D.Gray'man - Le Réveil de Pandore
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Hope Sullivan - Membre de la Congrégation

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AuteurMessage
Hope Sullivan

Hope Sullivan
The Egotistical Scientist | Perfect Man ...

Je ne suis pas différent des autres.

Moi aussi j'ai des amis, un amour, un rêve ...

Une haine.


Hope Sullivan - Membre de la Congrégation Vocaloid___Bringing_the_Rain_by_Gilligan_Stamps

▐ Ton Age : 30 ▐ Rp : 1
Masculin « Messages » : 183
« Two Perso » : ♥ Nyny ♥ Zacky ♥ RARA TE DIS-JE !
« Situation » : Yes Rp


Who Are You ?
Level Rise_: Rang E
Souvenir/Pouvoirs/Innocence_:


Hope Sullivan - Membre de la Congrégation Vide
MessageSujet: Hope Sullivan - Membre de la Congrégation Hope Sullivan - Membre de la Congrégation EmptyMer 30 Juin - 2:55


Maximilien Hope Sullivan
Hope Sullivan - Membre de la Congrégation 966902Sans_titre_1

© Mamie The Queen
Hope Sullivan - Membre de la Congrégation 72623203
Tro meg
Og jeg tror på deg
# FICHE D'IDENTITÉ :


Reconnaissance Maximilien Hope Sullivan, mais pour certaines raison et surtout pour que cela soit plus pratique, appelez moi Hope
Titre d'affection Mister Hope … The King aussi c'est pas mal ♥ … Ou Max pour les suicidaires
Origine Un père Anglais mais une mère Norvégienne, de plus j'ai grandit en Norvège
Date & lieu de naissance × Age Un dix sept décembre, à Trondheim … Et j'ai la joie de vous annoncer que j'ai 18 ans ♥
Le signe sous lequel j'avance Je suis sagitaire mes petits !!
Mes préférences au lit ✗ Homme ou Femme qu'importe tant que se soit bon
Ce qui me différencie Je suis blond !!! Si si j'vous assure !
L'endroit où je squatte Bah, la Congrégation … Enfin je peux dormir dans mon lit, derrière le bar improvisé ou bien encore sur la paperasse ...
Mes alliés Toutes les personnes me permettant de fuir le travail !!
Mon job Apprenti Scientifique ! Mais … Arrêtez je le suis ! D'ailleurs y'a pas assez de fille ...
Mon rang de départ F

Membre de la Congrégation


Ce que je fou à la Congrégation Et bien pour être exact je suis … Apprenti Scientifique, ça veut dire que j'apprends pour prendre la place du premier fou qui mourra d'épuisement … Autant vous dire que je suis pas pressé d'avoir fini mon apprentissage.
Qui est Komui Lee Un fou, un cinglé, un mec bon pour l'asile qui construit des trucs de fou qui ne servent généralement à rien ! Quoique … J'adore ses potions … De plus c'est lui m'enseigne tout. Si si j'vous jure ! Un jour je serais intendant à la place de l'intendant !


# BEHIND THE SCREEN :


Tralala, comment que je m'appelle Je me nomme Aurélie ! Mais Lily me semble plus correct.
Fichtre, mais quel âge j'ai ? Alala, la question que je n'aime pas. On me donne 14 ans mais j'ai bien 16 ans !
Suis-je une demoiselle ou un démon ? Je suis une damoiselle mais pas en détresse èoé !
Suis-je un double compte ? Et vi … Nyra et moi ne faisons qu'un ...
Mon niveau RP ? À moi ? Je dirais correct.
Une remarque sur ce fofow ? Humm ... Les gens sont des harceleurs °0°
Vanille ou Chocolat ? Question piège ? Aller je répond ... Chocolat et Vanille !!!

Code de Validation VALIDE PAR LAVI.



MY STORY

o» Mitt sinn er som en konge
    Hope Sullivan - Membre de la Congrégation Kagamine2

    Mon caractère, ma personnalité, mes humeurs, mes réactions … Je ne peux que comprendre votre envi de tout savoir de moi. Après tout, qui n'en aurait pas envi ? Je suis un Roi parmi les humains Rien que me voir vous donne envi de me connaître j'en suis sur. Quoi ? Hein ? Comment ça que je la ferme un peu ? Mais … Mais … Je ne vous permet pas ! Je suis … Hein ? Euh oui je tiens à mon salaire de ce mois-ci. Oui oui je vous assure. Non je ne veux pas me le faire supprimer. Vous êtes cruels vous le savez ça ? Oui ? C'est le but ? Okay … Bon et bien commençons.

    Me décrire psychologiquement n'est pas une mince affaire, autant vous prévenir immédiatement … Il s'agit là d'une tache ardu et horriblement périlleuse pour moi. Après tout, comment trouver les mots justes pour la perfection ? Bon il est vrai que j'ai quelques petits défauts qui se battent en duel ici et là, mais sinon je ne suis que bonté et pureté. Enfin, d'après Lily, je ne suis pas du tout objectif et que si je ne fais pas un effort, elle me rasera le crane. Donc, je pense que je vais essayer de faire de mon mieux, non ? Les gens me disent … Complètement idiot pour ne pas dire demeuré. Il est vrai que je n'agis pas forcement de manière maligne, mais j'aimerais juste signaler que je ne suis pas futur scientifique pour rien. Je le serais quand j'aurai vingt et un piges pour être exact, lors de ma majorité en gros. Mon Q.I est assez élevé aussi, mais ça c'est une autre histoire. Je suis donc intelligent, juste que je n'aime pas me prendre au sérieux. Toute cette tension, cette manière grave … Brrr, non merci pas pour moi. Et puis vous le voyez bien vous même non ? À la congrégation, les scientifiques ne sont pas très « sérieux ». Enfin dans leur travail si mais vous voyez de quoi je veux parler. Après tout, si les scientifiques n'ont eux même pas d'espoir de réussite et ont un minimum de joie, comment voulez vous que les exorcistes, qui eux vivent pire que nous, le soit ? C'est pour cela que je suis toujours optimiste, avec un grand sourire niais collait sur la face et que j'aime draguer. Oui je suis un dragueur, j'aime les belles choses ! Hommes ou femmes, cela n'est pas important tant que cette personne est sympa et agréable à regarder … Et qu'il n'y est pas de barrière de défense autour de cette personne. Voilà pourquoi je ne m'approcherai jamais de Lenalee Lee. Cette fille possède un frère qui est néfaste pour la santé de toutes personnes susceptible de la regarder ! En notant que je suis l'apprenti de l'intendant fou, vous pouvez vous douter qu'il m'a à l'œil. Saleté ...

    Ensuite parlons un peu de mes sois disant nombreux défaut. Ils me disent tous vantard, ce qui est totalement faux je suis désolé. Je ne fais que dire une chose scientifiquement prouvé. Je suis magnifique, mentalement et physiquement. Ce n'est pas de la vantardise ou autre. Vraiment, il va falloir faire part des choses et des nuances. De même, on me dit souvent que je suis narcissique. C'est totalement faux ! Je me trouve juste éblouissant, agréable et beau. Oui, je m'aime mais ce n'est pas du narcissisme, je ne suis pas tombé amoureux de mon reflet ! … Quoique. Enfin bref. De même je suis orgueilleux, cela n'est plus à prouver par contre. Oui, je l'avoue, je suis orgueilleux. Et je le suis bien en plus. Je ne supporte pas que l'on soit meilleure que moi dans certains domaines ou que l'on me vole ma place. Je n'aime pas non plus voir ceux que j'apprécie aller vers d'autre. Oui, je suis un tout petit peu possessif sur les bords aussi, mais ça c'est pas très important. Non, je ne reviendrai pas là dessus. De plus mon caractère ne plait pas à tout le monde et j'en énerve pas mal. Et ça j'adore. Ce genre de personne tellement énervante qui s'énerve encore plus vite quand je leur répond sur un ton léger. J'en ressors souvent gagnant, car ces personnes n'ont pas réellement une répartie. Oui, je suis léger et provocateur, mais presque jamais agressif. L'agressivité ne fait pas partie de mes points de perfections. Je suis un peu paresseux sur les bords … Je n'aime pas le travail ce n'est pas ma faute, alors quand je vois mes supérieurs bosser, ça me donne la migraine. Et dire que dans quelques années, on aura la même dose de travail qu'eux. Non vraiment ça me tue. On me dit souvent que je suis un provocateur. Je suis franc c'est vrai mais de là à être provocant ... Même chose on me dit pas discret pour deux sous ! Il est vrai que j'adore m'exclamer tout haut. Bah oui je sais que mon physique exceptionnel me met déjà en avant mais il faut toujours s'armer du meilleur. Mais que voulez vous, presque personne ne me comprend. Ah oui, je suis aussi un incompris !

    Bon il me semble avoir oublier quelques petits détails, donc pour votre plus grand plaisir de lecture, je vais mettre tout ici, dans ce dernier petit paragraphe, après vous pourrez fantasmer sur ma description physique, je vous le promet. J'aime qu'on parle de moi, être au centre des conversations, savoir que j'existe. Même si vous me critiquez allez y je m'en moque, au moins vous vous intéressez à moi, de plus vous parlerez de quelques choses d'intéressants. Mais même si vous me critiquez, cela ne me touchera pas, car vous voyez je sais faire la différence entre réalité et idiotie sortie. Je vous l'ai dit, je suis léger comme type. Je suis quelqu'un d'horrible ment sociable. Vous voyez, je suis un fou qui serais capable de me taper la discute avec Kanda, bien sur se serait plus un monologue, simplement parce que j'aurais envi de parler. Je vous l'accorde je suis bavard. Mais là encore, ce n'est pas très important. Ce qui est important c'est quand je me met à flirter. En même temps.. je profite de mon minois divin, ce n'est quand même pas ma faute si je suis bien foutu ! Mais attention ! J'ai des principes ! Je ne drague jamais une fille ou un gars en couple ou amoureux. Je ne suis pas un briseur de couple. Oh, une chose assez importante … Je suis fauché comme les blés de Beauce en France ! Je n'ai pas un rond ! Niette nada ! J'ai besoin d'argent … Mais j'en ai jamais. Mais, je peux être volontaire et une oreille attentive ! Je suis un bonne ami, que personne ne le contre dise ! Je peux être volontaire et travailler d'arrache pied, quand je suis motivé. Mais je peux être aussi un véritable con si on s'en prend à mes amis. Je suis une grande gueule et j'ai le sang chaud, critiquez mes amis ou faîtes leur du mal, que vous soyez noah, exorciste, scientifique ou akuma, je vous dirais clairement le fond de ma pensé, quitte à me faire tuer juste après. Je respecte aussi énormément la vie, sans doute parce que je viens du nord me direz vous. Pour moi la vie est une chose de fragile qu'il faut préserver. C'est pour cela que je méprise ceux qui la ôte ou ceux qui se suicide. N'est-ce donc pas une preuve de lâcheté évidente ? Pourquoi vouloir mourir, alors que le vœux de millions de personne est de vivre ? Je hais les noah aussi. Non en faite je la hais, elle ! Cette sale petite noah perfide et sans pitié. Je la hais.

    Je pense avoir fait le tour de ma personnalité fabuleusement magnifique et je suis sûr que maintenant vous pensez aussi je suis merveilleux, bien que fauché. Maintenant, je vais vous permettre de baver sur mon magnifique corps de rêves.


o» Jeg har blitt formet av en gud
    Hope Sullivan - Membre de la Congrégation 821194Sans_titre_2

    Passons maintenant à la partie la plus interessante à vos yeux, j'en suis sûr ! Je parle bien evidement de mon physique mon corps de rêve ... Que dis-je ! Un corps de dieu, sculpté par Baldr lui même j'en suis persuadé ! Oui je sais je sais vous me trouvez vantard ... Mais je ne fais que dire une vérité absolue. Mais je pense que ce petit paragraphe est de trop maintenant, je m'en vais donc vous décrire mon sublime corps, ô combien désirable que je suis sûr que vous adorez déjà.

    Tout d'abord, avant de décrire mon sublime minois, je vais m'armer d'une douzaine d'éclair au chocolat bien calorique. Hum ? Pourquoi ? Pour me donner un peu de courage pardi, oh et je pense que c'est bien de le signaler dans la partie physique mais, je ne prend pas un gramme quand je me goinfre de bonbons, gâteaux et autres bêtises dans ce genre. Mais mettons nous d'accord, je ne mange pas autant qu'un exorciste de type symbiotique … Je me demande même ou est-ce qu'ils foutent toute cette nourriture. Enfin, j'avais dit que je commencerai à décrire mon visage, alors je vais le faire, je pense que c'est le minimum de me mettre au boulot. J'ai visage rond lisse qui se termine en un menton pointu. On me dit que j'ai un visage en forme de cœur … ça doit être normal pour un tombeur comme moi. Ne m'enviez pas, je n'ai pas demandé à être si beau, hu hu. J'ai perdu il y a peu mes joues de bébé, vous savez, les grosses pommettes quand vous souriez et qui vous donne l'impression d'avoir trop regarder Hamtaro, ce qui a affiné mon visage. Mes yeux sont … Bleus, oui ça merci on sait, mais je trouve cette description trop vague pour être accepté. Je vais donc essayer avec mon âme de poète de vous décrire correctement mes sublimes orbes. Bon okay ce ne sont que deux yeux allongés avec des pupilles aussi bleu que le ciel lui même, mais tout de même, grâce à ces yeux je vous dis pas combien de personne j'arrive à draguer moi. Plongez votre regard dans le mien, vous allez vous y perdre, c'est sûr, je suis trop sublime. Passons dès lors à ma sublime chevelure d'or. Oui, je sais vous êtes jaloux rien qu'en la regardant, mais enfin ne m'en voulez pas. Je galère avec cette satané tignasse le matin moi. Non mais sérieux, mes cheveux, c'est peut être des cheveux qui ont enfermé les rayons du soleil en eux pour vous éblouir, mais ça reste des cheveux du nord quoi ! Le matin je hurle de douleur tellement j'ai de nœuds là dedans ! Mais évidement si je venais à me les couper, Sweety m'arracherait les yeux quand je rentrerai enfin chez moi, donc hein, bonjours la galère. Que voulez vous, il faut souffrir pour être beau.

    Enfin, je passe à la dernier partie de mon physique de rêve, soit le reste de mon corps. Non mais, vous n'aviez quand même pas cru que je ferais un paragraphe pour mon torse puis mes jambes et enfin mes pieds ? Je suis peut être la perfection incarnée mais j'ai beaucoup de mal avec ça. Donc soyez déjà fou de joie. Bon reprenons, je mesure exactement un mètre soixante quinze. Oui, je ne suis ni trop grand, ni trop petit, c'est un des avantages d'être moi. La taille parfaite en gros, tout comme moi. Mais je n'ai pas encore finis ma croissance, donc on ne sait jamais, je peux soudainement me mettre à grandir violemment. Argh, je ne veux pas être aussi grand que Mari. Quoique, il n'est pas si grand … Non ? Hum … Information à vérifier, affaire classé je continu. Mes épaules ne sont pas bien larges, mais elles sont solides. Elles peuvent porter de lourds fardeau, comme un scientifique a moitié dans les vapes par exemple. De même que mon dos, je suis solide et assez fort, pas autant qu'un exorciste ou un noah, mais quand même j'ai pas petite force dont je suis fière. Enfin, il faut dire, moi je ne me ballade pas avec une innocence vingt quatre heures sur vingt quatre. Moi je n'ai que Ratatosk, et c'est un écureuil, un pure un vrai ! Violent certes, mais il est avec moi. Je suis fin et musclé, là où il faut. Et oui être un taureau tailladé de muscles et pesant cent Kilos ce n'est pas ce que les femmes préfère. Non il vaut mieux prendre exemple sur mon minois tout à fait exquis et raffiné. Fichtre que je suis beau. Vraiment c'est un pure plaisir d'être moi. Coté vestimentaire, tout me va à merveille, car après tout, tout va à la perfection. Même si j'opte plus souvent pour le style décontracter avec la blouse blanche. De toute façon je reste une merveille de la nature humaine. Et mon physique en est la preuve.

    Pour terminé je ne dirais que cela :

    >>> Je suis un gars parfait avec plein de jolis défauts


o» Min familie er det jeg holder mest verdifulle
    Hope Sullivan - Membre de la Congrégation 842386Sans_titre_2

    Parlons maintenant de ma petite famille ! Hein ? Bien évidement que j'ai une famille ? D'où je sors d'après vous hein ? Je suis pas une création du bon vouloir du Saint Esprit, et encore je doute qu'il existe lui. Non non, j'ai bel et bien grandis dans le ventre de ma mère avant de sortir au bout de neuf mois pour finalement grandir paisiblement en Norvège. Hein ? Ah vous pensiez que je n'ai plus de famille ? Foutaise, j'en ai bien une et je l'adore. Commençons par mon père, Kjell Sullivan,un Norvégien aux origines anglaises, d'où le nom de famille anglais, mais je pense vous l'expliquer dans l'histoire, se sera plus simple, et cela me fera plus de ligne en plus. C'est un homme vieux maintenant, il doit bien avoir dix sept ans d'écart avec ma mère. Il est âgés de soixante quatre ans mais vous voyez, c'est le genre d'homme avec un sourire aimable et souriant et qui reste bon malgré la vieillesse. Ma mère, Oliwia Sullivan, est une norvégienne pure souche blonde aux yeux bleus. Malgré ses quarante sept ans, elle est pleine de vie et est une femme du jour. Très active et très énergique, elle nous a toujours appris à être optimiste pour que l'on puisse espérer s'en sortir dans la vie. J'ai aussi une jumelle, Edea. Elle est mon reflet dans le miroir, et surtout mon adorable petite peste. A cause d'un accident elle est mal entendant, mais attention pas totalement sourde. Au pire elle sait lire sur les lèvres et peut parler. C'est un avantage en sois, même si on a dut apprendre le langage des signes pour mieux réussir à se comprendre à certains moment. Pour des raisons dont je parlerais dans l'histoire, son surnom est Sweet, ou Sweety pour que se soit plus affectif. Et enfin ma dernière sœur, Mina. Elle n'a que cinq ans donc je la connais que très peu vu que je suis parti quand elle avait uniquement deux ans. Mais elle était un bébé adorable et très mignonne avec des joues de hamster adorable. Ratatosk aussi l'appréciait. Enfin bref je la reverrais sans doute quand je rentrerai enfin chez moi.

    Seulement, je fais partie des rares personne à ne pas considérer la congrégation de l'ombre comme ma maison, ou bien encore ma famille. Peut être est-ce parce que je sais que la mienne m'attend et que je ne dois pas les décevoir. Même si je me sent bien ici, ce ne sera jamais comme chez moi, alors au lieu de dire que c'est une famille, je préfère dire que se sont des compagnons ... Des amis que j'aiderais un maximum.



Dernière édition par Hope Sullivan le Jeu 22 Juil - 4:49, édité 118 fois
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Hope Sullivan

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Je ne suis pas différent des autres.

Moi aussi j'ai des amis, un amour, un rêve ...

Une haine.


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MessageSujet: Re: Hope Sullivan - Membre de la Congrégation Hope Sullivan - Membre de la Congrégation EmptyJeu 22 Juil - 3:47

o» Positurer deg og høre på min historie!
    Avant même ma naissance

    Hope Sullivan - Membre de la Congrégation 872639Sans_titre_2

    Avant toute chose, je pense qu'il est important de dire que cette histoire n'a rien de dramatique ou de triste. Non loin de là. J'ai vécu heureux, je ne suis pas aller à la congrégation sous la contrainte. J'ai choisis. Sans doute suis-je plus chanceux que d'autre mais une chose est sur; ici vous ne verrez d'histoire triste où le père trompe sa femme et fonde une famille avec sa maîtresse et que j'ai tué par vengeance ou curiosité. Rien de tout cela. Oui, je critique Nyra Stephenson. Et alors ? Je suis le seul qui en ai le droit. Cette histoire là, risque de vous ennuyer plus qu'autre chose. Je vous invite donc à fermer cette fenêtre et attendre ma validation ou, si vous êtes réellement motivé à lire, je vous conseil de ne pas croire à l'impossible … Ou du moins, pas tout de suite.

    Mais maintenant, je pense qu'il est temps de commencer cette ennuyante histoire. À mes yeux, il est important de connaître un peu l'histoire des géniteurs pour comprendre celle de la progéniture. Après tout, je ne suis pas né dans cette famille par choix, mais bien par hasard, mon prénom, mon physique, notre niveau de vie, ce sont eux qui l'ont décidé il y a bien longtemps. Ai-je tord ? Non ? Tant mieux j'aime avoir raison. Règle numéro un : j'ai toujours raison. Règle numéro deux : se référer à la règle numéro un. Quand ma mère est né, mon père avait déjà dix sept ans et travaillait en tant que vendeur de journaux pour une petite presse locale. Kjell Sullivan était le quatrième enfant d'une famille uniquement composé de garçon. Il faut savoir que le père de mon père, par conséquent mon grand père, était anglais. Il avait quitté l'Angleterre pour aller se marier avec ma grand mère en Norvège. Seulement mon père n'avait aucune notion d'anglais, mais alors zéro. Sauf quelque petit mot qui se battaient en duel dans son vocabulaire vous voyez ? Ma mère elle, était la fille d'un parfumeurs de quartier pas très riche mais qu'on appréciait. C'est ce qu'il faisait qu'ils avaient de l'argent. Mon grand père maternelle est un type a qui on donnerait ciel et terre. Ses parfums n'étaient pas géniaux mais on s'interdisait de ne pas lui en acheter. Ma mère était une fripouille dont des dizaines de taches de rousseurs avaient élus domiciles sur ses joues de bébés qui refusaient désespérément de disparaître. Mes parents se rencontrèrent la première fois quand ma mère avait seulement douze ans … Se fut le coup de foudre immédiat et une histoire interdite eut lieu … … Non sérieux, vous m'avez pas cru quand même ? Hey, on est pas dans Roméo et Juliette. Mes parents n'ont pas eu une magnifique romance. Disons simplement que leur première rencontre fut violente et sans pitié. Mon père qui écrivait un article sur le quartier où travaillait mon grand père maternelle, devait conseiller quelques lieux. Ma mère voulut qu'il parle de la parfumerie. Il a refusé. Il l'a regretter. Comment ? Je ne citerai pas les détails, mais ma mère était une peste sans moralité et surtout sans pitié envers les organes masculins.

    Pourtant il a bien fallut qu'ils soient ensemble un jour ou l'autre pour que mes sœurs et moi soyons ici, dans ce monde. En faite après l'événement de l'article, mes parents ne s'étaient plus revu avant que celle-ci est vingt sept ans. Pour tout dire, ils auraient put se revoir mais mon père éviter ce quartier comme la peste de peur de tomber à genoux en hurlant à la mort à nouveau, comprenez que quand on a quarante quatre ans, ce genre de chose n'était pas ce que l'on attendait venant d'une fille. Ce que tout homme peut comprendre je pense ! Mais il arriva une chose, une action, qui mis mes parents ensemble. Cette chose ? L'alcool. Plus précisément de la Wodka, la vodka de l'Empire Russe. Charmant non ? Et pourtant. Ils étaient tous les deux dans le même bar, s'ignorant totalement, puis à cause de l'alcool et de l'euphorie ils commencèrent à parler de la pluie et du beau temps, enfin, ils émettaient de bref sons qui semblaient être des morceaux de phrases. Que voulez vous … Ils étaient pleins. Il n'était pas courant pour une femme d'être bourrée à l'époque. Ni maintenant d'ailleurs. Pourtant ma mère n'hésitait pas en tant de fête de le faire. Rarement certes mais c'était ma mère. Étrangement, je n'ai jamais été vraiment attiré par l'alcool. Sans doute parce que j'avais peur de ne pas avoir la même chance que mon père en étant bourré. Ils couchèrent ensemble. Oui vous avez bien lu coucher. Il n'y avait pas d'amour entre eux à ce moment là c'était purement physique. D'après mon père, ma mère le frappa violemment à leur réveil. Alors qu'elle était tout autant coupable que lui mais que voulez vous … Les femmes se disent toujours innocentes même quand elles sont sur le fait accomplis. Ils n'en parlèrent plus mais mon père prit souvent des nouvelles de ma mère de peur qu'elle soit tombé enceinte. Et ce ne fut pas le cas, désolé messieurs dames, ce n'est pas encore l'heure de mon existence à cette époque. Mais cette évidement les amusa et les fit tout d'abord amis. Puis ma mère, dans son fort caractère se mis à genoux et proposa à mon père de sortir avec. Mon père accepta en riant. Et c'est alors que ma jeune mère avait vingt neuf ans et mon père quarante six qu'ils se marièrent.

    C'est exactement dans cette même année que Edea et moi fûmes conçu et attendu comme des enfants divins. Et cette dans cette même année encore que l'on naquit, en bon brailleurs que nous sommes, en brisant les oreilles de la sage femme. Ah ah, Edea je suis trop fière de nous.

    Voici le début de tout

    Hope Sullivan - Membre de la Congrégation 687800Sans_titre_2

    Selon notre mère, Edea et moi étions des bébés qui bougeaient énormément dans son ventre. Tellement qu'elle aurait plusieurs fois demandé à mon père de la forcer à accoucher pour nous expulser de là. Quand enfin, on se décida à sortir, ce n'était pas non plus le bon jour pour nos parents. C'était un dix-sept décembre et ma mère s'occupait à ce moment là de négocier, violemment je vous laisse imaginer avec ma mère, du bois pour l'hiver. Elle s'apprêtait à donner son dernier argument, c'est à dire un coup de pied bien placé, quand une première contraction l'a pris. Le bucheron se moqua d'abord d'elle, puis quand il sentit la main de ma mère lui broyait la sienne, il se décida à la croire. Le bucheron poussa un cri qui mis en doute sa virilité et courait dans tous les sens à la recherche d'un médecin potable. Ou d'un médecin tout court. Ma mère, en bonne femme au fort caractère, lui hurla de la conduire chez la sage femme au lieu de gesticuler comme un gnou. Mon père quant à lui, arriva à la fin, essoufflé d'avoir traversé toute la ville pour arriver à temps. Il n'eut pas le temps de nous regarder que notre douce mère lui avait déjà envoyé tous les livres qui se trouvaient sur la table de nuit au visage. Mon père dut s'y prendre à plusieurs reprise pour essayer de nous approcher, étrangement, il riait de la situation pendant que ma mère rageait. Je pense que c'était mieux ainsi … Valait mieux un homme qui prenne cela en riant que méchamment. J'vous l'avez dit, mon père est classe. Puis vint le moment fatidique de nous donner des prénoms. Ce fut un long débat de plusieurs heures, l'un et l'autre ne voulant pas lâcher l'affaire. Seulement voyez vous, ma mère est plus terrifiante que le Comte Millénaire encore. Pourquoi ? Avez vous déjà eut l'audace de frapper sur une femme qui venait de subir un accouchement de jumeau, surtout quand cette femme à le sang chaud et n'hésite pas à vous frapper sans raison valable ? Non ? Alors vous comprenez pourquoi mon frère se plia à Maximilien et Edea.

    En soit ce n'était pas des prénoms très laids … Mais bon. Ironie, ma mère voulue que mon père lui dise des mots en anglais positif pour pouvoir nous appeler comme ça. Alors nous aurions notre prénom, et ce mot anglais qui serait notre dénomination. Seulement mon père avait un niveau anglais très bas, bien que son propre père le soit. Alors il sortie de vagues comme mot comme « sea », « sky » ou bien encore « lighting », « courageous » et autre … Puis mon père dit le mot « Sweet ». Ma mère s'illumina et ordonna que ce « nom » soit celui de Edea. Ma petite Edea si douce. De ce fait je me fis appeler « Hope », ce qui semblait être un nom parfait pour un garçon et surtout pour que je ne perde jamais espoir. Je suis d'un optimiste terrifiant par la faute de mes parents donc. Je ne me rappel pas de mes petites années, mais nous étions nés dans une période rude de l'année. Nos parents avaient sans arrêt peur pour notre santé et refusaient de nous laisser sortir durant les froide période d'hiver. Ce ne fut donc qu'au printemps que l'ont pu enfin sortir. Je ne me rappelle de rien, mais mon père nous raconta qu'on gesticulait et gazouillait, comme si on s'éveillait d'un très long sommeil. Cette vision des choses me plaisaient, mon père avait un don pour raconter les choses. Sweety et moi, on buvait ses paroles. La mythologie nordique était l'un de mes thème favoris, ainsi que les sciences. Mais ça c'était bien plus tard. Bébé je ne pouvais pas me décoller de Edea. Le lien étrange des jumeaux, vous connaissez ? On ne pouvait pas nous séparer bien longtemps. Notre mère arrêta le travail pendant un ans et deux mois, histoire de bien s'occupait de nous. À cette âge là, Sweety commençait à parler et avait toutes ses petites quenottes de sortie. Alors que moi, bien que j'avais toutes mes dents, ne parler que par mono-syllabe mais je marchais beaucoup. Je vagabondais. Ce que Sweety voulait, j'allais le chercher, quand j'essayais de m'exprimer, Edea le faisait pour moi. J'étais très éveillé et surtout très curieux. Je regardais partout, je croquais tout, et surtout je demandai toujours le mot pour désigner la chose à mon père en m'exprimant par un grand « ça ! » et en pointant mon doigt. Bien que les mots furent dit, je ne les prononçais pas après. Mon père m'avoua que souvent il pensait que je me moquai de lui avec une innocence enfantine trop adorable pour être puni.

    Puis notre mère cessa définitivement toutes activés comme le travail ou autre. Elle ne voulait s'occupait que de nous. Le premier vrai souvenir que j'ai, c'est mes parents réfléchissant aux problèmes de la scarlatine qui se propageait en ville. J'avais tout juste trois ans, et je n'aurai jamais cru que ce mot « scarlatine » pouvait à lui tout seul faire trembler mes parents. Mais bientôt, ce mot me retourna aussi, quand j'entendis pour la première fois les mots « Sweet » et « scarlatine » réunis ensemble. Je n'avais aucune idée de ce que cela était mais quand dans mon petit lit, j'entendis ma sœur gémir de douleur dans son lit en face du mien, mes petits yeux s'ouvrirent immédiatement et je m'avançais vers elle doucement avant de la secouer par les épaules. Elle me disait avoir mal à la gorge. Pour moi c'était les bobos à la gorge que le sirop au goût d'orange permettait de soigner, une angine en gros. Seulement, elle était blanche comme un cadavre, et d'horrible poche bleu s'étaient logé sous ses yeux. Elle était en sueurs. Par réflexe je mis ma main sur son front, elle était extrêmement brulante. J'étais paniqué, alors la chose que je fis en premier se fut d'aller réveiller mes parents. Je fus immédiatement changé de chambre et ma sœur, mise en quarantaine. Ma petite soeur jumelle avait attrapé la scarlatine. Je l'entendais gémir derrière cette porte qu'il m'était interdit de franchir, je savais qu'elle avait mal, qu'elle pleurait, qu'elle hurlait même parfois. Je l'entendais et je le sentais. Alors parfois je me mettais aussi à pleurer essayant d'ouvrir cette porte qui me séparait de ma moitié. Ma mère m'interdisait toujours et pouvait se montrer plutôt sévère. Mon père lui essayait de m'expliquer qu'il ne pouvait pas prendre de risque et qu'il essayait de faire en sorte que ma sœur se sente mieux. Mais je les avais entendu parler la nuit, la scarlatine se finissait toujours par la mort du patient. Seulement à trois ans je n'avais pas la notion de mort, alors quand je dus chercher dans l'un des vieux dictionnaires. Je n'avais rien compris, vu que je ne savais pas lire.

    Il me fallait donc demander à un adulte. Et vous savez que c'est chiant, de poser une question à un adulte qui vous répond « tu es encore trop jeune pour savoir ce genre de chose » ? Ni mon père ni ma mère ne m'expliqua la notion de mort, sans doute pour me préserver de ce qui pourrait arriver à Sweet. Il fallut alors que j'aille voir plusieurs personne pour que j'ai ma réponse. Se fut la vieille femme du village qui m'expliqua. La mort, est ce qui doit arrivé à tout être vivant un jour où l'autre. Le corps se fanent et le cœur s'éteint. L'âme est alors séparé du corps et les Dieux prennent soin du défunt. Une fois une personne morte, il est impossible de la revoir de son vivant. Cette explication m'avait fait froid dans le dos, je ne voulais pas perdre ma soeur jumelle comme ça. Alors quand je rentrai chez moi, je me posai contre la porte et me mis à lui parler. Simplement pour la détendre, pour lui montrer qu'elle serait mieux vivante avec moi que morte avec les anges. C'était ironique car mes parents ne nous avaient jamais enseignés la religion. Nous étions athées. Mais l'idée que des stupides anges trop blanc pour être vrai viennent me voler ma sœur ne m'enchantait pas du tout. Je sus resté contre sa porte durant tout le temps de sa maladie. Je dormais devant, je mangeais devant et je lui parlais. Je ne vous raconte même pas à quel point j'avais mal au dos, le sol c'est vraiment pas le meilleur des matelas. Mais je restais là, montrant ma présence à ma jumelle du mieux que je pouvais. Ah ! Sweety t'as intérêt de m'en être éternellement reconnaissante. Et par miracle, quelques semaines plus tard, je pus voir à mon réveil ma petite sœur assise à coté de moi. Miracle ou pas, je m'en moquais, pour moi c'était nos liens qui avaient fait qu'elle s'en sorte, une volonté de fer. On ne s'est plus lâché pendant les deux mois qui ont suivi. Mais l'inconnu me brulait l'estomac, ne rien savoir m'énervait. Mais mes compétences de l'époque, cela voulait dire dessiner et piailler, ne me permettait pas de comprendre de telle phénomène telle que « la scarlatine » ou bien encore tout simplement la médecine. Il me fallait progresser, pour Edea qui elle aussi était ignorante du monde.

    Alors avec mes petites mains, je prenais la manche de mon père et tirait dessus, il me souriait, me prenait sur ses genoux et me demandait ce que je désirais. Ce que je voulais ? Qu'il m'apprenne à lire et puis plus tard à écrire. Se fut sans doute étrange pour lui, alors il refusa. Seulement cette fois je n'étais pas tout seul, j'avais une Sweety remontait à bloc et qui savait se faire adorablement mesquine. Ce que je veux dire par là ? Vous avez déjà vu les yeux d'un chat quand vous êtes sur le point de lui crier dessus ? Il dilate ses pupilles et se met a ronronner, de manière à ce qu'on le trouve adorable, ce qui arrive souvent. Et bien ma sœur c'est le même principe. Mais mon père résista, mon père ce héros moi j'avais jamais réussis. Mais il ne faut jamais contre dire une Sweety, car c'était elle qui avait le plus grand esprit critique à l'époque. Elle l'a perdu avec l'age, mais invente toujours d'excellente choses à faire subir à Zakaria Smith, l'immigré d'Amérique. Enfin bref, ma petite sœur menaça d'aller demander des cours à la vieille femme du minage, celle qui sentait le chou et qui m'avait expliquer ce qu'était la mort. Ma mère, qui ne digérait pas du tout le fait que cette femme m'est expliqué la mort, hurla immédiatement, sortie de sa cuisine et menaça mon père avec une cuillère en bois, son arme de prédilection quand elle faisait la cuisine, qu'il avait plutôt intérêt à nous apprendre à lire si il ne voulait pas être lui aussi puni. Je n'avais aucune envi de savoir le genre de punition que ma mère pouvait donner à mon père … Non vraiment aucune. Mais dès le lendemain, notre père commença à nous apprendre les bases de la lecture norvégienne.

    Malentendante

    Hope Sullivan - Membre de la Congrégation 498952Sans_titre_2

    Quel âge avions nous quand cela est arrivé Sweet ? Seulement onze non ? Deux ans avant la naissance de Mina. Ouais je me souviens maintenant, on se disputait beaucoup à l'époque. C'est con maintenant que j'y repense. Notre père nous avait fait l'école à la maison jusqu'à nos six années, ensuite nos parents nous inscrivirent à l'école. La lecture, les arts et les langues intéressaient ma sœur alors qu'à mes yeux elle me dégoutait. Ces choses n'étaient que belles paroles sur papier et n'expliquaient rien à la vie, à l'existence. Je fus tout de suite attiré par les matières scientifiques, cherchant la raison du pourquoi. Maintenant que j'y repense se fut la première chose qui nous éloigna. Aujourd'hui je regrette encore d'avoir craché sur tes passions pour n'étudier que ce qui était digne d'intérêt à mes yeux. Ce fut nos premières disputes. Tu finissais souvent par pleurer, et moi je te rabaissais en ricanant sur le fait que tu n'étais qu'une pleurnicharde bonne qu'à lire des romans. En faite, te faire pleurer était devenue mon jeu favori. Dès que je le pouvais je t'humiliais ou te faisais comprendre que tu n'avais pas ta place en ce monde. Et dire que j'avais même pas atteint l'adolescence … J'étais vraiment le dernier des salopards. Je me demande même comment tu as réussis à me pardonner. À l'école, j'avais énormément d'amis et toi, presque pas, pour ne pas dire aucun. Combien de fois avec mes sois disant amis nous nous sommes moqués de toi, jusqu'à ce que tu pleures et que tu partes en courant en espérant que ça cesse enfin. Mais ça ne cessait jamais car dès que les parents avaient le dos tourné je continuais à te faire souffrir. Un sourire de démence aux lèvres et des paroles cruelles. Et elle pleurait en me suppliant d'arrêter. Mais je n'arrêtais jamais … Je crois bien que j'étais amoureux de l'expression de ma sœur quand elle était malheureuse. Le plus ironique dans tout ça, c'est que toi tu continuais de m'aimer comme j'aurais dut t'aimer. Avec adoration et douceur. Au lieu de ça je profitais de cette amour pour de rabaisser et même parfois la frapper. Elle ne se plaignit jamais à nos parents, elle continuait de sourire en esperant que je revienne comme avant, son frère qu'elle aimait tant. Je savais que tu avais voué une haine sans limite aux matières scientifiques qui furent les premiers éléments de notre éloignement., pourtant tu essayais sans arrêt de t'y mettre toujours et encore, en venant me demander conseil avec ce petit sourire qui t'étais propre. Tu étais prête à tout sacrifier pour moi petite sœur, n'est-ce pas ? J'étais vraiment qu'un sale con.

    Quand on eut onze ans, presque tout nous séparait. J'avais des manières de garçon et elle de petite fille, j'avais une santé solide, elle tombait souvent malade. J'aimais les sciences, elle aimait le littéraire. Elle souriait sans arrêt je n'étais jamais content. Elle croyait en moi, je la voyais comme un fardeau. Seulement quelques chose me brisa, ce fut quand elle demanda à avoir une chambre à elle seule. Il fallait s'y attendre après tout, c'était une fille et elle avait besoin d'intimité. Mais de là à se séparer de moi. Pour moi c'était incompréhensible, je ne pouvais pas comprendre pourquoi elle s'éloignait soudainement de moi. Oui, j'étais vraiment aveugle. Il était logique que Edea, même si elle était douce, veuille fuir son bourreau le plus rapidement possible. Sauf qu'à mes yeux c'était une trahison impardonnable. Et elle allait le payer. Les persécutions qui étaient alors ponctuelles devinrent générales. Dès que je la voyais je devais la blessait, moralement ou physiquement. Je jetais ses nouveaux souliers dans la cuvette des toilettes, je lui renversais de l'eau sur la tête, je tartinais sa chaise de confiture, je la poussais violemment par terre, je l'écrasais avec mes chaussures, je la frappais avec un bâton, je lui disais de faire mon cheval et utilisais ses cheveux comme rennes pour diriger. Moralement je m'éclipsais dans la salle de classe des filles durant la récrée et j'écrivais des horreurs sur elle au tableau, je la rabaissais et l'humiliais, je l'empêchais de se relevait quand elle tombait, je lui disais ô combien je la trouvais laide et que je la détestais. Elle serrait toujours ses petits livres contre elle en sanglotant en me suppliant d'arrêter. Plusieurs fois je le voulu et désira la prendre dans mes bras pour m'excuser, mais c'était en même temps si exquis. Je la poussais à bout. Mais ce n'était jamais assez, car elle gardait son sourire. Edea n'eut jamais perdu le sourire, bien qu'il soit horriblement triste. Si j'avais eu un soupçon d'humanité à l'époque, je me serais arrêté immédiatement. Mais non je faisais toujours plus, au final, tout le monde la martyrisait, sans pitié. Edea, à cause d'une santé fragile, pouvait facilement tombait malade et donc avait énormément de mal à l'école. Alors quand on entendait dans la classe des garçons, des moqueries des insultes provenant de filles, c'était facile de comprendre que c'était pour ma sœur, ma si mauvaise élève de sœur.

    Mais ça ne suffisait jamais, je voulais la briser définitivement, voir ses yeux si beaux être détruit, je ne voulais plus voir une once d'espérance dans ses yeux. Je portais tellement mal mon surnom … Il fallait que je trouve comment la briser de toute part. Ah mais ne me frappez pas ! Je sais que j'étais qu'un sale petit con égoïste sans fois ni loi ! Je le sais et je le regrette assez comme ça ! Surtout ce que je lui ai dit. Je venais d'entrer dans sa chambre et sortit son journal intime de sous son oreiller et commençait à le lire. Toutes les pensées intime de ma chère Edea, je les découvrais. Je pouvais lire à quel point je la faisais souffrir, à quel point elle m'aimait et je réalisais à quel point j'étais un connard. Mais même en le réalisant je ne pouvais pas m'arrêter. Je m'étais laissé glisser dans un engrenage sans fin et je réalisais bien que celui qui aurait la mort de Sweet, c'était moi et personne d'autre.

    Quand elle entra dans sa chambre, le temps s'arrêta, ses yeux se fixèrent immédiatement sur le petit carnet que je tenais entre mes mains. Jamais je ne l'avais vu si en colère, elle bondit sur moi et m'arracha le cahier des mains avant de le serrer contre sa poitrine naissante. Elle était au bord des larmes, et moi comme un idiot je restais immobile en face d'elle.

      - Ce cahier est à moi ! Tu n'as pas le droit de le lire ! Tu peux me frappais, m'humilier, me rabaissais, me traiter comme une simple chose mais tu n'as pas le droit de fouiller dans mes affaires ! C'est mon espace ! Mon intimité ! C'est tout ce qu'il me reste tu n'as pas le droit de me le prendre, hurla t-elle en se recroquevillant sur le fameux journal.

    C'était la première fois qu'elle me tenait tête, si on peu dire. Je me rappelle encore de chaque syllabe prononcé et de l'énervement que cela m'avait causé. Je l'avais poussé contre son mur violemment et un gémissement de douleur s'échappa de ses lèvres. Si j'avais voulu, j'aurais pus lui prendre la dernière dignité qu'il lui rester en la violant, elle était tellement faible que cela aurait été un jeu d'enfant. Mais c'était ma sœur, ma petite sœur tant aimé. Alors je fis que prendre son journal intime et arracher les pages une par une sous ses yeux horrifiés. Mon visage à moi rester impassible, vide de toute expression. Je m'en moquais. Je voulais juste voir son bien le plus précieux partir en lambeaux, qu'elle est tout simplement mal. Une fois chaque page arraché et recouvrant le sol je regardais ma précieuse petite sœur en larmes. J'étais un immonde bâtard.

      - Tu es un déchet … Un fardeau pour les autres, tu ne peux rien faire par toi même et tu coûtes cher à entretenir. Tu es tout simplement une erreur de la nature … Il aurait mieux valu pour nous tous que tu meurs de la scarlatine ce jour là. Non, mieux, que tu ne viennes jamais au monde. Je souhaite ne t'avoir jamais eus pour sœur jumelle. Je ne souhaite que ta mort Edea, fis-je simplement en la regardant se décomposer.

    Je n'avais jamais dit cela à ma sœur, car malgré tout ça je l'aimais. Et pourtant ... Je la regardais s'effondrer devant moi, parcouru de spasme. Je n'aurais jamais même imaginer que j'aurais pu un jour blesser ma soeur ainsi. Elle me bouscula et sortie de la pièce en courant, je ne regardai même pas me fuir. Mes yeux tombèrent sur le tapis de feuilles, chacune écrite de sa jolie écriture manuscrite. Le norvégien était une langue brute, dîtes par ma soeur, elle devenait douce et agréable à entendre. Un vague sourire se dessina sur mes lèvres, je l'avais finalement fait. J'avais brisé ma sœur. Mais étrangement je n'en ressentais aucune satisfaction, rien, à part peut être un étrange vide au milieu de ma poitrine. Le soir elle ne rentra pas à la maison. Mes parents s'inquiétèrent et partirent à sa recherche. Évidement ils ne la trouvèrent pas. Il était impossible de retrouver Sweety quand elle était décidé à ne pas être trouvé. Mes parents me demandèrent je savais où elle était, je n'en avais aucune idée. Puis plusieurs remarques de ma mère me blessèrent, mais ce n'était pas important, je connaissais ma mère, elle parlait rapidement quand elle était en colère ou inquiète sans jamais vraiment y croire. Mais une phrase me resta gravé dans ma tête … « Tu délaisses ta sœur, sais tu seulement à quel point ça lui fait mal ? ». Évidement que je le savais vu que je l'avais voulu. J'avais voulu la détruire et lui faire mal. Pourquoi ?

    Étrangement, bien que je fus habitué à dormir tout seul, cette nuit là me paru extrêmement triste. Je me sentais seul et nostalgique, cherchant quelque part dans cette chambre une trace de l'odeur d'Edea. Mais elle avait disparut depuis bien trop longtemps de cette chambre pour qu'une seule particule de son odeur soit resté ici. J'étais confiné, compressé, comme si on m'avait arraché une partie de mon âme. À deux nous ne formions qu'un. Tout seul nous étions incomplet. Bordel … Au début nous n'étions qu'une seule et même personne, nous étions unis à jamais, pourquoi cette saloperies de cellule s'était elle séparée en deux ? Le destin avait que Sweet et moi serions séparé à jamais. Seul un fil nous réunissait. Et moi comme un con j'ai tout fait pour casser ce fil. J'avais voulu savoir si je serais heureux en détruisant ma jumelle, mais au final j'étais autant détruite qu'elle. Le lien qui unissait les jumeaux était étrange mais douloureux, quoique je fasse je ne pouvais me libérer de ma petite jumelle. Si fragile. Je voulais la revoir. Je voulais la serrer dans mes bras et lui présenter mille excuses. Mon corps refusait de céder au sommeil. Si elle venait à rentrer, je voulais être le premier à la voir, et à l'embrasser, la serrer, la protéger. Mais elle ne revint pas.

    Elle ne revint pas non plus au bout de trois jours. J'avais sécher l'école pour essayer de la retrouver, sans succès. Ce fut la nuit du quatrième jour qu'elle revint enfin. Je dormais d'un sommeil emplie de cauchemars quand je sentis la présence apaisante de ma jumelle. Immédiatement mes yeux s'ouvrirent, cherchant où se trouvait la douceur de ma sœur. Je sortis en trombe de ma chambre pour voir un corps frêle et fragile couvert de boue allongé sur le canapé. Edea. Je ne voyais pas sa tête du haut des escaliers, mais son corps était couvert de blessures plus ou moins importantes. Mais quelque chose n'allait pas, pourquoi semblait elle si faible, et pourquoi certaines partie de son corps dont ses bras semblaient brulés. Quand j'arrivais à la porte mon corps se figea et mon sang se glaça. Je dus m'appuyer contre le mur pour ne pas fuir en courant. Les cheveux blond de ma jumelle était mélangé à la boue mais aussi au sang. De son nez et de ses oreilles coulaient une quantité de sang importante aux yeux d'un petit garçon de onze ans. Certaines petites parties de son visage avaient été brulés et des larmes sans fin coulait du visage si parfait de ma petite jumelle. Je courus vers elle et la serra contre moi. Elle ne réagit pas mais je m'en moquais, je sentais le besoin de la serrer et de pleurer aussi. Je n'avais aucune idée de ce qui s'était passé mais c'était entièrement ma faute. Un médecin arriva d'urgence pour ausculter ma sœur. Le verdict tomba rapidement, son tympan droit avait explosé et celui de gauche était dans un sale état.

    Le fait de ne presque plus rien entendre choqua Edea qui mit plusieurs jours à s'en remettre. Elle n'entendait presque plus mais pouvait toujours parler, c'était rassurant dans un sens. Bien que je ne réussis toujours pas à l'approcher pour m'excuser. J'avais honte, honte de ce que je lui avais fait subir à elle ! Elle ne méritait pas ça, surtout pas elle, Sweet n'avait rien fait du tout alors pourquoi ? Sweety raconta rapidement ce qui c'était passé. Elle avait fuis, loin. Puis elle était arrivé au nord de la ville, près de la pleine, où les militaires essayaient diverses armes. En voulant traverser, elle posa le pied sur une mine artisanale et eut tout juste le temps de se protéger les visages avec les bras avant qu'elle n'explose. Encore une chance que les mines de notre époque de soit pas puissante, sinon j'aurais pu dire adieu à ma sœur et ça pour toujours. Plusieurs fois je voulus entrer dans sa chambre pour m'excuser, mais je n'avais aucune idée de comment. Elle n'avait même pas dit qu'elle avait fuis par ma faute … Je voulais tellement lui dire que je ne pensais pas qu'elle mettait inutile. Je fis alors ce que je n'aurais jamais cru faire … J'ouvris un roman nommé La Curée d'un certains Zola, un français. Ma sœur adorait les auteurs français. Et je me mis à le lire du mieux que je pouvais et surtout à comprendre cette horrible charabia. Et quand enfin, ma pauvre petite tête réussit à terminé ce pavé, je me rendis compte que les sciences ou la littérature, c'était aussi compliqué et qu'il n'y avait pas un domaine supérieur à l'autre. Je ne savais pas m'exprimer, mais je connaissais toute sorte de chose de la vie, mais a quoi bon les savoirs qui je ne peux pas les communiquer.

    Alors se fut le moment d'aller m'excuser. Je ne faisais pas le fier, ça je peux vous le garantir. Quand j'entrais dans sa chambre, elle était dans son lit en train de lire un livre qui expliquait comment lire sur les lèvres des autres. Je serrais le roman contre ma poitrine et m'avança vers elle pour être dans son champ de vision et lui fit un vague sourire nerveux. Elle me répondit simplement en prenant un air terrifié. Bon okay je l'avais mérité mais quand même ! J'suis une bombe ! J'ai un Sex Appeal du tonnerre ! Je posai mon délicat petit derrière sur le lit et serra ma petite sœur contre moi. Bon elle fut énormément surprise et posa même sa main sur mon front pour vérifier si je n'étais pas fiévreux. Je soupirai et sortie un cahier neuf et me mis à écrire dedans, ou du moins j'essayais d'écrire un mot d'excuse. Quoi ?! J'étais pas doué avec les mots ! Alors en plus avec mon orgueil aussi gros que celui de Bonaparte bonjour la réussite du mot … Oui j'étais nulle et alors ça vous pose un problème ? Non ? Bah tant mieux alors ! Non mais oh. Je débattais comme un grand fou sur ça, et Sweet le voyait bien, cela la fit même rire. Je lui souris avant d'écrire deux simples petits mots « tilgi meg ». Cela voulez tout simplement dire, pardonnes moi et j'espérais vraiment qu'elle me pardonnerait à moi l'imbécile de frère. Elle sourit et me prit les mains avant de les embrasser.

      - Même si je n'entends presque plus rien, même si on s'est souvent disputé, tu restes mon jumeau adoré et celui que j'ai toujours aimé. On est qu'une seule personne je ne peux pas te détester, cela reviendrait à haïr une partie de moi même, et cela ne fait pas partie de mes critères de perfection, expliqua t-elle en souriant.

    Je vous dis pas la claque mentale que ça m'a fait. Ce qu'elle avait dit, je ne l'avais compris que lorsqu'elle avait disparut. Je souris avant de laisser s'échapper un rire nerveux de mes lèvres et d'éclater en sanglot en la serrant. Elle m'enveloppa dans ses bras et me berça. Quel mauvais jumeau j'étais. Mais c'était bon, je me sentais mieux, comme si un poids de disparaître de mes frêles épaules. J'étais bien mais je devais immédiatement remettre les choses dans leur contexte. Je ne pouvais pas me permettre de revoir ma sœur dans le même état que dans ce canapé, plus jamais. Je pris le cahier et le stylo et me dis écrire activement dessus, à rayer, rajouter, comme je le faisais avant quand j'essayais d'écrire mon horrible prénom en entier.

    « Bon alors Je voulais te dire quelque chose. Ça va changer A partir de maintenant tout sera différent, je te protégerais de mon mieux de toutes mes forces ! Plus personne ne te fera du mal, je te le promet. Maintenant se sera toi et moi, alors tu n'as qu'une chose à faire : sourire et rire ! »


    En lisant mon message le vissage de ma sœur s'éclaircit et elle me dit un énorme sourire avant de hocher la tête de haut en bas en signe d'approbation. Je lui rendis son sourire. Dès lors ceux qui était mes amis devinrent mes ennemis et j'appris avec difficultés certes, le langages des signes pour mieux discuter avec ma petite sœur. De plus j'apprenais la littérature et les langues en plus des matières scientifiques. Qui aurait cru que j'avais réellement eus raison de me mettre à l'anglais.

    Mina

    Hope Sullivan - Membre de la Congrégation 810436Sans_titre_2

    Deux ans passèrent, mon niveau d'anglais frôlait la nullité mais je savais dire les bases, par contre j'étais devenu un lecteur assidu et je parlais couramment le langage des signes. Qui aurait cru que se serait si difficile d'apprendre ça ! J'ai enfin réussit à tout mémorisé au bout d'un ans et demi de dur labeur alors que Edea l'avait retenu en seulement trois moi. Vous savez que c'est frustrant ça. Du haut de nos treize ans on était à nouveau lié, je lui avais appris, avec énormément de mal, à apprécier les sciences et les mathématiques et elle m'enseignait l'histoire, les langues et la littérature à sa manière. C'est à dire expliquer comme un pied. Le plus amusant dans son cas, c'est comme elle n'entendait plus rien il lui arrivait de hurler sans s'en rendre compte. A partir de maintenant nous retournerons au récit ennuyant prévu au départ. Une vie ennuyante d'un pré-ado de treize petites années et qui croit avoir tout vu de la vie. Que voulez vous j'étais jeune et con … Moins con qu'à onze ans mais quand même. Mais j'étais heureux et ça c'était l'essentiel. Ces deux ans peuvent se résumer facilement même par moi. Sweet et moi nous étions fait une petite réputation fort sympathique je dois l'avouer. Tout d'abord je me suis battu plusieurs fois avec ceux qui martyrisaient Edea avec moi autrefois. Évidement j'étais devenu le traitre à abattre. Ah ah j'aime quand on me déteste. Allez y critiquez moi, au moins vous parlerez de quelqu'un d'intéressant ! De plus contre toute attente, Sweety et moi sommes devenus de vrais farceur, pourrissant la vie de la majorité du village, mais tout le monde nous adorait. Étrange non ?

    Mais cette année là fut tout a fait … fabuleuse, de part à cause de la naissance de Mina. Mina est ma petite sœur, vous l'avez compris Edea et moi avons treize année d'écart avec la petite, ce qui fait beaucoup si vous voulez mon avis. Mais bon on ne contrôle pas quand est-ce qu'une femme tombe enceinte. J'espère du moins, que dans les années à venir, quelque chose sera mis en place pour éviter à une femme de tomber enceinte quand ce n'est pas voulu ou de choper des infections, comme pour le vieux Jack qui à transmis ses boutons à sa femme au niveau du postérieur. Comment il a fait ? Je ne veux pas savoir et je ne veux jamais le savoir ! Jamais ! Mais le fait est que notre mère tomba enceinte. Au début nous n'avions aucune mais alors aucune idée que c'était le cas. Qui aurait cru que notre mère si … Si elle même quoi, tomberait enceinte après nous avoir eut nous, les enfants terribles. Pourtant se fut le cas. Minerva, dit Mina, Love Sullivan. Ce fut un étrange bébé que nous virent pour la première fois. Mais je pense que Mina aussi mérite sa petite partie de l'histoire, après tout, elle est une partie intégrante de ma vie. Un récit ennuyant se prépare donc, je vous invite donc à la fin de ce paragraphe d'aller directement à la partie « Exorcistes - Trouveurs » qui vous conviendra certainement plus. Étant donné que vous vous demandez sans doute pourquoi je vous étale ma vie ainsi alors que je ne suis qu'un pauvre petit scientifique et encore ! Je ne suis qu'en formation sous les ordres d'un homme des plus loufoques. Mon histoire est banal, je n'ai jamais réellement souffert à part pour Edea autrement … D'ailleurs si vous avez réussit à tenir jusqu'ici je vous tire mon chapeau. Seulement l'ennui revient au galop. Passez votre chemin, moi je continue de raconter. Mais qui sait, peut être aurez vous le courage de braver l'ennuie pour lire cette partie.

    Si vous lisez ces quelques lignes c'est que vous avez eut le courage de lire, je vous en félicite. Mais il est maintenant temps de reprendre le cours de cette histoire. Il faut tout d'abord savoir que Edea et moi étions de sale morveux quand même soyons franc. Il nous était très, trop, facile de savoir quand est-ce que nos parents montaient dans leur chambre pour faire « les choses de grands » comme on disait plus jeune. Mon père se mettait toujours à dodeliner la tête dans le vide puis se raclait deux à trois fois la gorge avant de poser une main sur l'épaule et de poser une question idiote à ma mère avec une fois trop aigu pour être celle d'un homme assuré comme notre père … Surtout avec ses joues potelés rouges. De plus quand vous voyais une femme comme ma mère gloussait comme une poulette de vingt ans … Bon bah on savait qu'ils allaient faire leur galipette quoi. Et nous, fourbe que nous sommes, on se faufilait derrière la porte et on écoutait. Bon hein, autant le dire tout de suite, nos parents étaient tout sauf discret dans ce domaine. Entre les hurlements de plaisir de ma mère, les râles de mon père, le lit qui grinçait … Enfin bref la totale quoi. Mais nous, ça nous faisais délirer. Mais on aurait jamais cru que durant l'une de ces fameuses « escapades » dans la chambre nous aurait donné une petite sœur, aussi mignonne soit elle.

    On ne compris pas ce qui arriva au début. Notre mère était nauséeuse et d'une humeur a assassiné un homme à main nu. Elle passait ses mâtinés dans la salles de bain à vomir ses tripes, elle mangeait très peu et le peu qu'elle mangeait finissait immédiatement dans les toilettes. Elle était faible et sans arrêt fatiguée. Pour une femme aussi forte que notre mère, c'était un signe que le ragnarok était proche, ça ne pouvait pas être autrement sinon. Quoi ? Comment ça j'exagère un peu là ? Mais pas du tout ! Notre mère était sans doute la femme la plus terrifiante de Norvège ! Rien à voir avec toutes ces femmes douces et fragiles. Ah non ! Notre mère c'était une guerrière. On avait toujours cru que dans une autre vie, notre mère était une Walkyries, l'une des guerrières filles d'Odin. Quand Edea et moi lui avions fait la supposition, elle avait éclaté de rire et nous avait ébouriffé en nous racontant une histoire comme quoi c'était le cas et s'inventait d'extraordinaire aventures pour nous faire plaisir. Avant que papa n'arrive et glisse rapidement que maman était un démon sortie tout droit de Muspellheim et qu'elle serait la cause du Ragnarok avec Surt. Souvent il se faisait frappé après avoir dit de tel chose. Mais maman riait toujours après ça. C'était sans doute pour ça qu'on ne comprenait pas l'état de notre mère. Elle qui était si forte était devenu soudainement une petite chose faible qui se sentait mal. Il fallait qu'elle se fasse rapidement ausculter par un médecin, et notre père pensait pareil. Mais pensait donc que cette tête de mule qui me servait de mère approuvait cette idée. Elle ne voulait voir aucun médecin pour elle dans cette maison sous peine de courir pendant des heures autour de la maison. Edea m'avait dit que si elle avait assez de force pour nous menacer, c'est que ça devait pas être trop grave. Ou du moins elle essayait de s'en convaincre. Et moi aussi.

    Surtout quand le simple fait de sentir la nourriture commença à l'écœurer. Là c'était alertant. Alors mon père ne réfléchit plus et alla voir un médecin pour lui expliquer les symptôme de notre mère. Ce dernier réclama à voir immédiatement notre mère. Je vous raconte pas comment on s'est fait tuer verbalement et on craignait pour notre vie quand notre mère serait remise. La consultation dura environ une heure et demi, notre père fumait sa pipe en bois d'un air d'automate alors qu'Edea et moi tournions en rond. On aurait juré des lions en cage. De plus le fait de ne pas entendre notre mère hurlait des menaces de mort à tord et à travers nous inquiétait d'avantage. Alors quand le médecin descendit les marches avec une mine sombre et grave, je vous laisse imaginer ce qui à put se passer dans nos petites têtes. On bondit tous sur le médecin pour le harceler de question, ne lui laissant pas l'occasion de parler, nous voulions tout savoir maintenant et sans interruption et pourtant on était les premiers à l'empêcher de parler. Un vague sourire apparut sur les lèvres du docteur qui posa sa grosse paluche de main sur l'épaule de mon père en souriant de toutes ses dents. Évidement, nous on comprit que dalle, hein. On était pas devin non plus, de plus en descendant les escaliers on avait l'impression qu'il allait nous annoncer la mort de quelqu'un !

      - Et bien félicitation Kjell ! Qui aurait cru que Oliwia retomberait enceinte après toutes ces années, fit le médecin en souriant à notre père.

    Aussitôt cette phrase dite, Edea et moi filions à l'étage direction la chambre conjugal où se reposait notre mère. J'entrouvris la porte doucement pour voir notre mère. J'étais à quatre patte sur le sol alors que ma sœur s'appuyait sur mon dos pour voir un peu ce qui se passait. Se fut sans aucun doute la première fois que je vis ma mère si épanouis, allongé dans ce lit en se caressant le ventre tendrement. Quand elle nous vit, elle nous fit un sourire avant de nous faire signe de venir la voir. Ni une, ni deux, on avait déjà bondit dans le lit pour se pelotonner contre elle. C'était chaud, c'était doux, c'était notre mère. C'était tellement étrange de voir une femme si énergique, si elle même quoi, devenir si douce. On allait avoir un petit frère ou une petite soeur et ça on savait pas comment le prendre. Fallait nous comprendre. Edea et moi avions été les rois de cette famille pendant presque quatorze ans ! Et là paf, il y allait avoir une intrusion d'une étrange petite chose potelée et rose dans notre vie. Qui plus est, cette chose ferait du bruit, puerait et baverait. Enfin bref, cette alternative ne me plaisait pas du tout … Et encore moins à Edea qui avait pour habitude d'être la « princesse ».

    Mais la pire épreuve fut sans aucun doute d'avoir à supporter une grossesse d'une femme comme ma mère. Elle avait faim, elle avait pas faim, elle était fatiguée, elle l'était plus, elle voulait des câlins, elle en voulait plus, elle t'aimait, elle te détestait, elle riait, elle pleurait … Et encore ça c'est pas le pire ! Quand elle se réveillait la nuit et qu'elle s'ennuyait, notre mère nous réveillait tous ! Coup de sceau d'eau glacé s'il le fallait ! Avec une Edea qui hurlait sans arrêt qu'elle ne serait jamais enceinte ô grand jamais ! Et ça, ça contrariait vraiment mes plans ! Non mais sérieux … Qui est l'abruti qui à dit qu'être enceinte rendait une femme radieuse ? Que je le tue sur le champ sans pitié. Et je voyais toutes les voisines s'extasier sur le gros ventre que ma mère abordait fièrement … En public. En privé c'était « Je suis obèse ! On dirait un éléphant de mer échoué sur la plage ! ». Et avec un le tact légendaire de mon père : « un joli éléphant de mer alors ». Vraiment … Merci papa, pour parlez au femme, t'as le chic.

    Mais le pire de tous, fut sans aucun doute l'arrivée mouvementé de ma petite sœur. Mon père était partie chercher une soupe de concombre et de poireaux à la rose pour ma mère, aller savoir si ça existe d'ailleurs. Ma mère était donc en train de lire un de ces étranges romans à l'eau de rose, qu'avant elle n'aurait jamais lu, quand soudain elle poussa un cri à en faire trembler la maison. Pour vous dire, je suis partie me cacher derrière ma sœur ! Hein quoi ? Mais arrêtez de rire c'est terrifiant ! Bon okay, Edea elle a juste était surprise. Mais comprenez que c'est parce qu'elle a les gênes de ma mère. Plus tard, elle sera un canon c'est sûr, c'est ma sœur … Mais elle sera aussi redoutable ! J'ai peur pour son futur mari. … Oublier ce que je viens de dire, elle n'aura jamais de mari, je l'interdis ! Quoi ? Comment ça je commence à développer un sister complex très complexe ? Hey, me confondez pas avec Komui s'il vous plait. Merci. Enfin bref reprenons. Essayez d'imaginer la réaction deux momes de treize ans à qui ont cri « j'ai perdu les eaux ! Il va sortir ! ». Vous verrez un jeune garçon blond tombait dans les pommes. Oui, je l'avoues, je suis tombé dans les pommes et selon mon père j'ai bien fait en plus vu le carnage. La main de mon père était bandé d'ailleurs … Je ne veux même pas imaginer ce qui s'est produit durant cet accouchement. Point positif : Edea n'arrêtait pas de dire que jamais ô grand jamais elle ne voulait des enfants.

    Seulement elle était là, ma petite sœur, dans son berceau rose que mon père avait construit comme un bourrin sous les hurlements de ma mère lors du septième mois de grossesse. Mes petits pas me conduisirent juste au dessus pour regarder la petite boule de graisse qui se trouvait à l'intérieur. Ma soeur était … Laide. Mais alors … Elle était minuscule mais très potelée, elle n'avait aucun poil sur le caillou, de plus on aurait juré qu'elle avait plusieurs couche de paupière tellement elles étaient immenses. Elle était aussi fripée de partout, c'était vraiment laid. Pourtant ma mère la traitait comme comme la huitième merveille du monde … Mais y'avait vraiment pas de quoi battre une mouche. Mais étrangement, je me sentais attiré par cette petite chose laide, comme captivé. Mes doigts frôlèrent la peau du bébé, bon sang que c'était désagréable, j'en fis même une grimace. Mais mon inspection n'était pas terminé, oh que non. Mon index se posa sur le nez et j'appuyai doucement dessus, un gémissement de gène me répondit. La chose était vivante, bon signe. Un sourire se dessina même sur mon visage … En faite elle était marrante cette petite boule de graisse. Je l'aimais bien finalement … Ma petite Mina.

    Exorcistes - Trouveurs

    Hope Sullivan - Membre de la Congrégation 732249Copie_de_Copie_de_Copie_de_Sans_titre_2

    Nouvelle étape, je vous propose de faire à nouveau un bon de deux ans dans le temps. Oui, vous avez remarqué, nous faisons souvent des plus deux. J'aime bien les nombres paires, surtout le deux. Enfin c'est un peu hors sujet là non ? Soit, je reprend. Commençons par expliquer un peu la situation actuelle à ce moment précis de ma vie. Edea et moi avions quinze années tous les deux. Sweety écrivait énormément de lettres à divers correspondants étranger qu'elle avait rencontré en voyageant avec le père Vlad l'année précédente. Résultat elle parlait couramment l'anglais et le français. Je la haïssais sur ce point là. Moi qui galérait déjà à essayer d'apprendre l'anglais et à parler correctement ma langue natale. Mais moi je connaissais la langue des sciences, et celle la elle était universelle ! Tout le monde la comprenait. Pas besoin de savoir tous les verbes irréguliers de l'anglais ! De plus les sciences me permettaient de m'exprimer sur la nature et sur les mathématiques. Enfin, elle était bonne dans une matière et moi dans une autre, ce n'était pas vraiment dérangeant en soit. Maintenant parlons de la petite Mina. Et bien Mina était déjà devenu plus agréable à regarder avec ses cheveux blond et ses yeux noisettes. Elle marchait, elle commençait à parler correctement … Comprenez par là que ce n'était plus des « et pis bah la mainess bah elle a dit que bah en faite ». Bon c'était pas une très grosse évolution mais, au moins on voyait qu'elle grandissait cette adorable petite boule de graisse. Oui, car je suis désolé, un enfant est potelé. Mais c'est aussi à cette époque là que j'ai rencontré Ratatosk, qui je pense a à mes yeux, plus de valeur de la congrégation.

    C'était en janvier, il neigeait. Rien d'étonnant en Norvège. Il devait y avoir bien avoir quinze à vingt centimètre de neige. Sweet et moi avions été envoyé faire les courses chez l'épicier, évidement il a fallut que nous traversions la ville. Génial, j'avais le bas de mon pantalon trempé. Pourquoi je n'avais pas mis mes bottes ce jour là ? Pourquoi ? Enfin bref, hors sujet .. En faite, ce fut Edea qui le trouva. Alors que j'avançais et lui parlait, elle se baissa soudainement me laissant avancer. Je mis bien une minute à me rendre compte que je parlais seul dans le vide et quand enfin je me retournai pour la voir agenouillé devant un arbre. En soupirant, je me dirigeais vers elle et m'accroupis sans aucune élégance devant l'objet de tant d'attention de ma sœur. Il s'agissait d'un petit animal recroquevillé sur lui même et tremblant de froid. Pauvre bête.

      - Tu sais ce que c'est ? me demanda en souriant ma sœur.
      - Et bien à première vue c'est un Tamia de la famille des Sciuridae, une espèce assez rare par chez nous je dois dire … Il est surement en bas âge, vu sa taille, répondis-je en le regardant rapidement.
      - Ce que tu peux être énervant parfois ! Le mot « écureuil » aurait suffit ! Crétin ! me fit elle en me collant son coude dans les côtes.

    Je vous l'avais dit qu'elle était violente. Je voyais aux yeux de Sweet qu'elle était triste pour cette pauvre petite chose … Ou écureuil, c'est comme vous voulez hein. Alors dans mon esprit ô combien tordu de vouloir la reconnaissance de ma chère petite sœur, et surtout d'être considéré comme un héros, je pris la bestiole dans ma main doucement avant de me faire mordre sauvagement par cette saleté. Aussitôt fait, je jetais la bestiole à terre en hurlant d'un cri fort peu viril en me tenant le doigt. Devinez qui fut le plus brutus aux yeux de Edea … Alors que je suçotais mon pauvre doigt endoloris, elle gagatisait sur l'écureuil qui soufflait en signe de représailles. En suçotant mon doigt, je fusillais cette sale bête avant de le prendre sans pitié par la nuque et le mettre dans le sac de course. Il bougeait bien mais au moins il serait moins chiant à transporter. Sweet me regarda bizarrement avant de me suivre. Une fois que nous fûmes à la maison, je pris l'espèce de fourbe par la queue et montai dans ma chambre. Oui il hurla de douleur ! Oui je savais que ça lui ferait mal ! Et alors ? À moi aussi il m'a fait mal ! Mais ça évidement tout le monde s'en moque hein. Tout le monde ne voit que par la petite boule adorable qu'était et qui est toujours d'ailleurs ce démon d'écureuil. Je déposai sans douceur la bestiole sur mon lit et m'accroupis pour mieux la regarder. L'écureuil tremblait de partout, de peur et de froid je suppose ...

      - Sweetyyyy ! Ça mange quoi un écureuil ? beuglais-je de ma chambre pour ma sœur qui rangeait les courses.
      - T'as cas demander à ton abruti de cerveau de scientifique ! me répondit elle avec douceur et grâce.

    Mes yeux se posèrent sur mon pauvre petit doigt sanguinolent … Physiquement, je n'étais plus parfait pour les deux semaines qui suivirent, et ça c'était impardonnable ! Mais évidement, personne ne voyait comme moi dans cette famille, c'était une injustice pure et dure ! Mais on ne pouvait pas envoyer un écureuil devant un tribunal pour atteinte à la beauté suprême, même d'un être comme moi. Enfin bon. Je sortis de sous mon lit une boite en ferraille et l'ouvris pour découvrir des noix … J'adorais les noix. Mais Edea aussi, donc il fallait que je cache mon trésor des yeux de cette gourmande ! Je brisais l'une des précieuses coque et tendit le noyaux comestible à l'espèce de goinfre qui faillit me manger les doigts en la mangeant. Ce petit manège dura deux semaines. La sale bête m'avait adopté et me suivait partout où j'allais. Bah, elle n'était pas encombrante puis plutôt mignonne. Alors je décidais de garder la crapule avec moi. En soulevant, sans douceur sa queue, je pus voir que c'était un mâle. Il ne me restait donc plus qu'à trouver un prénom à cette chose. Je lui proposais « truc », « créature », « mordi », « crapule », mais rien ne lui convient … Enfin je crois … J'espère qu'il ne me mordait pas la main par plaisir ! Ce fut un jour alors que j'étais allongé dans mon lit que je lui proposai le nom qui lui convenait …. euh … Je crois.

      - Dit la chose … ça te tente « Ratatosk » ? C'était le nom d'un dieu écureuil dans la religion nordique … Et comme t'es beau gosse dans le genre écureuil, le nom d'un dieu t'irais bien non ?

    Étrangement Ratatosk ne me mordit pas ou autre. J'en conclus donc que cela lui plaisait. A moins qu'il n'était trop obnubilé par la boite en fer contenant toutes les noix qui se trouvait juste à cote de ma tête. C'est une possibilité comme une autre après tout. Enfin, Ratatosk et moi étions officiellement inséparable, ou du moins si il ne me supportait pas il restait pour la nourriture. Seulement pour que Ratatosk soit réellement différent des autres, je lui fis cadeau d'un de mes foulard et lui mit autour du cou. Maintenant il était sublime mon ami le petit écureuil. Et qui aurait cru que ce petit animal serait mon compagnon de route quand ils arrivèrent.

    « Ils », c'était ces hommes dans leur long manteau beige et leur étranges sacs à dos. Dans notre ville, nous n'aimions pas les étrangers, question de principe ou d'éducation je crois. On se méfiait d'eux comme la peste. Les « trouveurs », car c'était ainsi qu'ils se faisaient appeler, questionnaient tous les citadins pour savoir si quelque chose d'anormal se produisait ou c'était produit dans la région. Des fouines, des chercheurs de problème, voilà comment on les appelait dans cette ville, autant vous dire qu'ils n'étaient pas du tout adoré. Et encore moins les hommes en noirs qui les accompagnés, moins nombreux. Des exorcistes. Des êtres qui étaient en mission au nom de Dieu pour protéger l'humanité. La bonne blague je vous dit. Moi qui suis athée, j'ai encore beaucoup de mal aujourd'hui à croire à toute ces choses. Pour mois l'innocence n'est qu'une réaction chimique de bien des choses mais quand on part dans les akuma, le comte et tout …. Rah ! Je refuse de croire que dieu existe mais ça paraît tellement énorme comme machin ! Enfin je m'éloigne de l'histoire. À l'époque on avait aucune idée de ce qu'il cherchait … Puis la rumeur couru qu'ils cherchaient des personnes extrêmement intelligente, vaniteux comme j'étais, j'eus envi de leur prouver que j'en savais énormément et que mon cerveau était celui d'un futur scientifique. Qu'est-ce que j'étais con ! Bon okay je le suis toujours ! Mais là … Je me mis devant l'un de ces types, en bondant le torse du haut de mes quinze étés. Il me regarda en haussant les sourcils et je me mis à brailler que j'étais le mec le plus intelligent de ce village. Bon là c'était faux, mais bon … On est prétentieux ou on ne l'est pas !

    Tout d'abord ils me rirent au nez, ce qui est compréhensif en soit. Mais quand vous blessez la fierté d'un orgueilleux, attendez vous a ce que ce petit abruti essaie de prouver qu'il a raison. J'eus bien dut faire mille et une chose pour leur prouver que j'étais intelligent … C'est sans doute pour cela que ces hommes essayaient juste après à convaincre mes parents de m'emmener dans leur organisation pour que je travaille pour eux. J'étais peut être cultivé mais je n'étais pas intelligent … Je n'avais en rien réfléchis aux conséquences, comme le fait qu'on veuille m'éloigner de ma famille. Je restais enfermé dans ma chambre avec pour unique compagnie Ratatosk. Je refusais de voir quiconque, de peur que derrière se trouve ces hommes qui voulaient que je les suive à cause de ma trop grande gueule. Avaient ils seulement idée à quel point j'étais peureux à l'époque ? Pour moi ces hommes étaient les pires créatures qu'il pouvait exister. Pourtant j'acceptais d'en voir un ! Un seul qui m'expliqua pourquoi il voulait que je les suive. La congrégation de l'ombre avait besoin des exorcistes pour combattre les akuma et les noah qui sont sous les ordres du comte qui veut détruire la race humaine … Mais pour aider les exorcistes, il existe les trouveurs et les scientifiques. On me proposait d'être apprenti, et bien évidement plus tard j'en serais devenu un vrai. À mon age je ne pouvais pas espérer mieux comme poste.

    Si j'acceptais, j'aidais à défendre les humains et je serais rémunéré. J'hésitais à dire à cet homme que si j'acceptais cette offre, c'était pas pour les autres auquel je m'en foutais royalement, mais pour ma famille et uniquement eux. Alors se fut un oui … Un oui à contre cœur mais un oui quand même. Edea ne l'accepta pas … Ni ma famille d'ailleurs. Ils n'acceptaient pas le « si je venais à mourir, vous ne serez jamais mis au courant ». Edea s'enferma dans sa chambre pendant plusieurs jours, alors la veille de mon départ il me fallait lui parler. Le plan commando était parti. Ratatosk, bien que très jeune, se faufila sous la porte de Sweety et déverrouilla la porte, me permettant d'entrer dans l'antre féminin de ma sœur. Et elle était là, sur le lit, en boule et recroquevillé. Vous savez que je me sentais mauvais jumeau ?

      - Hey … Sweety ... commençai-je avant de me prendre son oreiller de plume d'oie dans le visage.
      - Dégages connard ! hurla t-elle en prenant sa lampe à huile, prête à me la lancer au visage.

    Un soupire passa mes lèvres pendant que je m'asseyais sur son lit, lui prit la lampe des mains et la posa délicatement avant de prendre ma sœur dans mes bras et de la serrer fort.

      - Pourquoi tu es si triste ? lui demandai-je doucement comme un crétin en la berçant, évidement que je savais pourquoi elle était triste.
      - Pourquoi tu me quittes ? On est jumeaux ! T'as pas le droit de me quitter comme ça ...
      - Je reviendrais, lui assurais-je pour éviter que cela tourne au mélo-dramatique, ce n'était pas notre genre
      - Ah ouais et quand ?
      - Alors ça j'en sais rien … Mais je reviendrais. Dans deux ans, cinq ans, dix ans, cinquante ans, qu'importe je reviendrais, fis-je en souriant simplement. Par égoïsme

    Elle me regarda un petit moment sans comprendre pendant que moi je souriais malicieusement.

      - Quand, je reviendrais, je ne penserais qu'à moi, alors même si tu es mariée, si tu es heureuse, si tu as des enfants, tu reviendras avec moi et celle que j'ai choisis si elle existe. Parce que je suis le roi des égoïstes et que je m'en fou des autres.




Dernière édition par Hope Sullivan le Dim 1 Aoû - 2:23, édité 45 fois
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Hope Sullivan

Hope Sullivan
The Egotistical Scientist | Perfect Man ...

Je ne suis pas différent des autres.

Moi aussi j'ai des amis, un amour, un rêve ...

Une haine.


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Hope Sullivan - Membre de la Congrégation Vide
MessageSujet: Re: Hope Sullivan - Membre de la Congrégation Hope Sullivan - Membre de la Congrégation EmptyJeu 22 Juil - 3:48

    Oui, je suis un égoïste. Un égoïste qui me moque de ceux que je ne connais pas et qui bosse pour ceux qu'il aime. Je me fou du fais que le monde soit sauvé tant que ceux que j'apprécie soit là. Je me fou que le comte détruise des vies tant que ce ne sont pas celle de mes proches. Et être égoïste me rend heureux, vous devriez essayer de temps en temps. En oubliant le reste du monde, on ne voit que le plus important et on cherche d'abord son bonheur à soit. Dans un sourire de Sweet, je nageais dans le bonheur. Alors, le lendemain, c'est avec égoïsme que je l'ai serré dans mes bras et que j'ai regarder ma maison. C'était un sur qu'un jour je rentrerai chez moi et vivant en plus de ça. Je me moque de l'avis des autres sur ça. Même si le comte décide de mettre fin à ma vie, je reviendrai chez moi. Même si l'innocence venait à me choisir, ce que j'espère que non, je retournerais chez moi. Personne ne m'en empêchera.

    Parce que je suis égoïste.

    Nyra Stephenson

    Hope Sullivan - Membre de la Congrégation 838446Copie_de_Copie_de_Sans_titre_2v

    Le dernier événement en date qui marqua ma vie fut celui-ci. J'avais cru trouver une alliée, une amie, une forme de douceur, une fille qui me comprenait. J'ai vu de la cruauté, de la fourberie, du mensonge, et de la curiosité. Cet événement est sans aucun doute ce qui signa la haine que je porte aux noah. Oui, elle était amusante, mais si j'avais su que c'était moi son jouet, je l'aurai tuer. La si agréable lady, Nyra Stephenson … La Noah de la Curiosité. Une garce à abattre.

    La première fois que je la vis, nous venions d'arriver dans une petite ville de l'empire Allemand. Les trouveurs faisaient une halte là avant de rentrer directement à la congrégation de l'ombre où je commencerais à travailler. J'avais donc quartier libre. C'était une journée d'été, j'essayais tant bien que mal de séduire quelque demoiselle de l'empire mais rien à faire. Je ne parlais pas un mot leur langage tait frustrant. Surtout qu'elles étaient toutes magnifique en robe … Je l'ai aurais toute embrassé, si elles me comprenaient. Quand je la vis. Elle était appuyée contre un arbre, dans l'ombre de celui-ci, les rares rayons du soleil qui passaient à travers éclairaient son visage paisible. Elle bougeait les lèvres tranquillement, comme en récitant une comptine. Cette fille avait les cheveux arrivant jusqu'au épaule et une robe simple. Son corps n'avait pas encore développé toutes ces formes dut à sa poitrine qui commençait à peine à apparaître. Je souris et me mis à l'approcher.

      - Once again, I was Reborn.

    Elle chantait … Et en anglais en plus ! Je lui souris de toutes mes dents, et contre toute attente, elle me rendit mon sourire en penchant légèrement la tête. Peut être que j'avais enfin une fille à draguer ! Elle n'était pas canon mais elle était sympathique à regarder. De plus même si elle ne chantait pas extrêmement bien, ce n'était un champ de casserole. Et puis son sourire me rappelait celui de Sweety. Je me mis en face d'elle et baragouina un « hello » avec mon fabuleux accent Norvégien. Comprenait que c'était incompréhensible. Elle parut d'abord surprise puis dit une très longue phrase en anglais avec un immense sourire heureux. Je crois bien que je n'avais compris que trois mot au total. Ouais …. Mon anglais était fabuleux n'est-ce pas ? Le plus parfait de tous … Vu mon visage, je pense qu'elle comprit facilement que je n'avais absolument pas déchiffré ses mots. Et bien évidement elle se mit à rire. Les filles sont sans pitié avec les hommes, surtout elle en faite mais on le verrait bien plus tard. Elle se calma et répéta plus lentement sa phrase en souriant. C'est con, mais je me sentis rougir. Vraiment, elle ne faisait que répéter une phrase débile. Que je n'avais d'ailleurs toujours pas compris, soit disant passant. Mais peut être parce que c'était la seule fille à ne pas être partie avec un air hautain et un sourire supérieur face à mon niveau pitoyable. Je la pensais plutôt gentille. Je m'assied contre l'arbre puis elle fit de même et se présenta. Elle était anglaise mais été partie de chez elle précipitamment et elle se nommait Nyra Stephenson. Bon hein, faut bien vous dire que j'ai mis une demi-heure pour comprendre tout, et encore elle mimait ce que je ne comprenais. On avait l'air un peu ridicule en faite je dois l'avouer … Quel foutaise.

    Tous les jours, on se voyait, au même endroit, au même arbre. Et tout les jours on essayait de discuter, ce qui était vraiment mais alors vraiment difficile. Je réussi difficilement à faire comprendre que je venais de la Norvège et que j'avais deux sœur dont une qui est ma jumelle. Elle me répondit toute joyeuse qu'elle aussi, elle avait une sœur et un frère. Sauf que c'était elle la plus jeune. Des phrases toutes simples devenaient un vrai parcours du combattant pour moi. Et elle aussi faisait d'énorme effort pour me comprendre, cela se voyait. Je pensais qu'elle m'apprécier vraiment … Qui aurait cru que cela aurait été des larmes qui remplaceront mes rires. Ratatosk lui, ne l'a jamais aimé. J'avais pris pour supposition qu'il n'appréciait qu'Edea comme femme, ou que simplement Nyra devait avoir une odeur qui ne lui plaisait pas. Note pour moi même, toujours prendre en compte les réactions de Ratatosk. Pourquoi n'ai-je jamais remarquer ses sourires narquois et ses regards supérieurs qu'elle lançait de temps à autre à Ratatosk pour montrer sa supériorité, j'aurais peut être compris plus rapidement et il n'y aurait pas eu ça !

    En sa compagnie, non seulement je me sentais bien mais en plus mon anglais s'améliorait. On avait de moins en moins besoin de mimer et nos discussion était plus longue avec beaucoup plus d'élément. C'est comme ça que je sus son histoire en entier. Elle était fille de cordonnier en Angleterre, mais vivait assez loin de la ville contre toute attente. Leur père n'était l'homme le plus doux de la terre et n'avait pratiquement jamais aimé ses enfants. Quand sa sœur ainée mourut, elle fut accusée à tord, tu parles ouais, et dut se méfier. Un jour par curiosité, elle avait découvert que son père avait une autre femme et des enfants avec et tous vivaient confortablement. De rage, elle avait tout dévoilé et son père avait pris les voiles, laissant sa mère, son frère et elle même seuls. Peu de temps après, la deuxième famille de son père mourut sans raison croyable et elle avait décidé de fuir le pays. Tss … Moi qui la trouvait tellement forte et courageuse, maintenant je la vois sous sa vraie forme … Une sale petite garce menteuse et sans pitié.

    Elle était devenue ma meilleure amie et ma confidente. Si seulement j'avais su plus tôt que c'était un masque, qu'elle jouait avec moi, que Nyra Stephenson était une noah. Bon sang … Je m'en veux encore aujourd'hui. Aujourd'hui encore, quand j'entends le nom de Nyra Stephenson suivit d'un adjectif positif je serre les poings, retenant mon envi de frapper l'abruti qui avait dit ça. Cette fille jouait, tout le temps sans arrêt. Alors pourquoi quelques personne pouvaient l'apprécier en ignorant sa vrai personnalité ! Moi aussi j'ai eu confiance en elle, je l'ai amèrement regretté. C'était le jour de notre départ, j'avais fais la veille de chaleureux adieu à mon ami qui avait même versé quelque larmes. Bonne actrice … Elle était comédienne dans une autre vie ? J'étais en retard, je dus donc courir jusqu'à la pleine qui se trouvait à quelques mètre de la ville. Mais immédiatement, je me stoppai dans ma course quand j'arrivais.

      - Until this evil wind detroys the memory in my soul ...

    C'était la voix de Nyra. Non c'était Nyra ... Nyra couverte de sang, en souriant et dansant parmi les cadavres sanguinolent des trouveurs, ouverts, déchiquetés ... Méconnaissable. Elle était là, Nyra, chantant gaiement et tournant parmi les cadavres, les écrasant, marchant dessus … Ses souliers noirs étaient maculés de sang et ses chausettes blanche ne l'était plus jusqu'au genoux. Tous ses vêtements étaient recouvert d'un sang frais, mais elle souriait, elle souriait et riait gaiement, comme si cela était la chose la plus drôle au monde. Mais son sourire était psychotique, il n'y avait rien de « joyeux » dedans, c'était de la pure démence, du pure sadisme. Un éclat de joie dans une atmosphere morbide. L'odeur de mort rodait tout autour, le sang coulait à flot, les visages de mes anciens compagnons étaient soit défigurés par la douleur, soit ils n'existaient plus tout simplement … Quand enfin Nyra me remarqua elle fit un immense sourire et ouvrit grand ses bras de joie.

      - A crimson colored flower petal fills this world with no color .

    C'était horrible … C'était hideux. Je me mis à trembler avant de tomber à genoux pour rendre violemment. Elle sourit et me caressa le visage de ses mains pleines du sang de mes compagnons. Je tremblais … Je n'avais plus rien à voir avec l'apollon que j'étais il y a peu. J'avais peur. J'étais écoeuré.

      - … Pourquoi … ?
      - Pourquoi quoi ? me fit elle en souriant.
      - Pourquoi tu les as tuer !

    Elle me sourit et me prit violemment les cheveux avant de les tirer vers l'arrière en ricanant. Son visage était déformé par la folie, il n'y avait plus rien de beau à regarder, mais surtout sa peau prenait une couleur grisâtre et des stigmates apparaissaient. Une noah … Ce fut à cette instant précis que je compris mon erreur.

      - Parce que tu es un jouet ! Un misérable petit jouet fait pour me faire rire petit con ! Détestes moi ! Haïs moi ! Cherches un moyen de me tuer si t'en ai capable ! Sinon c'est moi qui tuerais tout ceux que t'aimes ! Sans pitié comme j'ai fait avec eux ! Si t'avais vu leur tronches ! On aurait dit des tites fientes ! C'était à crever de rire ! Alors vit petit con ! Vit pour me faire rire à jamais ! Parce que tu es ma chose ! s'exclama t-elle en riant.

    Les larmes se mirent à couler toute seule de mon visage … Puis un noir total.

    Black Order - Scientifique

    Hope Sullivan - Membre de la Congrégation 126607d

    Quand j'ouvrais les yeux, ce fut dans une pièce étrange, allongé dans un lit. De surprise je m'assied violemment et regarda mon environnement nouveau. Je me rappelais m'être évanouis dans une plaine pas dans une pièce. Mes vêtements aussi avaient changé. J'avais troqué mes vêtements de ville contre une unique blouse. De panique je voulus sortir du lit mais une femme raide me retint et me fis m'allonger sans pitié dans le lit. Puis elle me fit un sourire qui se voulait sympathique et me demanda comment je me sentais. Et bien a part avoir eux la peur de ma vie, je répondis le positif. Puis elle m'expliqua en ronchonnant la situation. J'avais été retrouvé parmi des tonnes de cadavre, recouvert de sang. C'est un rouquin borgne et un vieux qui m'ont ramené ici. Et le ici c'était la congrégation de l'ombre … J'avais dormis plus de deux semaines. Étrangement, cela me dérangea plus qu'autre chose. Je ne pouvais pas croire que j'étais enfin arrivé, ici. Pas après tout ce qui s'était passé. Les images de cette plaine me revinrent comme un flash en pleine tête. Mes yeux s'ouvrirent d'horreur et ma main droite passa mécaniquement en tremblant dans mes cheveux. Je me sentais souillé.

    Ce fut à cet instant même que je me mis à haïr Nyra de toutes mes forces. Je m'allongeai et serrai de mes doigts les draps avec rages alors que mes yeux s'humidifiaient à nouveau. Elle m'avait trompé, elle m'avait trahis. Elle m'avait utilisé. Oui, je la haïssais cette garce, oui je trouverais un moyen de la tuer. Ou du moins je voulais assister à sa mort à cette trainée. Je la voulais morte si pied sous terre … Je voulais la voir disparaître.

    Cela faisait maintenant trois ans que cette événement s'était produit. Tous les trouveurs avaient été brulé et personne en dehors des membres de la congrégation ne l'avait su. J'ai refusé d'assister à cette cérémonie, j'avais assez pleuré comme ça. Par choix j'ai décidé d'arrêter de pleurer comme un idiot et de me planter encore plus dans mes convictions. Aujourd'hui, je suis connue comme étant un dragueur mais comme étant le disciple de Komui Lee. Comprenez par là nettoyeur de bureau. C'est une corvée je vous raconte pas à quel point ! Mais bon entre temps je peux fouillé tranquillement dans ces potions. Il m'arrive d'envoyer des lettres à Edea, mais évidement je ne met pas l'adresse de l'expéditeur. Et ma vie continue ainsi, celle d'un pauvre petit scientifique sans aucun intérêt. Mais c'est la mienne et je l'aime.



    Règle numéro un = J'ai toujours raison
    Règle numéro deux = Se référer à la règle numéro un



Dernière édition par Hope Sullivan le Dim 1 Aoû - 2:27, édité 21 fois
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Hope Sullivan

Hope Sullivan
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Je ne suis pas différent des autres.

Moi aussi j'ai des amis, un amour, un rêve ...

Une haine.


Hope Sullivan - Membre de la Congrégation Vocaloid___Bringing_the_Rain_by_Gilligan_Stamps

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MessageSujet: Re: Hope Sullivan - Membre de la Congrégation Hope Sullivan - Membre de la Congrégation EmptyJeu 22 Juil - 3:50


Ratatosk
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© Moi-même
Hope Sullivan - Membre de la Congrégation Mini_846244dfri
Tni tni tni ...
Tni ?
# FICHE D'IDENTITÉ :


Reconnaissance Ratatosk, le petit écureuil ...
Titre d'affection Tosk pour Hope … Tite bête pour les suicidaires
Origine Bah je suis né en Norvège
Date & lieu de naissance × Age un cinq mai, à Trondheim … Et je crois que j'ai trois ans
Le signe sous lequel j'avance euh … L'écureuil ?
Mes préférences au lit ✗ … Les humains m'intéressent pas ...
Ce qui me différencie Je suis un écureuil ! Et non je ne parle pas !
L'endroit où je squatte Est-ce que Hope est un lieu ?
Mes alliés Ceux qui ont compris comment me nourrir
Mon job Embêter Hope ?
Mon rang de départ S !

Membre de la Congrégation


Ce que je fou à la Congrégation Bah j'accompagne Hope, parce que cet abruti m'a embarqué pardi.
Qui est Komui Lee Un mes qu'a compris comment me nourrir … Quoique un peu timbré je dois dire …


MY STORY


Dé-clen-che-ment du tra-duc-teur de "Tni" de l'im-bé-cil d'é-cu-reuil


o» Tni
    Blablabla


o» Tni Tni
    Blablabla


o»Tni Tni Tni
    Blablabla


o» Tni Tni Tni Tni !
    Blablabla



Dernière édition par Hope Sullivan le Sam 31 Juil - 21:00, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Hope Sullivan - Membre de la Congrégation Hope Sullivan - Membre de la Congrégation EmptyJeu 22 Juil - 3:51

Re-Bienvenue Hopinou
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MessageSujet: Re: Hope Sullivan - Membre de la Congrégation Hope Sullivan - Membre de la Congrégation EmptyDim 25 Juil - 23:33

Et j'ai finis hope o////

S'il vous plait ne verrouillez pas, à mon retour de vacance je ferais ratatosk
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MessageSujet: Re: Hope Sullivan - Membre de la Congrégation Hope Sullivan - Membre de la Congrégation EmptyLun 26 Juil - 0:42

    AHAHAHA LILY J'AI TOUT LUUUU. TOUUUUT.
    Mmm, aller, faut que j'te valide, depuis le temps xDD

    Ah Hope ! Celui que j'ai ramené lalalalala. ♪




Hope Sullivan - Membre de la Congrégation Wbwigh
Vérification de la Fiche de Personnage.

_Titre du Topic : Oui.
_ Couleur du Titre : J'vais te la mettre, loveur.
_ Image : Yeahaa, Leneuh, je surgiiis.
_ Référence du Personnage : Il me semble que tu l'as déjà répertorié, donc OK
_ Copyright : OK.
_ Nom et Prénom : Ouiii.
_ Âge : Ok.
_ Famille : Idem.
_ Histoire : Pareil quoique un peu courte.
_ Physique : Ouaip. Essaierais-tu de me faire de l'ombre ?
_ Caractère : Ok.
_ Particularité : Ok.
_ Le Nombre de Ligne : Mmm, j'ai trouvé ça un peu court, vois-tu ... AHAHA. *morte*
_ Avatar : Parfait.
_ Orthographe, Conjugaison : Pareil. Mis à part quelques fautes. :x
_ Niveau du Personnage : Yeaaah.
_ Code : Validé.
Amicalement, Lavi


    Hope Sullivan - Membre de la Congrégation Boyk Tu ne seras pas verrouillé, t'inquiète.
    Bonne vacances !
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MessageSujet: Re: Hope Sullivan - Membre de la Congrégation Hope Sullivan - Membre de la Congrégation Empty

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