D.Gray'man - Le Réveil de Pandore
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Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation.

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Electre Nocturnys

Electre Nocturnys
:: La Fulminante Damnation ::

:: La Fulminante Damnation ::
Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Icon510

{ Je cherche ta silhouette dans le néant d'un mirage. }

Ton corps, mon âme, et cette fusion si sublime qu'elle nous dépasse. Ton amour et le mien, la quintessence d'un Tout.

▐ Ton Age : 29 ▐ Rp : Electre ? Tu es mort.
Féminin « Messages » : 135
« Two Perso » : Lavi Bookman ; Nemesis Crowford. »


Who Are You ?
Level Rise_:
Souvenir/Pouvoirs/Innocence_:


Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Vide
MessageSujet: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 0:54


ELECTRE NOCTURNYS
Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Lalalalalalalalalalalal


© Durarara!!
Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Mnczk
SURRENDER.
# FICHE D'IDENTITÉ :

NOM, PRÉNOM(S) - Electre Nocturnys.
SURNOM - Mmm, il n'en a pas vraiment, enfin pas encore.
ORIGINES - Anglo-saxonnes.
DATE, LIEU DE NAISSANCE & AGE - Lieu iconnu ; 22 janvier ; 23 ans.
SIGNE ASTROLOGIQUE - Capricorne.
ORIENTATION SEXUELLE - Bisexuel, sûrement. xD
PARTICULARITÉ - Il est beau ! *sors*
LIEU DE RÉSIDENCE - Un peu partout.
CAMP - Akuma.
PROFESSION EXERCÉE - Mm ... Akuma c'est déjà bien assez.
RANG DE DÉPART - F

NIVEAU - ; 2
ÂME LIÉES - Le corps de Lucan, l'esprit d'Electre. Le fait qu'il soit jumeau a permis à Electre de garder son nom, vu qu'ils sont identiques, tout le monde n'y voit que du feu.

# BEHIND THE SCREEN

PRÉNOM - Justine.
AGE - Bientôt 16 ans.
SEXE - F.
DOUBLE COMPTE ? Euuh, triple même ! Lavi Bookman ; Nemesis Crowford.
NIVEAU RP - A vous de juger.
UNE REMARQUE SUR LE FORUM - J'le trouve toujours aussi attirant. ♪
VANILLE OU CHOCOLAT ? - Les deux, et plus même !
CODE - Je m'auto-vaLide.


PHYSIQUE

    Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Lotrlalala

    Et voilà là partie où je ne sais absolument pas quoi dire/écrire ! Pourtant peut-être la plus simple ? Décrire physiquement quelqu’un, ce n’est pas la mort, n’est-ce-pas ? Et pourtant, je bloque presque, j’hésite quant à l’emploi de certains mots, certains adjectifs, j’ignore que choisir. Et pour tout vous dire, ça m’énerve, d’ignorer autant. Ca ne devrait pas être aussi dur ! On ne devrait pas faire subir ça à un être humain !
    Bon, pour tout vous dire, le choix du personnage n’a pas été de tout repos, mais en même temps il fut rapide. Jolie contradiction, non ? Huhu. Je voulais un homme, déjà, parce que je n’aime pas jouer des femmes, allez savoir pourquoi. C’est psychologique, je crois, enfin, c’est sûr même. Je souhaitais quelqu’un avec les cheveux noirs, pour changer du roux et du gris. Alors j’ai divagué, j’ai cherché dans plusieurs mangas, aimé certains puis finis par les écarter de mon chemin. Et puis ... En parcourant mes dossiers, j’ai remarqué une image que j’a-do-rais, et comme par magie, c’était un homme aux cheveux noirs. Magique, non ? Il s’agissait, vous l’aurez deviné, de celui qui, quelques jours plus tard, me servit d’avatar pour Electre. Aha, intéressant, n’est-ce-pas ?
    Bon, maintenant qu’on a bien floodé, on peut commencer les choses sérieuses, non ?

    Une description n’est pas objective, presque par nature.
    Je ne suis pas objective. Au contraire. Et je l’admets.

    Que dire d’Electre ? Je ne voudrais trop lui jeter des fleurs, quand bien même son apparence est un des points des plus importants à mes yeux, en disant que ... Mmm ... Il est plutôt magnifique, ne trouvez-pas ? Soyez honnêtes ! Il est beau hein ? Ses cheveux ne sont ni trop longs, ni trop courts ( je fais cette Joke à chaque fois Huhu. ) et encadrent délicatement son visage juvénile, de couleur ténébreuse ( noirs donc ), ceux-ci forment de magnifiques épis sur le crâne de l’Akuma. Il paraît que le noir affine, ( enfin il paraît ) par conséquent, cela doit sûrement renforcer davantage les traits fins, jeunes et parfaits du jeune homme. Ces filaments sombres ne cachent que très peu ses prunelles, lui permettant une vue optimale, ils ne descendent pas trop bas sur sa nuque, légèrement plus bas que la base de son crâne. Enfin, il n’a pas une queue de cheval, c’est ça que je veux vous faire comprendre en fait.
    Parlons un peu de ses yeux que, honnêtement, j’ignore comment décrire. Ses prunelles sont ... En amande je crois, Aha, j’ai jamais été douée pour décrire de cette façon mais osons ! Leur couleur est sombre, virant sur le rouge foncé selon l’éclairage, et parfois l’état du corps d’Electre ( fatigue, s’il est blessé ou je ne sais quoi, etc. ). Ses iris ne sont pas particulièrement expressives, ce sont des yeux quoi, des yeux normaux. Pas banals non plus hein, uniques ! Ils expriment tout à fait normalement les émotions fortes de l’Akuma, joie, amusement, colère et doute, enfin comme nous quoi. Ce n’est pas un monstre sans cœur ! Une machine du Comte, certes, mais il a sa propre conscience. Certes, il ne peut résister aux appels des Noahs, il ne peut leur désobéir, cela ne change rien. Rien vous dis-je ! Bon, bon, je m’écarte du droit chemin là. Mais vous me déconcentrez.
    Passons maintenant à son visage et peut-être, si vous êtes sages, à ses expressions. Alors, son visage possède une peau blanche lambda lisse et vierge de tout boutons ou on ne sait quel autre atrocités, il a passé le cap de l’acné, à vrai dire, il n’en a jamais eu. Aha ! Les traits sont fins et délicats, masculins. Jeunes, après tout, l’intéressé n’a dépassé que depuis peu le cap de la vingtaine. Ses lèvres sont minces, suffisamment rosées, et s’étirent le plus souvent en un léger sourire, serein, heureux, sincère, enfin je ne sais pas vraiment comment vous le décrire, regardez les photos mince ! Il est assez énigmatique ce sourire, hein ? On hésite entre l’apprécier, en vouloir davantage, ou chercher une arrière-pensée bizarre.

    Bon, au moment où j’écris je ne me suis pas encore décidée sur quelle image utilisée pour illustrer, mais euh, je suppose que tout y sera décrit, hein.

    Bon ! Parlons de son corps ! Le plus intéressant, ahiin ? Aheum. Bon, Electre n’est pas spécialement grand, quelques centimètres de plus que la moyenne mais ce n’est pas choquant ni flagrant à vrai dire. Physiquement, il est mince, ( tout les monde se doit d’être mince de nos jours, c’est horriblement à la mode. ) le jeune homme possède un corps attirant quoi, que voulez-vous que j’ajoute ? Il ne collectionne pas les conquêtes sans raison. Enfin, ses os ne sont pas saillants non plus, malgré tout, sa peau les effleure élégamment, presque dansante. Celle-ci recouvre aussi des muscles développés mais discrets. Il ne possède aucune cicatrice (pour l’instant), sa peau reste lisse et blanche tout du long, aucune tâche de naissance, peu de grain de beauté. Discrets, eux aussi.

    Maintenant question vêtements ! Alors là y a de tout, mais souvent ... Mmm ... Bon, suivons les images hein ! Un pantalon fin et sombre, près du corps, un t-shirt noir moulant ( *baaave* ) le tout accompagné d’un manteau sombre doté de ... C’est de la fourrure ?! Mm, elle est plutôt blanche, ébouriffée. Ce sont des habits sombres et près du corps qui sont le plus souvent privilégiés par le jeune homme.

    Pas de tics spécifiques, d’expressions répétées ou d’autres choses à signaler, enfin, je crois.

    Euuh ? J’dois dire qu’il a souvent un couteau ( vous savez, ceux qui se replit ! ) dans la poche et que celui-ci luit parfaitement sur sa peau lorsqu’Electre l’utilise ? Non ? Ah, bah, autant pour moi.
    Je tenais aussi à parler de sa voix. Celle-ci sait être mielleuse et assassine, sans être aigu ni grave, elle reste pour autant très masculine. Assez attirante, en somme.



CARACTERE

    Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Lalalabis

    > https://www.youtube.com/watch?v=MyThzQ-vJDg

    A qui pensez-vous avoir affaire cette fois-ci ? Un nouveau personnage ? Barbant, sans originalité, bref, inintéressant ? Peut-être avez-vous raison. Oui, qui sait. Tentons ici de vous énoncer les grandes lignes qui composent Electre. Je voulais changer, quitter ce caractère horriblement mauvais et distant qui devenait peu à peu une habitude, presque un reflexe. Une banalité immonde. Oui, je veux changer, trouver de nouvelles idées, évoluer autrement. Je veux quitter cette méchanceté apparente pour l’enfouir au plus profond de mon personnage, quelque chose de peut-être plus compliqué, plus imprévisible aussi. Quelque chose de mieux en somme. Je ne veux plus d’un méchant-gentil, mais d’un gentil-méchant. Vous voyez ? Bref, si nous commencions ? Ce n’est pas trop tôt.

    L’électricité. Qu’en savez-vous ? Ce doux élément instable, sa dance harmonieuse mais à la fois hachée, sa puissance tant convoitée mais à la fois effrayante. Magnifique mais dangereux. On croit le maîtriser, l’avoir dompté, pouvoir en faire ce que bon nous semble, enfin, après tant d’efforts, puis il nous surprend, jaillit et nous blesse. Parfois même, il nous tue. Avant même que l’on ne l’ait vu.

    Oh Electre ...

    La perfection n’existe pas, ce n’est qu’un rêve lointain que tout à chacun tente d’effleurer, de saisir. Certains d’entre nous possèdent cette espèce d’acharnement qui les pousse à toujours vouloir bien faire, mieux faire. Certains prétentieux pensent même être né parfaits, pouvoir réussir leur vie en un claquement de doigt. Tss, quelle bêtise. Electre ne fait partie d’aucune de ces catégories, il est « hors norme ». Comme beaucoup d’autres, me diriez-vous.
    Vous le décrire serait assez ... compliqué, voire étrange. Honnêtement, j’ignore par où commencer. Par le plus simple ? Mais où est la simplicité dans tout ce tourbillon d’idées ?
    Oui, je veux changer, absolument changer.

    Electre possède un caractère qui peut troubler certains, attirer d’autres tout comme les révulser. A vous de faire votre choix, maintenant.

    Bon, commençons par le plus voyant, peut-être la facette la plus rencontrée de ce personnage, enfin, ça, c’est à voir. Vous comprendrez. Electre n’est pas timide, oh ça non, souvent très bavard c’est avec une facilité enfantine que le jeune homme entame la conversation avec les « chanceux », si on peut dire ça comme ça, qui ont le « privilège » de croiser sa route folle. La plupart du temps ses paroles sont plutôt enjoués, vides de toute méchanceté, sans aucun pics assassins, parfois ponctuées de quelques blagues, quand celles-ci lui parcourent l’esprit au moment même. Bref, c’est quelqu’un de tout à fait sympathique à première vu, non ? Enfin, le plus souvent. Je veux dire par là que le jeune et bel Akuma est quelqu’un de ... Terriblement changeant, profondément imprévisible cela est dû notamment à ses sauts d’humeurs fréquents. En effet, l’homme peut, en l’espace d’un court instant, changer du tout au tout, sa voix mielleuse et attirante se transformant en des intonations meurtrières. Je disais vouloir changer, hein ? Mais j’aime irrémédiablement les Bad Boy ahahaha. Il me faut toujours une petite partie sombre et cachée, un point ténébreux où m’accrocher, un fil de marionnette avec lequel jouer. Oui, c’est cette facette irrémédiablement changeante qui fait Electre. Il est terriblement attirant, de part son physique, sa voix, son rire ( assez étrange m’enfin ) et ce côté sympathique qu’est l’un de ses visages. Il n’est pas schizophrène, personne d’autres n’habite son corps mince, ni rien, ne vous méprenez pas ! Il est juste changeant, voilà tout. Enigmatique, on cherche à le connaître, à vouloir effleurer, revoir ce sourire juvénile, pourtant on craint de faire ressortir cette folie, on craint d’être meurtri par sa voix auparavant si chantante.
    Irrémédiablement attirant mais quelque peu effrayant. Pour « résumer ».

    Parlons de son côté dragueur ! Oui, il faut bien quelques lignes quand même, non ? Aha. Assez étrange pour un Akuma, non ? Disons que lorsqu’il n’a pas revêtu sa forme meurtrière, Electre est un humain comme vous et moi, enfin, pas obligatoirement similaire mais ... Il n’attirera pas l’intention des exorcistes par la simple vision de cette belle forme, mais nous le décrirons physiquement plus tard, non ? Ce serait tricher et gagner des lignes sinon, non ? Chose que je hais plus que tout, vous l’aurez remarqué, n’est-ce-pas ? Bref, le jeune homme est quelque peu naïf, quand son humeur le lui permet bien sûr, à ses yeux ( cramoisis ! Aheum. *toussotte* ) le reste du monde est beau, à découvrir, c’est pourquoi il cherche à comprendre et connaître ceux qu’il croise. Enfin, il ne parle pas à tout le monde dans la rue non plus hein. Je ne suis pas claire, je sais, mais je me comprends, et c’est sûrement le principale vu que c’est moi qui le jouerais, hein ? S’attachant plus que rapidement, on peut dire qu’il collectionne les conquêtes, pour résumé. Et on découvrira plus tard pourquoi ! Aha. Enigmatique le gamin hein ? Enfin « gamin » il a 23 ans quand même.

    Vis-à-vis de sa confiance en soi, il n’y a pas particulièrement de choses à dire, sans être imbu de sa personne et se croire supérieur à autrui, il doute peu de ses atouts, il sait établir ses limites, savoir lorsqu’il peut et lorsqu’il n’a pas le niveau. Plutôt pratique lors de combat, non ? Pour éviter le suicide. Ce serait terriiiblement balot, ne trouvez-vous pas ? Créer un personnage puis le voir se faire tuer, terriblement grisant.

    Que pourrais-je ajouter ... Ce n’est pas quelqu’un de répétitif ( il deviendrait ennuyant sinon ... ), mais plutôt innovant et imprévisible ( ça vous l’aurez compris avec le coup des humeurs, non ? ). On ne risque pas de finir par s’ennuyer en le côtoyant, il faut savoir s’attendre à tout, même au pire.

    Nous pourrions parler de ses goûts, non ? Mmm, que dire ... C’est un drogué, je crois, drogué par ce qu’il aime. Il ne possède aucun juste milieu, ce qui est parfois handicapant. Soit il n’aime pas, soit il voue presque un culte à un objet/une personne/autre. Electre est très sensible à l’art, particulièrement la musique, sans particulièrement la pratiquer ( il possède quelques bases sur certains instruments comme le piano et le violon, sans être terriblement doué, il se débrouille. ) c’est une grande passion pour lui. Ensuite, la littérature est importante, il peut se perdre dans des livres pendant des heures tant que ceux-ci sont un tant soit peu intéressants.
    Il aime manger. Je voulais le préciser, Aha. Préparez-lui quelque chose !

    Aheum ... Finis ?

    Oh non ! Je voulais ajouter quelque chose à propos de ... son état mental, on pourrait dire ça comme ça. Quand j’écris ces quelques lignes, j’ignore encore dans quel ordre vont apparaître le caractère, le physique et l’histoire, donc ... Si cette dernière n’est pas encore « passée » et bien je vais tout vous spoiler Aha ! Mais c’est à ça que sert une présentation, non ? A tout expliquer, en profondeur, enfin, les quelques grands lignes de la personne, je suppose. Electre est un Akuma. Noon c’est pas vrai !? Aheum, bref, c’est son frère jumeau avec lequel il avait une relation incestueuse qui l’a « ramené à la vie ». Ils étaient tellement proches ... Ils s’aimaient tellement ... Reconnaître la mort de l’un est impossible, alors, aussi bien que Lucan, le jeune homme ne peut pas admettre le décès de sa moitié, c’est pourquoi il le croit encore en vie. A vrai dire, il pense qu’ils ne forment qu’une seule et même entité, son esprit à lui (Electre) dans son corps à lui (Lucan). Quand bien même il se ressemblait comme deux gouttes d’eaux, quand bien même la disparition mystérieuse de l’un d’eux à suscité de nombreuses rumeurs sur cette mort énigmatique et étrange, l’Akuma ne le reconnaîtra jamais. Alors ils seront à jamais liés, dans la même enveloppe, ils peuvent s’effleurer chaque seconde, se comprendre. Non, ils ne seront jamais séparés, plus jamais. C’est donc sûrement cela qui explique pourquoi vous apercevrez peut-être Electre converser seul.



FAMILLE

    Sa famille est encore vivante. ( Et c’est la première fois que l’un de mes personnages conserve des proches. Ca se fêêête. ) Bref, ses parents sont encore là, sur notre bonne vieille Terre, cependant Electre ne les voit que très peu maintenant qu’il n’y a que lui ( puis aussi parce qu’il a d’autres choses à faire maintenant qu’il est devenu une machine du Comte Millénaire. ). En effet, il n’est pas né seul, mais avec un Jumeau nommé Lucan. ( Joli nom, n’est-ce-pas ? ) Les deux hommes étaient terriblement proches, tellement que leur relation bascula en une relation incestueuse au fil du temps. Ils s’aimaient terriblement, ne se quittaient jamais. Pourtant, tout bascula pendant cette fuite. Pendant ... Hey mais j’vais pas tout vous dire ! J’ai déjà presque tout révélé ... Enfin bref ! Lucan ne pouvant supporter la mort de son frère, de sa moitié, il tomba dans le désespoir. Et c’est cette partie sombre de son histoire qui fut utilisée par le Comte Millénaire, Lucan, tout aussi naïf que son aimé, accepta le marché ainsi proposé, dans un dernier élan d’amour, dans le seul but de revoir celui qu’il chérissait tant. Et Electre fut ramené, inexorablement il dû obéir à son nouveau Maître et donc tuer son frère afin de revêtir sa peau. Sa moitié et lui, fusionnèrent, une unique entité magnifique.

    Aaah ... Lucan.

    Bref, depuis ce jour-là, Electre tente autant que possible d’éviter sa famille, celle-ci la prenant, déjà, pour Lucan ( vu qu’officiellement Electre est mort AHAHAHA. Enfin, " Officiellement " vu que ce sont des Jumeaux, l'identité peut vite changer. Soit c'est Lucan, soit c'est Electre, pour les parents, en tout cas, ils savent que l'un d'entre eux est parti. ), puis, sa mort est pour eux un calvaire dont ils n’ont trouvé aucune échappatoire. Si c’est pour les voir se morfondre, très peu pour lui.




Dernière édition par Electre Nocturnys le Mer 21 Juil - 6:51, édité 4 fois
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Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Vide
MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 0:54

HISTOIRE

    Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Lalalalalaa

    https://www.youtube.com/watch?v=ythRQVnKan0&playnext_from=TL&videos=pQKbCkkZ59s

    https://www.youtube.com/watch?v=0Pwb7aEBWyw&playnext_from=TL&videos=pFjZ-ADIAPk

    Don’t call my name.
    You know that I love you, boy.


    Vous ne comprenez même pas la moitié de ce que vous voyez, bande d’incapable. Vous ne nous avez jamais compris. Vous ne voyez qu’horreur et dégoût, nous y voyons amour et bonheur.

    Ceci est mon histoire, mon passé, mon présent, mon futur. Un assortiment de tout, un assortiment de rien. Ce qui me compose, me fait vivre, me fait souffrir. C’est donc à moi de vous la raconter, n’est-ce-pas ? Qui d’autres que moi pourrait vous la narrer aussi bien, dans les détails les plus sordides, dans la moindre petite sensation qui me traversa l’esprit. Lui, peut être, ma moitié, mon tout. Pourtant, aujourd’hui, il n’a plus cette capacité de parole, il me l’a légué je crois. Je l’espère, au plus profond de moi. Oui, je le sens. Mon amour ...

    Comment vivre sans lui ? Sans ce souvenir infernal, sans cette respiration brûlante au creux de ma nuque. J’ai trouvé un palliatif, nous l’avons trouvé. Ensemble. Car nous nous sommes juré de ne jamais lâcher la main de l’autre, ne plus nous séparer. Chéri, nous ne formons plus qu’un maintenant. Nos deux souffles en une pensée, nos deux cœurs en un battement. ( Par Nami ! <3 )

    Bref, commençons. Retournons au départ, le jour de ma naissance. Lui, moi et personne d’autres.

    C’était un certain 22 Janvier, l’hiver débutait violemment cette année-là. Un épais manteau de neige immaculée recouvrait ce monde englouti sous ce puissant tyran d’un blanc parfait, un monstre qui jamais ne trouvait de repos et qui, sans le moindre cesse, battait les alentours de ces flocons glacés. Ceux-ci semblaient danser, tel des diables, dans l’air gelé qui meurtrissait avec délice les poumons des passants emmitouflés dans d’épais habits sombres dont les ténèbres étaient renforcées par cette nuit naissante. Celle-ci s’annonçait comme la plus terrible depuis quelques semaines, la population se préparait tant bien que mal à ces heures de frissons continus. Ils défilaient tous, le pas rapide, pour éviter autant que possible ce contact désagréable qui lacérait la peau de leur visage rougis. Ils paraissaient tous ennuyés par ce climat froid, préférant sûrement la douce caresse brûlante de l’Astre incandescent qui depuis toujours dictait leurs vies, parfois misérables, d’autres fois joyeuses. Quant à moi, je préfère la morsure avide de la glace, je préfère sentir mon corps devenir irrémédiablement froid. J’aimais plus que toute cette sensation, elle annonçait pour moi la plus douce des choses. Je savais que tôt ou tard tu viendrais réveiller ma peau en y effleurant ta présence tant aimée, je savais que tu partagerais ta chaleur avec moi, mon amour. Quoi qu’il arrive, tu me feras toujours vivre.

    Revenons à ce l’idée de départ, introduisons nous peu à peu dans l’hôpital non loin, celui que les passants observaient d’un air légèrement apeuré. Cet endroit symbolisait la mort pour eux, le plus souvent, les mutilations obligées. Pourtant ce soir-là, ce n’était pas ce manteau vide et sombre arrachant le moindre souffle de vie qui planait dans les couloirs constamment nettoyés. Ces derniers semblaient déserts, sans aucune trace parasite, sans aucun lit encombrant le passage déjà étroit. Dans ces lieux où larmes et désespoir se mêlaient à la perfection, ces sièges où bon nombres de familles anéantis avaient tenté tant bien que mal de digérer l’annonce d’un décès, dans cet endroit constamment synonyme de chute perçait une once d’espoir. Celle d’une nouvelle vie, celle de deux nouvelles vies. Mon amour, je n’en reviens toujours pas. Pourquoi aussi beau pour moi ?

    Cette deuxième existence n’était pas prévue, je n’étais pas attendu, ce fut un grand étonnement dans la salle d’accouchement. Pourtant, après la surprise de cette arrivée, le regret et le déni furent exclu des esprits, laissant place à la joie et au bonheur absolu. Des jumeaux, de magnifiques petits garçons, tous les deux physiquement identiques, tous les deux à jamais liés. Le même visage, le même sourire, le même regard. Le même amour. Je naquis en dernier, Lucan préférait toujours me devancer, dès notre commencement. Il aimait tenter les choses avant moi afin de m’en préserver ou au contraire, me les conseiller. Oui, il a toujours eu cet instinct protecteur envers moi, et jamais je ne pourrais assez le lui en remercier. Quand bien même il n’a pas toujours pu me sauver.
    La mise au monde se déroula parfaitement bien, sans aucune frayeur, sans douleur superflue. Le personnel hospitalier semblait satisfait, de légers sourires étiraient les commissures de leurs lèvres rougies après leurs morsures concentrées, leurs regards attendris fixaient nos corps nus et proches. Tous acceptaient sans broncher les félicitations et autres remerciements, quand bien même leur soi-disant exploit était ce qui composait leur travail, quand bien même on les avait formés pour cela, les couples ressentaient constamment cette irrémédiable envie de se sentir unique, de sentir le fruit de leur passion comme la plus belle chose au monde. La prunelle de leurs yeux, le trésor dans une boîte à bijou. Mais jamais je n’aurais cru que cette boîte se transformerait en prison.

    Et jamais je ne pourrais contredire mes parents, non jamais. Car c’est eux qui ont créé l’être qui à tout jamais occuperait mon esprit, mes pensées, même les plus profondes, les plus enfouies. Celui qui me complèterait à la perfection et dont mon amour ne pourrait jamais se détacher. Nous sommes nés ensembles, nous vivrons ensemble jusqu’à la fin des temps, bien après le repos éternel. Je ne formais qu’un avec toi. Tu le sais, n’est-ce-pas ? Tu ressentais la même chose. Main dans la main, à jamais liés.

    Ceci est la plus belle idylle de mon existence.

    Mais revenons à l’histoire, voulez-vous bien ?

    Les deux jeunes gens retrouvèrent rapidement leur douce demeure, une maison moyenne dans un quartier moyen. Mais l’argent ne fait pas le bonheur, le dicton est bien connu, n’est-ce-pas ? Il ne provoque que jalousie et par conséquent destruction. L’humain est tellement prévisible, nous voulions être différent et briser les idées préfabriquées. C’est l’amour qui vous laisse entrevoir cette impressionnante perfection, ce bien être si puissant, bien plus que toutes autres drogues. L’intérieur du logis semblait bien plus vivant maintenant que nos deux cœurs battant venaient s’ajouter à cette présence réconfortante. Les meubles semblaient plus radieux, les sourires de nos créateurs aussi, nous apprécions leurs caresses répétés, leurs mots d’amour mielleux. Cette chaleur constante qui nous suffisait à vivre à cette époque là. Pourtant nous ressentions constamment ce désir de l’autre, cette envie inlassable qui doucement nous consumait, nous dévorait. Puis, peu à peu, nous avons commencé à céder à cette puissance. Ensemble comme jamais.

    C’était si beau, si éphémère, pourtant je ne regrette rien. Je voulais me perdre dans tes bras réconfortants, je voulais te laisser maître de mon âme et de mon corps.

    Oui, j’étais bien plus vivant avec toi à mes côtés, je crois que nos parents l’ont vite compris, sans malheureusement en saisir toute l’intensité. Personne ne comprenait ce que nous vivions, nous-mêmes avions quelques difficultés à cerner les limites de notre amour. A croire qu’il n’y avait pas, cette passion grandissait chaque jour un peu plus, à chaque baiser volé dans un coin sombre, à l’abri des regards étrangers, pour préserver ce lien qu’un adulte pourrait venir briser. Jamais ils ne nous ont séparés depuis ce jour glacé de Janvier, main dans la main, peau contre peau. C’est ainsi que nous nous sentions parfaits, complété par l’autre. Ensemble. Comme si nous partagions le même organe vital, le même cœur. Je revois encore ce berceau où nous dormions tout les deux, paisiblement, sans qu’aucuns cauchemars ne viennent hanter nos esprits immunisés par celui tout proche qui l’effleurait doucement, tendrement. Ils nous ont vu grandir, non pas chacun de notre côté et différemment, mais de façon identique. Les mêmes sourires, les mêmes pleurs, les mêmes sentiments, toujours, inlassablement. Nous avons fais nos premiers pas tout les deux, ensemble, l’un attendait l’autre et vice versa. Nous voulions toujours la même chose, nous partagions tout. Parce que nous étions Jumeaux ? C’était ce qu’ils pensaient tous, c’était ce qui les attendrissait le plus à vrai dire. Ils n’osaient effleurer cette idée, incongrue à leurs yeux, que nous pouvions ressentir bien plus. Enormément plus.

    Et ils nous on vu grandir, non pas chacun de notre côté, mais de façon identique. Ils nous ont vus sans cesse nous rapprocher, jusqu’à ce que l’existence de l’un soit vitale pour l’autre. Tellement vital que les moindres centimètres d’écarts étaient de trop, jusqu’à ce que ma main ne puisse plus lâcher la tienne. Jusqu’à ce que je ne puisse plus ne pas sentir ton souffle sur ma peau brûlante, ton cœur battre à la chamade, ton rire tellement mélodieux effleurer mes oreilles, ton regard posé sur moi provoquant d’innombrables frissons qui agitaient mon corps mince que toi seul pouvait caresser.

    On nous reprochait de ne pas vouloir voir les amis que nous nous étions fait parmi les autres enfants. Ils n’étaient pas très intéressants à nos yeux. Il n’y avait que l’autre, et rien d’autres. C’était amplement suffisant.


    Les années sont passées doucement mais sûrement, nous profitions chaque jour un peu plus l’un de l’autre. Nous faisions la fierté de nos parents. Lucan et Electre, les Jumeaux inséparables. Les fils prodiges, les fils tant adorés, tant souhaités. Les deux gnomes nés en plein hiver, lorsque que la glace dictait la loi, lorsque que le froid faisait rage. Nous avions réussi à surmonter ce carnage. Face aux plaintes de leurs amis agacés par la mauvaise entente de leurs enfants, nos créateurs ne pouvaient retenir leurs compliments à notre égard, provoquant de la même sorte la jalousie de notre entourage, mais leur tendresse à la fois. Ils nous avaient tous suivis, Lucan, tu te souviens. Nos sourires immédiat lorsque nos regards se croisaient. J’avais constamment l’impression de me perdre définitivement dans tes yeux rouges, dans leur profondeur abyssale et réconfortante qui faisait mon bonheur. Notre maison étant devenue exigu pour quatre habitants, nous devions partager la même chambre, derrière les promesses d’une prochaine intimité de la part nos parents nous cachions notre joie la plus profonde et rejetions l’idée de nous faire retirer nos moments dissimulés à la vue de tous. Nos baisers fougueux, nos corps brûlants enlacés.

    Nous pensions être parfaitement discrets, étouffer nos mots d’amour et nos cris, dissimuler et contenir nos quelques envies diurnes. Nous pensions réussir à lâcher la main de l’autre lorsque que les regards se faisaient trop proches, trop curieux. Nous étions naïfs, Lucan, n’est-ce-pas ? Eux qui s’aveuglaient chaque jour sur notre condition finirent par enfin ouvrir grand les yeux sur ce qui nous unissait. Et tout était de ma faute, n’est-ce-pas ? Si je ne t’aimais pas autant, si je ne ressentais pas constamment cette soif incurable, je ne t’aurais pas embrassé ce soir là, alors que j’entendais leurs pas rapides se rapprocher.

    Inceste. Quel mot terrible pour vous. Vous n’y voyez qu’horreur et dégoût, nous y voyons amour et bonheur. Passions-nous à vos yeux du statut de parfaits enfants à celui d’effrayantes abominations ? En tout cas votre vision se brouilla brusquement, comme si nous n’étions plus les jeunes bambins pleins de vie qui couraient main dans la main dans le jardin verdoyant, sujets à vos encouragements. Nous n’étions plus que de sales gosses, c’est ça ? Des monstres déshonorant notre famille ? Malgré tout, vous avez voulu sauver le peu de ce qu’il nous restait à nous quatre, vos sourires hypocrites, qui pourtant étaient là pour nous rassurer, ne faisaient que renforcer cette déchirure lente qui avec plus de vitesse que prévu nous éloignait de vous. La vie devait se poursuivre, comme si ne rien n’était, pourtant tout dégringolait, personne ne pouvait le nier. Notre quotidien n’avait d’égal, il ne ressemblait plus à rien, adieu la vie que nous menions, bienvenue à cette antipathie. Vous tentiez chaque jour de nous séparer, nous envoyant chacun de notre côté accomplir une tâche quelconque et plus qu’inutile. Vous nous meurtrissiez de ces regards à la fois dégoutés et fiers d’eux face à l’ignominie que vous engendriez. Notre estime chutait lentement, mais sûrement, vous n’étiez plus que des bourreaux, plus les parents que nous chérissions tant, parfois sujet de nos conversations nocturnes. Malgré tout, l’amour s’en sort toujours triomphant. Quand bien même, comme par magie, une nouvelle chambre fit son apparition, Lucan finissait toujours par me rejoindre lorsque vos esprits divaguaient lentement hors de l’habitation. Et nous nous aimions, toute la nuit, jusqu’à ce que le jour commence à naître, une nouvelle fois, et que mon doux trésor doive rejoindre son lit glacé, à peine effleurer. Ce manège dura quelques temps, mais comme tout stratagème de notre fabrication, il fut finalement capté. Vous ne pouviez rien y faire, enfin, c’est ce que nous croyions. Nous pensions enfin avoir vaincu cette autorité étouffante.

    Mais vous avez voulu l’envoyer loin de moi, décrocher son bras qui enlacer tendrement ma taille. Beaucoup trop loin pour qu’il ne s’échappe de cette prison forcée afin me rejoindre. Je refusais, nous refusions tous les deux. Quitter ses yeux rouges, son étreinte brûlante, ses lèvres parfaites, c’était trop, c’en était trop. Alors ce qui dû arriver arriva, nous nous sommes enfuis de ce calvaire, nous avons ignoré vos suppliques hypocrites, vos promesses qui jamais ne seraient tenus.

    Lucan ... Nous étions naïfs à cette époque, je crois que nous le somme encore, au fin fond de notre âme. Celle que nous partageons. Nous pensions que le monde entier était magnifique, que ses habitants aussi, nous étions aveugler par notre idylle. Nous avions tout surmonté, alors pourquoi ne pas continuer de la même façon ? C’est ainsi que nous sommes partis sans rien, arpentant les rues, mains dans la main, la présence de l’être aimé étant amplement suffisante pour survivre. C’était un pleine été, je m’en souviens encore comme si c’était hier, le Soleil ardent protégeait de son aura chaleureuse les rues, les parcs, la ville en somme. Les habitants de cette dernière déambulaient lentement, épuisés par les températures, la peau rougie. Leurs respirations se faisaient haletantes, profondes et rapides, l’air manquait, aucune brise ne venait effleurer leurs visages et faire danser leurs cheveux. Nous aussi nous avions chaud, mais je n’avais pas besoin de respirer. Tu étais mon oxygène et au moment présent j’enlaçais ta main réconfortante qui à la fois me faisait bouillonner et m’apaisait.

    Oui, je me souviens, nous étions dans un parc rempli de monde. L’herbe était douce et fraîche sous nos pieds, attirante, nous finîmes par nous y installer, lasser de marcher inlassablement en évitant les enfants qui couraient dans tous les sens. Je n’en avais que faire des autres, tant que tu étais là, tu étais mon monde, mon tout, ce pour quoi j’osais vivre. J’étais éperdument perdu dans tes yeux rouges, dans ton étreinte qui à chacune de mes paroles amoureuses se resserrait davantage, brûlante. Je t’aimais comme un fou, je t’aime comme un fou. Il y avait une fontaine d’eau non loin, si bien que quelques gouttes atterrirent sur ton visage, l’effleurant doucement, le faisait briller davantage à mes prunelles sombres. Ma main vint caresser ta joue, doucement, tendre, mes lèvres rencontrèrent les tiennes comme par automatisme, et tu y répondis. Quand bien même nous choquions sur notre passage, quand bien même des regards dégoutés nous meurtrissaient, tu étais là, j’étais là, et c’était le principal. Les commissures de mes lèvres s’étirèrent en un large sourire emplit de bonheur, de joie, tandis que tes mains venaient caresser mon dos, mes omoplates puis ma nuque, doucement. Je frissonnais et tu souriais, conscient de l’effet que tu provoquais sur mon corps. Je te décochais un regard qui se voulait sévère mais qui, évidemment, n’exprimait que le contraire. Un long soupire serein s’enfuit de ma gorge tandis que tes iris cramoisis m’adressaient un regard tendre auquel je ne pouvais résister.

    Il faisait chaud, horriblement chaud, et ton corps près du mien n’arrangeait rien à la chose. Au contraire, j’avais ce désir fou et ardent qui arpentait mes veines inlassablement, comme un terrible poison dont j’aurais pris goût. Je le redoutais et le désirait à chaque fois, c’était étrange, nous étions étranges après tout.
    Je voulais te faire plaisir ce jour là, comme tous les jours à vrai dire. Mais aujourd’hui encore plus, pour sceller notre amour, pour fêter notre départ. Je voulais t’offrir quelques choses, en plus de mon propre corps, de mon propre cœur, de mon amour. Quelque chose qui te ferait plaisir, voir ton sourire s’agrandir davantage, sentir cette vague brûlante m’emplir. Nous partagions les mêmes passions, nous ressentions les mêmes envies. Et à ce moment présent, je me souviens, j’avais faim, de plus, quelques pièces trônaient au fin fond d’une poche de mon pantalon sombre, oui, celui que tu aimais tant. Tu disais qu’il m’allait si bien, pourtant nous avions le même corps. J’étais convaincu qu’il irait mieux sur ton anatomie. Tu étais la plus belle chose au monde.
    Je me suis doucement levé, sous ton regard étonné qui me faisait douter de mon choix, je refusais d’abandonner ta main, mais la surprise n’aurait plus été la même, elle n’aurait plus eu la même saveur que je voulais te faire goûter avec délice. Mes lèvres étaient ornées d’un sourire réconfortant qui te fit lâcher ma main, coupant pour quelques instants ce lien tactile.

    J’aurais voulu revenir tu sais. J’aurais voulu que ... Je t’aimais bordel.

    La chaleur accablait mes pas, me freinait, j’étais aveuglé par ce bonheur, par cette envie soudaine de t’offrir quelques sucreries. Nous n’avions pas les moyens pour plus, mais c’était la symbolique qui comptait le plus dans cette affaire, je voulais te faire cadeau de quelque chose, en plus de ma propre personne. Je sais, tu m’aurais répondu que tu n’avais besoin de rien, que je te suffisais. Je te connais, mon amour, plus que quiconque je crois. Mais parfois je refuse volontairement de te croire, obstiné, sûr et certain que ma décision te fera m’aimer davantage. C’était ce que je voulais. Que tu fonde à ma simple vue, que tes yeux ne voient qu’à travers moi.
    Oui, j’étais aveuglé, si bien que je ne l’ai pas aperçu me suivre. Pour la seule fois où tu n’étais pas là, il fallait qu’il se trouve ce genre de personne dans les parages. Dis, c’est le destin ? C’est ce connard de Dieu ? Dis ? Pourquoi on nous refuse ce bonheur ? Parce que nous sommes frères ? Même si sans l’autre nous ne sommes rien, même si nous nous aimons infiniment ? Je ne l’ai pas senti, juste derrière moi, tout le long de ce dernier sentier. Il m’a pris l’épaule, je me suis retourné, tout simplement. Lucan, nous sommes trop naïfs. Je l’ai cru bon quand il me disait vouloir m’aider à faire un choix pour toi, je me disais que lui aussi te reconnaissait tes nombreuses qualités, peut-être que lui aussi avait eu la chance de croiser ton regard intensément rouge. Il me souriait, gentiment, et je lui répondais, hésitant. Je lui ai fais confiance, je l’ai suivi ... Oh Lucan, excuse moi. Pitié. Excuse-moi. Je croyais que le monde était à ton image, parfait.

    Nous avons fais quelques pas, côte à côte, il me souriait toujours, ne détachant jamais son regard de ma nuque. Le mien te cherchait, derrière, mais tu étais trop loin, j’apercevais ta silhouette allongée sur l’herbe verte, tu regardais le ciel bleu, ces nuages réconfortants. Ceux que nous observions petits, ceux qui prenaient des formes de cœurs sous nos prunelles flamboyantes. Pourtant quelque chose n’allait pas, mon cœur eut comme un pincement mélancolique comme s’il prédisait ce qui se suivit. Oh Lucan ...

    L’homme saisit mon poignet et me jeta dans un bosquet, d’épais buissons dotés d’épines entourés d’arbres à l’abri des regards curieux. Ma peau fut légèrement égratignée, quelques gouttes de mon sang s’extirpèrent de mon corps sous son regard avide. Nous avions vingt-trois ans ce jour-là, et pourtant je m’avérais incapable de lutter contre sa force impressionnante. Je fus plaqué contre le tronc de l’arbre qui racla mes paumes. Sa respiration affolée se répercutait dans le creux de mon oreille, comme une horrible mélodie annonçant ma fin toute proche, ses mains s’affairaient à la fois fébriles et sûres d’elles, je ne les suivais même plus tant elles se faisaient rapides. J’avais mal, je me sentais sale, souillé. Je voulais quitter cet endroit le plus vite possible, me réveiller, te rejoindre. Bordel. Ce n’était pas comme toi, tu savais être doux, tu savais aimer. Lui ... Ce n’était qu’un monstre horrible qui ne désirait rien d’autres qu’assouvir ses propres envies. Si il prenait du plaisir là-dedans, c’était bien le seul. Des larmes coulèrent sur mes joues rougies, mes doigts se crispèrent tandis que je me mordais la lèvre inférieure pour retenir mes cris vains, provoquant ses ricanements malsains qui faisaient bouillir mon sang de rage.

    Tu étais né le premier, tu faisais toujours tout avant moi. Pourtant ce jour-là, tu n’étais pas là pour me protéger, personne n’était là. Pour la première fois de ma vie, j’étais seul. Seul face à la fin.

    Enfin, il s’arrêta, haletant comme moi. Son sourire satisfait m’horripilait, son regard pervers me mettait hors de moi, sa main me poussa devant lui tandis qu’il se rhabillait. Après avoir trébuché, je me redressais avec précaution. En grimaçant de douleur, j’arrangeais tant bien que mal ma tenue salement amochée, comme mon corps maintenant impur pour toi. Mon regard sombre croisa le sien et, comme en un réflexe, je tentais de m’échapper de cet enfer, poussant de toutes mes forces sur mes jambes flageolantes. Pourtant, j’étais faible et les quelques mètres parcourus semblaient n’être que du vent. D’un geste presque insolent, l’inconnu me saisit les deux poignets, coupant ma circulation sanguine, provoquant ainsi douleur, rapprochant son visage du mien, apeuré, je tournais la tête, sentant ses lèvres immondes effleurer mon cou.

    « Tu n’aurais jamais dû faire ça. »

    Ce fut les derniers mots qui firent écho à mes oreilles. Ce n’était pas ta voix, ce n’était pas tes intonations, ce n’était pas toi. Je secouais la tête, criant de toutes mes forces, à m’en arracher la gorge, tandis qu’il me jetait au sol de toute sa puissance. Je tombais violemment, douloureusement, mais pas mortellement. Parfois, j’aurais préféré que ça le soit, fatal. J’aurais voulu mourir autrement. Autre part, pas sous les yeux désireux d’un parfait inconnu qui m’avait ... Hm ... Avant que je n’ai le temps de me relever, il se mit à califourchon sur mon corps quelque peu dénudé. Je me souviens encore parfaitement ce poids encombrant s’appuyer sur mon abdomen, je sentais ses vêtements griffer ma peau déjà marquée. Je me débattais comme un fou, je voulais tellement te revoir à ce moment-là, pourtant je ressentais cette étrange sensation qui me dictait le contraire. C’en était finis de nous, dis moi ? Son regard immonde ne pouvait se détacher du mien, cramoisi et apeuré tandis que ses deux puissantes mains se refermaient sur ma gorge fine et délicate. Moi qui croyais ne pas avoir besoin de respirer pour vivre, moi qui croyais n’avoir besoin que de toi ...

    Oui, je n’ai toujours eu besoin que de toi, uniquement toi, mon amour, mon trésor. Je regrette seulement que ce fût aussi éphémère.

    Son étreinte meurtrière se resserrait chaque seconde un peu plus, malgré ma bouche grande ouverte, j’étais incapable d’inspirer même un soupçon d’oxygène, je n’entendais que le bruit de mon propre étouffement, le souffle sourd de ma vie s’échappant de mon corps meurtri et les gémissements excités de cet inconnu. Et toi que faisais-tu à ce moment là ? Tu observais encore le ciel ? Etait-on venu te parler, charmé par ton attirante présence ? Je ne voyais qu’à travers toi, même lors de ma mort, je voulais tout oublier pour toi, je m’en sentais capable. Je ne voulais que garder le souvenir de ta peau contre la mienne, rien d’autres.

    C’était lent, horriblement lent, malgré tout mon souffle vital finit bel et bien par s’épuiser. Dis ? Pourquoi tout est devenu noir ? Je ne sentais plus mon corps, comme si j’étais enfin libre, il y avait cet étrange soulagement qui m’emplit doucement. Malgré mon état, j’avais l’impression de tout comprendre, de suivre les évènements, comme deux prunelles simples spectatrices. Je payais le prix de ma propre naïveté, je payais le prix de mon propre souhait de cadeau. On avait toujours voulu nous séparer l’un de l’autre, nous avions toujours cru pouvoir surmonter l’insurmontable. Nous nous sentions puissants, alors pourquoi un parfait inconnu possédait la faculté de mettre fin à tout ça ? Je n’en pouvais plus, la seule envie qui caressait mon esprit était celle de pleurer, verser toutes les larmes de mon corps insensible. Chialer comme jamais je ne l’ai fais, même lorsque nos parents tentaient de nous séparer.

    Il s’était levé, doucement, laissant la masque flasque que j’étais allongée par terre. Mes yeux, encore grand ouvert, fixaient le ciel magnifiquement dégagé sans vraiment le voir. A ce moment là, les nuages ne formaient pas de cœur en l’honneur de notre idylle, non, ils dessinaient des pics aiguisés qui venaient lacérer notre amour. Et tu l’as remarqué, n’est-ce-pas ? Cet étrange changement au plus profond de ton âme, cette déchirure insondable qui faisait comme jaillir ton sang dans une hémorragie puissante. Toi aussi tu t’es levé à ce moment, non ? Comme par réflexe, par automatisme, comme lorsque je t’appelais lorsque nous étions petits, lorsque tu accourais, un sourire aux lèvres. Pourtant aujourd’hui c’était plutôt un rictus qui déformait ton visage. Tu as marché, rapidement, empruntant le même sentier que tu m’avais aperçu emprunter lorsque tu m’observais de loin, faisant mine d’admirer l’immensité bleuté lorsque je me retournais. Oui, c’était étrange, je comprenais tout maintenant. Et tu l’as vu sortir des buissons, sa langue caressant ses lèvres impures, tu as vu ce regard immonde qui en disait tant, tu l’as vu s’éloigner en courant lorsqu’il t’a aperçu. Et tu as deviné, n’est-ce-pas ? Que quelque chose ne tournait pas rond, que quelque chose s’était déroulé sans que tu ne puisses l’arrêter, alors tu as emprunté le même chemin que ce parfait étranger. Et tu m’as vu au sol, n’est-ce-pas ? Ton portrait identique, ton amour, sans vie, mort, vide. Nada. Tu l’as compris, n’est-ce-pas, que nous étions maintenant séparés, que cette prison que nous avions cru briser s’était en réalité refermée sur nos pauvres existences.

    Toi non plus tu ne respirais plus, pourtant ton cœur battait encore. Pour moi, pour nous. Sans s’être arrêté, son rythme était fortement ralenti, les bruits sourds de tes pulsations effleuraient avec peine mes oreilles, celle de mon cadavre gisant à tes pieds, celui où tes larmes se brisaient avec fracas. Oui, ce n’est qu’à tes côtés que je me sens vivant, c’est sûrement pour cela que je sentais légèrement ta peau lorsque tu me pris dans tes bras, berçant celui dont on avait étouffé l’âme dans une étreinte dévastatrice, tu effleurais mon cou douloureux du bout des doigts, comme pour partager cette souffrance. Pourtant, pour la première fois, je te refusais. J’étais partie en premier, et je voulais te protéger, oui, cette fois-ci, c’était à moi de te déconseiller cette chose ignoble. Ton contact était glacé, ou bien était-ce moi qui était déjà trop mort. Tu étais magnifique, quand bien même ton visage était recouvert de larmes, oui, cette brillance liquide faisait miroiter tes yeux rouges plus que jamais. Tu étais magnifique mon amour, et malgré que je sois ton jumeau, j’étais complètement différent, trop pâle, trop loin.

    Tu refusais ma mort, tu la rejetais de toutes tes forces, de toute ton âme. Tu refusais d’admettre que l’on t’ait enlevé ce que tu avais de plus cher, ce pourquoi tu avais accepté d’endurer les dos qui se tournaient sur notre passage. Moi non plus, je ne l’acceptais pas. Tout avait été trop rapide, je n’avais même pas su me défendre, je n’avais pas eu le courage de résister à celui qui m’avait ôté de ce monde. Malgré ce lien brisé, nous ressentions la même chose, cette même peine immense.

    Oh Lucan, je t’aime.

    C’est à ce moment là qu’Il est arrivé, cette étrange silhouette se dessinant dans cet air brûlant et étouffant, ce sourire immense et malsain. Et il t’a parlé, pourtant je n’entendais rien, je ne voyais que ses lèvres bouger, tes larmes ruisseler davantage, ton étreinte se resserrer sur mon corps. Pourtant tu as souri et tes yeux se sont asséchés violemment. J’étais à la fois jaloux de cet homme, jaloux de ce qu’il avait dis pour te rassurer ainsi. Tes prunelles l’observaient fixement, buvant ses paroles, tandis que moi je pestais de là où j’étais, c'est-à-dire loin de tout, loin de toi. J’avais l’impression qu’en l’espace de deux secondes tu m’avais oublié, c’était assez étrange, je n’y croyais pas. Il t’a tendu la main, tu l’as saisis, sans hésiter une seule seconde, les joues rougies, le souffle court. Il m’a montré du doigt, et tu m’as regardé, pleins d’amour. Alors j’ai arrêté de douter, je m’en suis terriblement voulu pour l’avoir fait. Il faut croire que la mort froide et ténébreuse me change, me dévore.

    Qui était-ce ? Je n’entendais rien, je ne comprenais pas.

    Ce silence complet s’installait doucement, pesant, j’avais l’impression de céder sous son poids, de sentir la même présence sur mon corps, lorsque la vie me fut enlevé. C’était horriblement désagréable, terriblement choquant. Je voulais qu’on me réveille de ce cauchemar, me retrouver à nouveau sur l’herbe, ma tête posée sur ton torse. Qui était-il pour nous avoir privés de ce bonheur ? Qui étaient-ils tous pour nous juger ainsi et nous adresser leurs mots assassins ? Ils n’étaient rien ! Personne face à nous ! Ils ne l’avaient jamais été, et pourtant ils prenaient sans arrêt le dessus sur notre amour. Ce vide emplit doucement chaque petite cellule de mon esprit, les détruisant, je sombrais inexorablement, dans ce néant sans fond, dans ce monde vide et obscur sur lequel ta lumière n’avait aucune emprise. Dis, je ne reviendrais jamais, c’est ça ?

    Pourtant tu as crié mon nom, de toutes tes forces, comme si ta vie en dépendait, comme si tu puisais cette puissance dans ton âme. Il n’y a que toi pour me faire revivre, mon amour, il n’y avait que toi qui possédais ce pouvoir. Du moins, c’est ce que je croyais. Je voulais te rejoindre, oublier pour toi, vivre pour toi. Pourtant, il y avait toujours cet échec inlassable que l’on voulait nous coller dans le dos, cette joie puis ce désespoir.

    Tu m’appelais, je répondis et je revins. Pourtant, même moi je pouvais observer mon propre corps, mon cadavre à tes pieds. Je pouvais voir ton regard effrayé et rempli d’espoir, d’amour. Tout était étrange, je n’étais pas moi-même, c’était différent. J’avais l’impression d’avoir été désossé, mon squelette saillant était balayé par le vent, le temps s’était arrêté. Ce ne pouvait être la réalité, celle brûlante et étouffante, celle où le Soleil nous accablait. Maintenant on ne voyait que la Lune blafarde qui se moquait de nous, au dessus de notre tête, inatteignable. Je n’étais pas moi, pourtant c’était bien toi, tremblant. Et bien avant que je ne puisse effleurer du regard l’homme qui t’accompagnait, une décharge électrique me percuta lorsque ses mots sortant de sa bouche se frappèrent à mes oreilles.

    « Tue le et revête sa peau. »

    Mon amour, tu sais bien que je n’aurais jamais voulu te faire du mal. Pourtant une puissante force m’empêchait de désobéir, je n’étais plus qu’un pantin, une marionnette entre les mains de l’homme que je reconnaissais maintenant. Mon nouvel état me le permettait, j’étais devenu un monstre depuis que tu m’avais rappelé, c’est ça ? Contraint de tuer son propre jumeau, son propre trésor, obligé de répondre à l’ordre du Comte Millénaire. Nous étions beaucoup trop naïfs, et nous avions causé notre propre perte. L’un en suivant un monstre, l’autre en l’écoutant. Mais je refuse de te blâmer, tu as trop fais pour moi. Je voudrais retourner dans notre chambre, oublier, t’enlacer.

    Malgré mes suppliques intérieures, rien ne pouvait s’arranger et mes prunelles ne pouvaient qu’observer ton regard terrifié tandis que mon squelette tombait lentement au sol, se détachant de cette espèce de portant qui me tenait immobile auparavant. Je ne pouvais pas résister, chéri, je bougeais seul, sans même que ma volonté ne dicte mes mouvements rapides. Mes bras devenus lames aiguisées fendaient l’air dans un sifflement aigu, et toi tu reculais. Tu reculais, tu reculais, quelques pas en arrières, tu trébuchais puis ... Tu t’arrêtais. Là, immobile, devant mon ombre ténébreuse et diabolique. Moi je ne pouvais pas faire marche arrière, je n’en avais plus les forces, je sentais le regard du Prince posé sur ma nuque squelettique. Il l’attendait de moi, il voulait que je te tue, et moi comme un con je ne pouvais même pas résister. On avait vingt-trois ans ce jour là, et pour la seconde fois je n’ai pas su lutter, sauf que cette fois-ci, c’était le final. Le final de nos vies.

    Mon bras maintenant lame s’enfonça violemment dans torse, je sentais ta chaleur glacée le long de mon corps métalliquement osseux, ce sang de la couleur de tes iris qui dégoulinait sur mon anatomie. Je criais, comme jamais je n’ai crié pour toi. J’hurlais que je ne voulais pas, que je t’aimais comme un fou, qu’il fallait que tu m’excuses. Je ne voulais pas ... Te tuer, comme pouvais-je ? Comment osait-il m’obliger ? Pourquoi étais-je un tel incapable ? Pourtant, malgré cette douleur que nous partagions, ton bras s’est lentement élevé pour se porter à l’arme qui te transperçait, tu l’as caressé, délicatement, tendrement. Et j’ai croisé ton regard. Lui qui n’était plus apeuré mais confiant, lui qui m’incitait à vivre, celui pour qui j’aurais tout osé. Tes lèvres tremblaient, te faisais-je tellement souffrir ? Un toussotement t’échappa, étalant ton sang sur mes joues mortes, ta bouche s’entrouvrit quelque peu, laissant s’échapper un léger souffle, un râle. Assez pour que des mots s’en échappent, comme une déclaration, les derniers paroles.

    « Je t’aime tellement. »

    J’aurais voulu serrer des dents, j’aurais voulu pouvoir encaisser, mais je n’y arrivais pas. C’était plus fort que moi, tellement plus puissant. Quant à moi, j’étais frêle et fragile, manipulable. J’aurais voulu t’embrasser, effleurer tes lèvres refroidies des miennes brûlantes. Pourtant je n’étais plus qu’une simple machine à tuer, et le Comte Millénaire réitéra son ordre, fermement. J’aurais voulu pouvoir résister. Pourtant je sentais déjà mon squelette glisser dans ton corps, doucement, comme si nous fusionnions. C’était à la fois agréable et désagréable, une sensation douce et amer. Mes sens me revenaient doucement, humainement, je pouvais voir, sentir, entendre comme avant. Mieux qu’avant. Etrangement, une vague de bien-être m’emplit doucement. C’était toi qui me l’envoyais, non ? Toi le corps, moi l’esprit.

    C’était étrange, mais maintenant c’est trop vie. Notre vie à nous deux, que personne ne pourra nous arracher.

    Depuis lors, nous sommes tout deux devenu des Akumas, c’est ça ? Nous ne formons qu’un, n’est-ce-pas ? Tu n’es pas mort, rassure moi ? C’est ton cœur qui bat à l’intérieur de moi, ce sont ses pulsations folles et endiablées qui dictent nos pas. Ensemble, plus que jamais. Eternellement. Jusqu’à ce que la mort nous lie davantage.
    Nous faisions subir ce que l’on nous avait pris sans ménagement, nous tuâmes de nombreuses âmes, et grâce à nous de nouveaux Akumas furent engendrés. Le temps passe terriblement vite, mais avec toi je ne vois pas les secondes passer.

    Oh Lucan ... Si tu savais comme je t’aime. Toi, moi, et personnes d’autres. Pour toujours.

    And I’ll burn forever.

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Dernière édition par Electre Nocturnys le Mer 21 Juil - 1:33, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 1:14

    Encore toi, morveuse ! è___é

    Superbe présentation, bien sûr. Mais j'ai pas encore tout lu. * s'en va le faire *

    Hm (L).
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 1:20

    Ah mais Kanda, déchaîne toi voyons ! Sinon c'est moi qui vais t'y obliger. ♪ *s'enfuit avec ses sous-entendus*

    Bon courage, pour la lecture. \o/
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 1:39

    Fais gaffe à ce que tu fais, bactérie ambulante è___é
    Hm, quelle histoire. Même la mienne n'est pas aussi longue /PAN/.

    Triste et ... bon tu sais tout. (a)
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 1:52

    T'as vraiment pris la peine de tout lire ? xD

    Mais que fais-je ? Je te réponds alors que je te boude. ♪
    Aime moi, c'est tout ce que j'ai à te dire.
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 1:55

HOY ! Electre, enfin ! ♥

Re-Bienvenue ! XD
Y a intérêt à ce que ton akuma vienne me rendre visite, hein ? ;D (Oh, Izayaaaaaa-kun ! ♥)

Je commence de ce pas à lire ta sublimissime fiche ! *O*
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Ton corps, mon âme, et cette fusion si sublime qu'elle nous dépasse. Ton amour et le mien, la quintessence d'un Tout.

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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 2:03

    Eva. ♥♥
    J'aime le " enfin " xDD ♥
    Bien sûr que je viendrais te rendre visite, tu connaitras bien assez vite Electre. ( Et si tu dis Izaya-kun avec la voix de Shizuo je viens dans ton lit direct ! )

    Exagère pas >___>"
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 2:27

J'ai fini de lire, et que dire...

OUAH ! *O*
Magnifique ! sublime !

De début jusqu'à la fin, on est prit dans une spirale amoureuse, personnellement, j'ai pas vu le temps passer en lisant l'histoire d'Electre... L'inceste, ça dégoute certains, le contraire pour d'autres ! ♥
Franchement, moi je dis...

ELECTRE JE VEUX UN LIEN ! *O*
/SBAFFFF/ XD

(Izayaaaaaaaaaaaaaa-kun ! *Shizuo-mode*)
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 2:34

    Rooh Eva. ;___;
    Tu sais ce que je pense de ce message, hein. xD
    *s'en va chialer dans son coin*

    Aheum, bref. \o/
    Ca me touche. Merci.
    Moi aussi je veux un lien avec toi Eva. ♥

    ( VA DANS SON LIT. )
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 2:37

x'D

J'ai réussi à te faire pleurer ma pauvre petite ! (/SBAFF/)
*lui fait un gros câlin*

Je ne dis QUE la vérité, et c'est superbe ! ♥
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 2:39

    Pauvre petite pauvre petite tss xDD Imagine le smiley jaune pervers et l'énorme smiley pas content. è__é
    Aha, bien fait. ♪
    *s'enfuit*

    * câline aussi *
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 2:59

    *passe sur l'ordi*

    Oui j'ai tout lu et c'est magnifique è__é ( enfin j'ai pas encore lu la description physique, mais j'pense savoir ce que je vais trouver dedans, haha. ) (a)

    Hm, boude si tu veux - je le mérite sûrement -. Mais aime moi aussi.
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 3:00

    Oui, tu vas trouver du flood AHAHAHA *sors*

    C'est toi qui veux pas m'aimer et pas m'expliquer. *tire la langue*
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 19:28

IZAYAAAAAA *O* ! Je l'attendai ! ./////. Bref, re-re-bienvenur ~
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 19:37

    xDD
    Tu l'attendais ?
    Aheummm. (a)

    Merci Varya. ♪ ♥ Un futur Maître. \o/
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 19:40

Oui je l'attendai ! Je fais des rêves pervers à son sujet et je l'assume totalement ! /PAN/ -va crever- ^-^
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 19:40

    AHAHAHA. Je sens que toi je vais t'aimer.
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 19:41

Huhu ~ Rêvons perversement ensemble ~ ♥ -conscience va me pendre-
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 19:42

    Huhu, ça promet d'être bien. ♥
    J'ai sommeil, tu viens ?
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 19:43

J'arrive ~ ♥ -sautille- JE SUIS NORMAAAAALE !
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 19:44

    Nous sommes normaaaals. * tourne sur lui-même *
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 19:47

Huhu ~ ♥
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 19:48

    On va finir par être censurées xDD
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 19:49

XDD Bref, tout ça pour dire qu'il faudra qu'on RP ! Obligé mouahahaha ! -parti dans son délire-
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 19:50

    Ouiiii ! Evidemment ! ♥
    Quand je serais validée. \o/ Ahahaha. ♪
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 19:54

Ouaiiiis ♥ Varya is happy ~ -sautille-
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Hikari Hakumei

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La Lumière Céleste †


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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 20:05

Tssst <3.

Tu veux que je te valide crétin de pervers ?
( Désolée moi j'ai juste parcouru ton histoire, mais bon je l'aime quand même / PAN / )
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Kaiden Isaac

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L'Incarnation du Changement ∞

Half way into Hell and Paradise ~
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 20:17

*enmodefan* Magnifique ! <3

*enmodenormal* Superbe histoire et j'adore le personnage ^^

*enmodeNoah* Mwahahahahah encore un akuma a exploiter :D

~~~~~~~~~~~~~~

Bref, apres ces interferences, voici ce que JE voudrais dire ^^ ... que rajouter xD tout a ete dis dans les trois premiere lignes ^^
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MessageSujet: Re: Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. Electre Nocturnys. || La Fulminante Damnation. EmptyMer 21 Juil - 20:51

    Oh tiens, un Kaiden !

    Merci. ♥ Ca me fait plaisir xDD
    J'espère que tu ne m'exploiteras pas trop. ♪ Je veux pas m'auto-détruire
    D: Fais pas ton guedin. \o/

    J'ai un fan ? Héhé.
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