirante, il était vraiment négligé. Et pourtant ... Les iris de l’inconnue se mirent soudainement à flamboyer. Leurs prunelles se croisèrent. Apparemment lui ne tenait pas autant à elle. En effet, ses yeux s’étaient plutôt fait ennuyés que pétillants ...
Elle prit la parole :

« Chéri. Je suis rentrée.
-Oui ... Apparemment. »

Comment pouvait-elle rester ainsi après des propos prononcés avec tant de dégoût ? Oh oui, l’amour rend aveugle. Mais pourquoi s’enticher d’un être aussi abject ? Certes, physiquement il était plutôt séduisant cependant ... Non ! On ne peut pas ! Humainement, c’est trop dur ... On finit par craquer, c’est impossible ...

« J’ai une grande nouvelle à t’annoncer !
- Parle au lieu de me faire attendre. Tu sais bien que je déteste ça.
- C’est juste que ...
- Alors ? On a pas l’éternité devant nous. Es-tu idiote ?
- Je ... Je ...
- Tss. Toi alors ... Aligner des mots à la suite pour former des phrases tu sais faire j’espère ? Allez, accouche ! Au lieu de m’ennuyer.
- Tu ... Tu ne crois pas si bien dire. Je ... Tu vas être Papa.
- Quoi ? Répète pour voir.
- Chéri, je suis enceinte.
- Oui c’est ça. Tu es vraiment folle en fin de compte. Moi qui comptais me barrer dans quelques jours, tu avances la date.
- Mais... C’est vrai. Crois-moi ! Je suis désolée, j’aurais du te le dire plus tôt mais ...
- Tu n’es pas la seule à être désolé, « chérie ».
- Que veux-tu dire par là ? Mon amour, je ...
- Quoi encore ? Arrête donc avec tes mots affectueux ! Je me casse d’ici ! Je ne veux pas de gosse, surtout pas avec une fille comme toi !
- Mais ... C’est ton enfant ...
- Accouche, élève-le, fais le adopter je m’en fous ! Tu peux même le tuer si ça te chante. Je pars d’ici, loin de toi, loin de ce gamin, de cette chose informe. »

Un sourire mauvais aux lèvres, l’homme quitta la pièce, laissant le match de football défiler sur l’écran étroit de la télévision. Il monta l’escalier en piteux état en direction de la chambre à coucher où il sortit une valise presque neuve afin de ramasser toutes ses affaires. Notons que les siennes étaient bien plus chères que celle de sa « femme ». Léger détail. Ses pas lourds se répercutaient sur le plancher en bois et envahissaient la petite maison. La jeune femme, quant à elle, s’était doucement laissé tomber au sol, la tête entre les mains. Ses yeux pourpres étaient écarquillés d’effroi, sa bouche était légèrement entrouverte. De violents frissons parcouraient son corps frêle, maigre. Comment ? Comment pouvait-il lui faire ça, à elle, qui portait le fruit de leur passion ? Toutes ses années passées ensemble, tout ça, c’était du beurre ? Des souvenirs jetables, des sentiments faux ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi l’avoir laissé s’attacher ? Des larmes ruisselèrent sur ses joues pâles, comme quittées de tout sang.
L’homme ne tarda pas à revenir, une lueur triomphante dansante dans ses prunelles noires. Il se planta devant celle qu’il abandonnait sans regrets.

« Ce ne sont pas des au revoir. Plutôt des adieux.
- Pitié ... Non ... Ne me quitte pas ... Pourquoi ...
- Tu n’es qu’une ratée, une moins que rien. Je me demande même comment j’ai pu rester autant de temps avec toi. Il faut croire que j’ai ouvert les yeux !
- Mais ... Je t’aime.
- Tu es bien la seule dans cette pièce à avoir de tels sentiments. Cela devait arriver tôt ou tard. Allez, à jamais. J’espère ne jamais revoir ton visage, croiser ton regard, t’adresser la parole et respirer le même air que toi. »

Après lui avoir lancé un dernier sourire méchant, il quitta le logement de fortune. Sans se retourner, d’un pas rapide, pressé. Enfin, la liberté tant souhaité ! A lui les fêtes jusqu’à pas d’heures, les soirées au fond du lit d’une inconnue. A lui l’ivresse et parfois la violence.
C’était le début d’un grand désespoir pour la jeune femme. Longtemps, enfin, même encore maintenant, elle avait pensé qu’Aaron (Avais-je oublié de préciser son prénom ?) était le grand amour de sa vie, son trésor qu’elle garderait à jamais dans sa boîte à bijou. J’oubliais presque de la présenter aussi ! A vrai dire, je suis comme vous, je ne connais rien d’elle. Je me demande même si je m’intéresse un minimum à ce récit, mais on m’oblige à vous le narrer ... Appelons la Yuki. La neige, mais pas le courage.

CONTINUONS. 9 mois plus tard. Le fameux jour est arrivé.

La pauvreté avait atteint la chétive et frêle femme qui, complètement démunie, n’avait même pas les moyens pour s’offrir des soins. Misérable destin ... Accoucher seule, dans le néant d’une pièce glacé de cette étroite maison écrasée dans un quartier plutôt chic. L’air ambiant était brûlant, comme privé de la moindre inspiration d’oxygène. Après tout, nous étions en été. Un 29 juillet plus précisément. Quelle année ? Je l’ignore.
Qui pouvait donc supporter de s’y tenir debout, d’y vivre, ou plutôt, d’y survivre ? Un silence pesant caressait les murs du bout de ses doigts souillés. Des gémissements de douleur s’élevaient avec peine, accompagnés du léger bruit d’une respiration difficile, saccadée.
J’ignore combien de temps dura ce manège gênant. Je détournai le regard, dégoûté. Je m’en suis lassé, alors je suis parti, tout simplement. Faire un tour je ne sais où dans les profondeurs de la croyance. Je sais plus de choses sur vous que vous ne le croyez ... Mais passons, je ne dois pas vous révéler ce qui se cache dans les coulisses de votre existence miséreuse. Bon ! Le moment de reprendre le récit à sonner. Rasseyez vous je vous prie.
Les pleurs du nourrisson, enveloppé d’une mince couche de sang, emplirent la pièce comme un boulet de canon. Des larmes coulèrent sur les joues fatiguées de la nouvelle mère. Mais, à l’inverse de ce vous pensez, ce n’était pas vraiment des larmes de pur bonheur. Au contraire.
L’enfant cria ainsi quelques temps, le temps que Yuki reprenne sa respiration et se calme. Du moins, assez pour parler.

« Tu t’appelleras Nemesis. Te voilà enfin. Toi. Toi qui l’as fait partir. Il m’a quitté. Il m’a abandonné quand je lui ai dis que tu arrivais. C’est à cause de toi si je suis dans cet état maintenant ... Pauvre, tremblante, faible. J’aurais pu être heureuse à ses côtés, même si il se moquait de moi. J’aurais accepté l’humiliation sans regrets. J’aurais tout accepté pour sentir ses mains caresser mon corps. Es-tu assez égoïste pour me vouloir pour toi tout seul ? Mais tu sais, moi non plus je n’ai jamais voulu de toi. Si Aaron m’avait écouté je lui aurais expliqué que j’avorterai mais ... Tu l’as tellement dégoûté ... A vrai dire, tu me répugnes aussi. Regarde ton corps nu, couvert de MON sang ! Je t’ai donné la vie, Dieu sait que je regrette ! Tu m’as tout pris ... Je n’ai plus d’avenir ... Dois-je te vendre ? Je pourrais peut –être mieux vivre avec un peu d’argent ... Mais, tu ne dois pas valoir grand-chose, misérable petit humain. Prends-tu un malin plaisir à me voir souffrir ? Ai-je été aussi horrible que ça dans ma vie ? Pourtant j’ai tenté d’être aussi droite que je pouvais en aimant un homme de toutes mes forces. Même si c’était loin d’être réciproque ... Je fermais les yeux, il était ma seule famille après tout. Où aller quand on n’a rien ? La rue ne m’attire guère. Pourtant tu m’y traînes un peu plus chaque jour. Vas-y si c’est ce que tu veux. Je te laisse là-bas.
Je donnerai tout pour retrouver Aaron. M’a-t-il oublié ? J’espère que non.
Je suis fatiguée ... J’ai mal ... Tout ça à cause de toi ...
Je ferme les yeux juste un petit moment. Ne me fais pas plus de mal que tu ne l’as déjà fais. Juste une petite sieste ... »

Ses paupières s’affaissaient doucement, recouvrant maintenant entièrement son regard pourpre. La fatigue la gagnait peu à peu ... Après tout, qui venait d’accoucher, hein ?
L’enfant, maintenant silencieux, observait sans vraiment la voir la pièce sombre. Malgré la chaleur ambiante, il frissonna contre le flanc de sa mère qui, sans le vouloir, l’avait tendrement enserré de ses bras protecteurs et chauds.

CONCLUONS.

Malgré ce monologue rempli de haine envers le nourrisson, Yuki ne pu l’abandonner comme son concubin l’avait fait. Cela la faisait que trop souffrir ... Alors elle le garda, l’élevant du mieux qu’elle pouvait, s’apprenant à l’aimer. Oubliant sa colère contre l’enfant, elle le chérit de nombreuses années avant de décéder d’une maladie fulgurante en à peine quelques jours.
Le jeune garçon, âgé d’environ 7 ans, fut placé en famille d’accueil où il fut élevé dans l’amour et la tendresse. C’est assez joyeux tout ça, non ?
Ne trouvez-vous pas ça terriblement mignon ?
Pas moi.

Puis ce qui dû arriver arriva. En plein hiver, quand une tempête faisait rage, recouvrant d’un épais manteau immaculé de neige le sol américain. Un adolescent, ou plutôt un jeune homme, était allongé dans un lit d’hôpital, la tête recouverte d’un bandage où l’on pouvait apercevoir du sang percer l’épaisseur du tissu. Il était inconscient, encore heureux. Seules les plaintes d’un médecin, n’arrivant pas à trouver le mal qui touchait son patient, venaient perturber le repos de Nemesis plongé dans un sommeil sans fond rempli de cauchemars tellement horribles, vous ne pouvez pas imager. Il y voyait la vraie nature de l’espèce humaine, tombant de désillusion en désillusion. Son Nouveau Vrai Dieu se présentait à lui, lui montrant toutes les faces cachées de l’Histoire qu’on lui avait dissimulé sans vergogne. Cela dura quelques jours pendant lesquels, dans ses moments de conscience, le jeune homme ne prononçait qu’une simple et unique phrase.

« J’ai mal. »

Les plaies sur son front s’avérèrent être les stigmates des Noah. Ces Elus !
Vous devinez la suite, je suppose ? L’adolescent quitta l’hôpital non sans victimes, vouant une haine profonde pour la race humaine. A jamais. Sa vie entière serait consacrée à leur massacre et leur réduction à néant.
Parce que vous n’être absolument rien. Parce que ça nous arrange tous de vous voir crever.

Famille;
Mmm ... Que dire ? La mère de Nemesis, Yuki, était une Japonaise venue vivre en Amérique pour on ne sait quelle raison. Abandonnant son pays, ses origines. C'est ainsi qu'elle rencontra Aaron, dans un bar pour être plus précis. Vous le savez maintenant, l'homme ne faisait que se jouer d'elle, restant cependant un certain moment avec elle, puis la quitta. Seule et avec un enfant, ce fut vraiment dur pour elle de survivre, enchaînant des petits boulots, crachant sur sa dignité. Nemesis fut élevé du mieux qu'elle pouvait et je trouve ça émouvant. Lui qui pourtant avait causé sa perte. Mais je suis cruelle alors je l'ai faite mourir. Parce que je hais écrire une histoire heureuse. Les Happy Ending ? Très peu pour moi.
La famille d'accueil se composait d'un jeune couple et de leur petite fille. Je les zappe volontairement , ils n'ont guère d'importance dans ce récit.
Maintenant, la Famille de Nemesis est en réalité le reste des Noahs. Le clan entier au final. Quelle grande famille !

Physique;
♣ Nemesis Crowford. || Regret 56503_104_123_1023lo

♣ Nemesis Crowford. || Regret 56503_104_123_1023lo

Décrire ... Décrire ... N’y a-t-il que ce mot à votre bouche ? Avons-nous au moins le choix ? Tss ... Bon, commençons. Autant le faire sans effusion de sang ...
Tout d’abord le visage de Nemesis. C’est ce que vous verrez en premier, non ? C’est un bon début ne trouvez-vous pas ? Personnellement, je le trouve beau, magnifique même. Mais ... Tout le monde ne partage malheureusement pas mon avis. Est-ce bien ou mal ? Je l’ignore. Je tenterai de rester aussi neutre que possible dans cette description même si je meurs d’envie de jeter des fleurs à Nemesis ... Ses yeux sont d’un pourpre profond qui contraste parfaitement avec le reste de son corps dont nous parlerons un peu plus tard. Oui, car je veux m’attarder sur ces deux prunelles. Elles sont extrêmement expressives. Vous pourrez y lire les émotions du jeune homme lors de vos rencontres plus ou moins animées. Il sait qu’il est parfaitement lisible, mais à vrai dire ... Il n’en a que faire. Certains pourront me dire que les images proposées pour le Physique et Moral ont été inversées mais ... Je leur répondrai que non ! C’est totalement volontaire. Observez cet iris tourmenté, oh oui, regardez-la. Bref, passons. Sinon, impossible de me retenir ... Ses cheveux sont tout aussi étonnants que ses iris. D’une couleur magnifiquement originale. En effet, ils sont d’un beau gris, plutôt peu commun, non ? Ils ornent parfaitement son visage juvénile, cachant ses yeux parfois, effleurant sa nuque offerte et se mouvant dans un somptueux balai au gré du vent. Bref vous l’aurez compris, sa chevelure est parfaite, sans être trop longue, ni trop courte. Mais, n’en faisons pas trop. Sa peau est légèrement plus pâle que la moyenne, sans pour autant lui donner une allure chétive et maladive. Disons que le Soleil ne caresse pas souvent son corps. Mmm, son visage ... Ses traits sont fins et délicats, légèrement enfantins. A leur image, ses lèvres sont minces, légèrement rosées, son nez est parfait, fin. Je ne vais pas m’attarder plus longtemps sur ce crâne sublime, sinon le sommeil et l’ennui ne tarderont pas à vous envahir. Pour synthétiser le tout : Nemesis est ... beau. Oui, c’est le mot le plus « neutre » que j’ai trouvé.
Alors passons au corps de ce sublime jeune homme. Il est légèrement plus grand que la moyenne, pas de beaucoup, juste quelques centimètres qui font pourtant la différence. Sa silhouette est mince et élancée, créant une ombre fine qui se dessine harmonieusement le long des murs ou sur le sol. Son corps est peu musclé malgré le fait que Nemesis maîtrise quelques rudiments des sports de combat. A vrai dire, il préfère de loin se battre à distance, après tout, ses pouvoirs le lui permettent. Je ne veux pas dire par là que la moindre course l’épuiserait, son corps est endurant cependant ... Ce n’est pas un sportif dans l’âme, loin de là. Il préférera manipuler quelqu’un pour parvenir à ses fins mais il n’est pas le moment de parler ça, non ? Parlons vêtements ... Malgré le fait que l’image suivante montre un jeune homme torse -nu (vous me remercierez plus tard de l’avoir mis. <3), il arrive à Nemesis de porter des vêtements. Eh oui, malheureusement ... Bref ! Ce sont le plus souvent des vêtements parfaitement banals, sombres, sobres. Ils changent souvent selon l’humeur du jeune homme, pouvant être près du corps ou au contraire amples. Enfin, ça sera aussi selon mon envie à moi.
Parlons un peu de ses expressions faciles si vous le voulez bien. Je vous ai déjà parlé de ses prunelles où l’on peut lire la moindre de ses émotions. Son regard est donc constamment changeant. Il aurait souhaité pouvoir le garder neutre autant que possible mais bon ... On n’y peut rien ! C’est comme ça que je l’ai décidé ! Son visage est tout aussi expressif, quoique ... Un peu moins quand même. On n’abuse pas des bonnes choses ! Oui, ce que je dis est inutile, mais je gagne des lignes, que voulez-vous ...
Il y a toujours des tics tellement répétés mais ... Vous découvrirez Nemesis le long de son évolution parmi vous. Ce serait tellement moins amusant si tout vous était révélé ici ... (a)

Caractère;
♣ Nemesis Crowford. || Regret Op

C’est bien ce que je disais ... Décrire, vous ne souhaitez que ça. Est-ce pour vous une obsession ? Assez étrange mais maintenant plus rien ne m’étonne à vrai dire ... Obéissante, je vais vous parler de mon personnage que j’incarne. Enfin ... C’est plutôt lui qui me contrôle.
Laissez- moi vous décrire les grandes lignes qui composent habilement l’humain qu’est Nemesis. Enfin, pas si humain que vous ne pensez le croire. N’oublions pas qu’il n’est pas comme nous. C’est un Elu. Un sublime Noah.
Je ne sais pas par où commencer ... Nemesis est quelqu’un assez ... Mmm ... Indifférent ! Oui, voilà le mot ! Il n’a que faire du reste du monde, du moins, pas du monde extérieur à ses relations.
Parlons de ses réactions lors d’une première rencontre vu que c’est ce qui va vous arriver un jour ou l’autre. Comme je vous l’ai dis, Nemesis est quelqu’un d’indifférent ce qui le fait paraître froid et distant. Il faut dire aussi qu’il ne fait absolument pas d’efforts, mais que voulez-vous ... Ses paroles sont totalement dénués d’émotions, parfois agressives. En fait, tout dépend de son humeur. Lorsque celle-ci est plutôt bonne, son ton sera plutôt dénué de tout, accompagné de mots simples. Lorsqu’un certain énervement court dans ses veines, le jeune homme n’hésite pas à employer quelques insultes ou autres atrocités. Enfin, rien de bien méchant ... (a) Je vous le répète, il tente d’éviter le combat rapproché autant que possible. Il usera de ses pouvoirs avant même que vous ne l’ayez atteint. N’abîmez pas sa jolie peau pâle tout de même !
Il manque cruellement de confiance en lui, ne faisant que douter de ses propres pouvoirs, de ses propres performances. Quand il s’attache enfin à quelqu’un, il vit constamment dans l’angoisse de perdre la confiance de l’autre, ce qui est quelque chose de primordiale, non ? Une relation basée sur le mensonge n’est que torture, n’engendrant par la suite que haine, peine et chagrin. Pourtant, c’est un ami loyal, un amour fidèle. Quoiqu’un peu jaloux ... Cependant, aimer quelqu’un prend vraiment beaucoup de temps. Tout d’abord parce que Nemesis hait profondément les humains « normaux », après tout, c’est un Noah. Il a juré leur perte et est très actif dans la Guerre qui l’oppose à ces abominations. Eh oui, il vous faut mourir pauvre petit dont le squelette est si fragile ♥ Un simple pincement et vous tombez en ruine ... Tellement fascinant mais en même temps terriblement ennuyant.
C’est quelqu’un d’assez sombre, extérieurement assez facile à cerner je pense. Froid, indifférent. Plutôt répétitif. Enfin, ça c’est la partie que vous voyez. Mais ... Intérieurement on se cache tous en partie, dissimulant nos peines et nos secrets. Bande de petits cachotiers !
Imprévisible. Incarnant le souvenir du Regret, c’est un être tourmenté qui doute de sa propre existence. Qu’aurions-nous pu faire pour être plus heureux ? Parfois, il aime s’enfermer seul dans le noir même si par moment l’envie de se torturer lui-même envahit ses pensées ... Mais bon, vous découvrirez ses peines le long de son évolution. Et ses joies aussi ! Le monde n’est pas si noir que ça après tout !
Malgré tout c’est quelqu’un d’infiniment attachant, généreux et aimant, prêt à tout pour ceux pour qui son cœur bat la chamade. C’est si mignon ...

Souvenir de Noé : ; Regret.
Pouvoirs;
A vrai dire, je commence à peiner. Les présentations sont définitivement longues et épuisantes à faire ... Le dernier pas. Je m’exécute.

INTRUSION ET ULTIME DESIR.
Allez, on décrit ! Manipulation mentale.
Ce pouvoir est assez simple en somme. Mais je fatigue. Comment l’expliquer ... Nemesis vous fait revivre votre pire cauchemar, vous rappelle le moindre de vos souvenirs enfouis. En gros, il tente de vous détruire intérieurement, vous observant dans votre déchéance de l’extérieur. Vous avez l’impression que plus rien ne va, et c’est une réalité. Tout ce que vous regrettez le plus au monde défile devant vos yeux écarquillés. Vous vous sentez tellement perdus, tellement faibles que vous venez même à prier pour que la mort vous soulage.
C’est une manipulation de vos sentiments les plus intimes. On est mieux torturer que par soi-même. N’est-ce pas connu ?
Nemesis utilise le plus souvent ce pouvoir-ci. Il tente de se battre le moins possible après tout, envoyant des intermédiaires au combat. Les Akumas ne sont pas si inutiles que ça au final.

BRUME DU REGRET ET NAPPES VAPOREUSES.
C’est bientôt la fin alors je vais faire court.
Apparition d'un épais brouillard où Nemesis peut se déplacer à son aise, à l'inverse de sa victime. Mais là n'est pas toute la puissance de ce pouvoir, certes, il coupe vos sens mais ... Ce serait dommage, et surtout décevant, de la part d'un Noah de s'arrêter là. La torture n'est plus intérieure, mais extérieure. Comme l'a si bien dit Nami, la cible voit les spectres de son passé, des personnes qu'elle connaît qui apparaissent afin d'errer.
Ce ne sont que des illusions créées par le Noah, des fantômes en somme, par conséquent, Nemesis peut les manipuler, les faire parler et se mouvoir. (même si la voix n'est pas toujours très ressemblante, après tout il n'a jamais vu ces personnes, mais les victimes sont tellement sous le choc qu'elles n'y prêtent pas toujours attention.)
Ces spectres sont immatériels et ne peuvent donc pas frapper la victime, Nemesis s'en charge lui même. Après tout, rien ne lui empêche de se déplacer avec des armes sur lui, en plus de son pouvoir, non ?
Enfin, pour l'instant, qui sait, l'évolution du Noah pourra peut être rendre encore plus puissant ce pouvoir et permettre aux illusions de devenir capable de frapper la douce victime. ♥

Orientation sexuelle; Inconnue.
Rang; F je suppose ;D

# BEHIND THE SCREEN

Prénom; Justine. x) [Triple compte de Lavi Bookman & Electre Nocturnys xD]
Âge; 15 ans. >.>
Sexe; F.

Une remarque sur le forum; J'aime toujours autant. <3
Vanille ou chocolat ? Mmm ... Un chocolat accompagné d'un thé brûlant à la vanille.

Invité Invité

Invité Invité

Mon petit Nemesis arrive enfin. Bienvenue à la maison, mon poussin! :3

Oh non, pourquoi Zero TT .
Bonne chance oui Hyl x) Stylé le nom xD

Et pas Kaname ! *s'enfuit à cloche pied*

Invité Invité

*dans son for interieur* ~~Kaname A La Poubelle ><~~ J'ai Rien Dit ! *pense* Je suis H.S. en plus*

Re-Bienvenue ! Et Bonne Chance pour la fin de ta pre'z *s'enfuit*

Oh merci

Je devrais pas flooder mais ... Tout est sur Word ;D
Ca arrive (8)

Invité Invité

Je crois avoir finis :o

Bah moi ça me semble correcte... par contre l'histoire des marionnettes ressemble un peu trop au pouvoir de Eve non? =((( tu lui en as parlé?

Invité Invité

Euh à vrai dire je n'étais même pas au courant xD
*honte*

*va voir*
Mais à l'inverse de son pouvoir, Nemesis ne pourrait contrôler que des cadavres et des objets, non des êtres vivants en somme.

mhm... oui bah demande lui on sais jamais XD (je pense pas qu'elle dira non mais bon voilà^^) tient moi au courant ^^ jte valide après d'accord? =)

Invité Invité

Je lui envoie un MP alors ;D

Invité Invité

Bah alors, Eve va te faire la tête ! Méchant garçon. ;3
J'ai envie de frapper le père, je peux ? Et la mère aussi, je peux ? -.-
Fait attention, je ne crois pas que les télévisions existent à cette époque, du moins pas à l'extérieur de la congrégation qui est plus évolué niveau technologie. C'est un sujet qu'il faut voir avec le staff, les anachronismes, c'est difficile à cerner. D gray man ne se situe pas exactement dans notre monde alors je ne sais pas trop quoi interdire.

Pour ton pouvoir, le marionnettiste est déjà pris par Eve, exact. Mais bon, tu es quand même différent parce que Eve n'utilise pas des "cadavres". Je te propose d'aller voir ce qu'elle manipule et que tu tranches la part en deux. Je prends sinon l'avis de Lauren, va Mp Eve pour la mettre au courant et en discuter avec elle.^^

Bonus en plus pendant que j'y pense : que penses-tu du pouvoir de faire pleurer les gens ? Avoir des yeux humides rends aveugle la personne, cela pourrait beaucoup t'avantager ;)

Invité Invité

Invité Invité

J'ai envoyé un MP à Eve

Mais vu qu'elle est absente ...
J'attends sa réponse :o

Je prendrai l'idée du brouillard en second pouvoir sinon. L'idée me plait, tu le sais déjà, Honey. <3 Qu'aurait été Nemesis sans toi ... Rien, à vrai dire.
Merci Nami, je t'aime !

(PLUS QUE TOI AHAHAHAHA *sors*)

♣ Nemesis Crowford. || Regret 141536504b9cf4820f968

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