D.Gray'man - Le Réveil de Pandore
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le Deal du moment : -29%
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 ...
Voir le deal
499.99 €

Partagez|

Ekaterina Kielo Requiem Bookman

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Anonymous

Invité
Invité




Ekaterina Kielo Requiem Bookman  Vide
MessageSujet: Ekaterina Kielo Requiem Bookman Ekaterina Kielo Requiem Bookman  EmptyMer 18 Aoû - 2:23


Ekaterina Kielo Requiem (Bookman)
Ekaterina Kielo Requiem Bookman  2a101w


© Ekaterina Kielo
Ekaterina Kielo Requiem Bookman  Rlhrup
Approchez, approchez je vous dis. Je ne vous ferais rien. Je vous trancherais juste la tête c’est tout.
# Résumé de vie :
Ekaterina Kielo Requiem Bookman  2vnj4gl

PRÉNOM(S), NOM Ekaterina (Nouveau nom choisi), Kielo (A prononcer Kiélo, prénom de naissance) Requiem(nom d’emprunt) Bookman (n'utilise jamais celui-ci mais est obligée de l'avoir sur elle pour se faire reconnaître des autres.)
SURNOM - La première Bookgirl
ORIGINES - Finlandaise
DATE, LIEU DE NAISSANCE & AGE 14/16 ans (à renier son année de naissance exacte), 29 Décembre, à une centaine de kilometres de Kuopio dans une maisonnette isolée de tous bordée de lacs gelés en permanence.
SIGNE ASTROLOGIQUE Sagittaire je crois ? J’en est strictement rien à faire enfaite
ORIENTATION SEXUELLE Hétérosexuelle, je crois.
PARTICULARITÉ Une flamme bleue sortant de mon œil gauche
VOS LIEUX DE RÉSIDENCETour de la Congrégation de l’Ombre, le Monde entier.
CAMPNeutre (obligée sinon je me fait taper sur les doigts par le vieux snochks alias Jiji. Et puis de toute façon un Bookman/une Bookgirl ne doit JAMAIS prendre partie pour qui que ce soit. N’est-ce pas Lavi ?~~)
SURNOM DE MON INNOCENCE - Magun (à prononcer Magain)
TYPE - Equipement/Cristallisation
QUOI EXACTEMENT : Une baïonette avec lame integrée

Le jour où vous me verrez sourire sincèrement de toute mes dents, c'est que j'aurais acquis le savoir absolu. Pas avant. D'ici là vous ne contemplerez qu'un sourire acide et faux ainsi que de menteuses prunelles enfantines gravés sur mon visage. *smile*

PLACE OCCUPÉE- exorciste membre de la congrégation (et aussi élève de Mister Lavi Bookman, donc je lui colle aux basques des que je peux pour ma formation)
UN COMMENTAIRE À FAIRE SUR VOTRE INTENDANT KOMUI LEE ? – Ce mec est un cinglé. Il à essayer de sympathiser avec moi. On ne lui à pas dit qu’on ne m’achetais pas avec des bonbons ?
« Ici solitude est le dernier repas. » Saez



# BEHIND THE SCREEN

PRÉNOM – Hum, ça commence par une certaine lettre et ça fini par une autre~~
AGE –19
SEXE - Fille
DOUBLE TRIPLE COMPTE ? Oui? Un petit C traîne par là suivit d'un L prononcé ~~
NIVEAU RP – Je ne préfère pas me prononcer la dessus, tout dépends de la personne avec qui je Rp et de mon inspiration surtout.
UNE REMARQUE SUR LE FORUM – Fabulous~~
VANILLE OU CHOCOLAT ? – Nutella ♥
CODE - VALIDE PAR LAVI. xD Et j'hésite à le faire, me fais pas trop chier. (a)



LES MOTS INUTILES QUI DEFINISSENT MES FORMES…

Ekaterina Kielo Requiem Bookman  35ajg4p
Me décrire ? Moi ? Je peux toujours essayer mais je ne garantie pas votre intérêt dans ma lecture donc si vous me trouvez déjà rasoir à ce niveau la de la description vous pouvez partir chères petites gouttes d’encre, je ne vous en voudrais pas et vous rattraperais sous ma plume bien assez tôt~.

Enfin bon, commençons pour les plus téméraire et les moins effrayés. Mon corps dans un premier temps. Mon derme est blanc comme neige, pourquoi ? Parce que je ne possède aucune molécule de mélanine dans le sang ou la peau dû à une erreur qui n’est pas de mon ressort et que vous découvrirez dans mon histoire un peu plus tard. Ma peau est donc blanche totalement, sans le moindre petit point coloré où grain de beauté, rien, nothing. Une peau aussi immaculée que la neige. Attention, il m’arrive de prendre un peu de couleur parfois mais elles ne restent jamais très longtemps accrochées à mon derme et s’évaporent au fur et à mesure de leur non-entretien. Je dois mesurer aux alentours de un mètre cinquante sept approximativement, un peu plus ou un peu moins ce ne serait pas étonnant non plus puisque je n’ai pas pris la peine de me mesurer depuis dés années et que je porte mon jugement à ce sujet à l’œil nu uniquement. Ma taille est fine et mes hanches ne sont pas très apparentes. Mon abdomen n’est pas très bombé non plus, sans dire que je pourrais me faire passer pour un garçon, il faut dire que mère nature n’as pas pris le temps de me terminer entièrement dira-t-on. Mes bras et mes jambes sont élancés et musclés, ceci étant du principalement dû au nombre années d’entrainements passés auprès de l’homme devenu mon maître après « ça ».

Mon corps de stockant pas la graisse la encore pour les même raisons que la blancheur de ma peau, certains sont souvent tenter de taxer d’anorexique, ce qui n’est pas le cas. Mais que voulez vous, les adultes et leurs jugements hâtifs de nos jours… Je suis seulement pas très épaisse voila tout, on ne voit pas encore mes cotes quand je respire tout de même. Mes mains sans êtres rachitiques, sont relativement petites mais suffisamment fortes pour tordre le coup aux personnes gênantes qui m’exaspère. Depuis toujours, on me dit que mes mains on le don particulier d’être toujours froide, peu important le temps ou la température qu’il fait autour. Moi je ne trouve pas mais bon, après je ne le ressens pas comme les autres. Mes ongles poussent d’eux même de manière à s’user naturellement et à finir en arrondis (ce qui m’évite des les ronger à longueur de temps) solides pouvant laisser de profondes griffures si j’y mets la force nécessaire.
Mon ossature est une des rares choses chez moi que personnes ne critique. Elle me porte très bien, droite sans jamais pencher ou flancher. Des épaules solides et un dos robuste m’ont permis beaucoup de choses jusque là comme par exemple apprendre plusieurs arts martiaux sans problèmes particuliers et avec une résistance hors norme. Vous comprendrez bien mieux par la suite.
Ma face maintenant. J’ai des yeux à la symétrie parfaite logé de chaque côté du visage. Un petit nez stationnant aux milieux de ces deux billes bleus donne de la perspective à mes traits. D’ailleurs parlons en de ceux là, mes traits sont encore un peu enfantin mais commence peu à peu à se durcir avec l’âge selon moi. Je n’ai pas encore perdu mes pommettes de bambin mais ce n’est qu’une question de temps j’en suis persuadée. Et puis ça m’arrangerais pour tout dire, attirer la tendresse d’autrui n’est pas ce que je préfère or un visage marqué de particularités typiquement enfantines attire quoi ? La tendresse et la sympathie voila !... Passons.

Mes cheveux, tout comme mes yeux je les ai pris de ma mère pour mieux dévalorisé les siens de leurs essences envoutantes. Autant mes yeux brillent d’une façon lumineuse créant des éclats complexes dans mes iris (ce qui accessoirement me permet d’user de leurs fameux éclats pour user de nombreux regards, glaçant la plupart du temps bien sûr car vous ne me verrez pas sourire d’une joie sincère de sitôt), autant mes cheveux sont noirs ténèbres, leur couleur est semblable à l’obscurité d’une nuit sans lune. Leurs douceurs est également incomparable, jamais mes cheveux ne s’emmêlent, enfin si un peu de temps en temps mais rien de bien méchant, avec un simple peigne à dents fines j’arrive à les disciplinés. De toute façons je les attache tout le temps en deux couettes distinctes pour éviter que mes cheveux ne trainent sur le sol, bien que la gauche ait plus de longueur que la droite. Seule quelques touffes de cheveux se sont liguées sur le devant de mon cranes et rebeller contre les couettes salvatrices, à la place elles tombent en frange devant mes yeux, pratique quand je veux dormir mais que personne ne dois le voir je mets ma frange bien en avant pour faire une sorte de rideau. Et personne ne voit jamais rien~~. Des sourcils fins et sombres pour faire la transition entre mes yeux et ma chevelure et voici un haut de visage agréable à regarder. Pour terminer cette description physique je me penche sur ma bouche, dont les lèvres d’un rose très pâle se remarque difficilement pour tout dire, de plus elles sont couvertes de cicatrices puisque j’ai la sale manie de toujours me mordre les lèvres en toutes circonstances, forcement ce n’est pas vraiment conseillé normalement. M’enfin bon n’exagérons pas non plus, pour les voir il faut s’approcher très prés. Moi je les remarque parce que je sais qu’elles sont là mais personnes ne m’as encore dit « Oh les crevasses que tu as sur les lèvres ! ». Hein ? Ah oui pas faux, je les ai peut-être tués avant qu’ils ne le disent…

Autre particularité qui m’est propre, lorsque j’active mon Innocence une flamme bleue totalement dépourvue de chaleur s’évade de mon œil gauche pour une raison que j’ignore encore. Peut-être un effet secondaire du cristal divin. Détail anatomique non négligeable, comme je le citerais plus en bas dans mon récit je ne ressent presque aucunes douleurs pour une raison précise que vous découvrirez plus tard. Les nerfs qui acheminent l’information de la douleur du cerveau au reste du corps sont presque totalement calcinés, ce qui fait que pour ressentir un bref picotement il faut vraiment me frapper avec une puissance phénoménale sinon je ne sent rien.
Ah oui autre chose étrange pour continuer dans le bizarre, je vois un crâne blanc entourée d’une flamme bleue parfois. Oh n’allez pas croire que je suis schizophrène ce n’est pas le cas puisqu’on ne communique pas ensemble. Enfin moi parfois j’essaye de lui parler mais bon ça revient à dire que je parle toute seule donc j’évite de le faire, pas envie d’être prise pour une folle non plus. J’ignore d’où il vient, il à commencer à apparaitre un jour comme ça sans explication préalable pour disparaitre de temps à autres. Mais il finit toujours par revenir, inlassablement. Je me demande ce qui l’a créer. Peut-être ma solitude. Car oui je suis constamment toute seule. Par choix purement et simplement, un Bookman (enfin une Bookgirl en ce qui me concerne) ne doit jamais se lier et je respecterais à la lettre cette consigne si salvatrice. Allez savoir peut-être qu’en fin de compte je n’aime pas être seule et que mon cerveau à fait une projection imagée de cette solitude histoire de comblée le vide. Bah c’est raté en tout cas. Je me suis même demandé si à tout hasard ce n’était pas le crâne de mon défunt jumeau qui venait me hanter où me voir par cette intermédiaire. Après tout je m’en moque, personne ne le sait et c’est très bien comme ça. Je suis même prêtre à parier que ceci est encore à mettre sur le compte de la boulimie alcoolique de ma génitrice qui à fait tant de ravages en moi. Pfff décidément elle m’aura pourri la vie longtemps celle là. J’ai vraiment bien fait de la supprimée de mon esprit elle et tout ce qui me rattachais à ma vie d’avant . Oh oui, j’ai même très bien fait de la renier, ça fait tellement de bien.


Ekaterina Kielo Requiem Bookman  Vfuhzc
Parlons maintenant de ma tenue de tous les jours. Il est déjà certain que j’ai choqué plus d’un pèlerin et ai blasphémer une bonne dizaine de règles religieuses pour rester modeste concernant la tenue vestimentaire normalement de mise pour les jeunes filles et femmes. Premièrement mon « uniforme » d’exorciste si je peux l’appeler comme ça défie toutes les mœurs et coutumes. Je ne porte sur moi qu’un minishort noir à ceinture blanche pour créer le contraste et rappeler la blancheur de ma peau ainsi qu’un haut très court et échancré, ne couvrant que les parties de mon torse essentielles à protégées du regard des indiscrets. Pour couvrir mes épaules et mes bras j’ai un long manteau noir tombant très bas, presque jusqu'à mes chevilles se fermant avec une imposante fermeture éclair argenté sur le devant. Ce manteau est noir à rayures blanches, je l’ai hérité de mon ancien maître, il possède une étoile blanche au niveau du cœur, ce qui fait que ma croix de rosaire, indigne des exorcistes, je l’a met de l’autre côté de mon uniforme. Un véritable blasphème pour certains. Des gants pour protéger mes mains et éviter leurs contacts avec qui qu’onques ornent mes phalanges et ce, jusqu’au poignet. Je garde une chaine noire sur l’arrière de mon short par fantaisie. J’avais envie d’apporter à cet ensemble une touche un peu plus personnelle.

C’est donc tout, oui comme vous l’aurez compris je ne suis pas franchement couverte. Mais vu que je ne crains pas le froid étant une habituée des plaines de Finlande, aucunes températures ne m’arrêtent. Pour finir des bottes noires talonnées à fermetures blanches recourbées en haut stationnent sur mes pieds montants jusqu’en dessous de mon tibias. Vous ne le savez peut-être pas mais avoir des chaussures est plus pratiques pour marcher ~~.

Ce que j’emporte sur moi ? Mon innocence et mon golem, rien de plus. Ah si j’ai un vestige de mon père biologique, une vieille bague que ma mère lui à arraché des doigts et qu’elle à transformé en pendentif faisant passé une chainette au centre de l’anneau. Je pense que je m’en débarrasserais un jour ou l’autre. Sans aucun doute même, tout ceci n’as plus aucune importance pour moi, c’est comme si je n’avais plus de famille alors à quoi bon s’encombrer de choses pareilles ?




LES MOTS IMPROBABLES QUI DEFINISSENT MES HUMEURS.…

Ekaterina Kielo Requiem Bookman  Kcysls

Occupons nous maintenant d’un sujet très épineux : Mon caractère. Il faut savoir une chose c’est que je n’aime personne, chaque être humains que je côtoie n’est qu’une gouttes dans l’encrier ou je plonge ma plume pour retranscrire sur papier ce que je vois, ce que j’entends. Pas ce que je ressens. Mon cœur, plus froid que du granit gelé ne se laissera ni attendrir ni influencer. Je vis désormais pour mon rôle de Bookman, un observateur neutre en toute circonstance, libre de voler ou il souhaite, suivant le cours de l’humanité guerrière sans l’ombre d’un regret ou d’un remords. Une personne libre de tous sentiments. J’apprécie ce mode de vie, je ne suis l’esclave sentimentale de personne et c’est très bien ainsi. Donc oui, je n’ai pas vraiment un mauvais caractère mais on ne peut pas dire que je suis une personne que l’on viendrait voir d’instinct lorsqu’elle serait seule.

Depuis toujours je suis une solitaire, je m’y suis habituée et ai finalement aimé comme il se doit cette chance de tranquillité et paix qui m’était offert. De plus pour ne rien « arranger » si je peux dire je ne supporte pas que l’on ecorche le nom que je donne lorsque l’on veut m’identifier clairement au même titre que j’ai horreur des surnoms idiots. Oui sur ce plan la je suis de la même trempe que Yû Kanda, je vous avertirais une fois en griffant votre gorge de la pointe de mon katana afin de bien vous faire comprendre votre erreur, en revanche si vous persistez après ça je vous coupe la tête. Ne plaisantez pas avec moi sur ce terrain je l’ai déjà fait et, n’ayant aucuns alliés (donc de se fait aucuns remords également) je n’hésiterais pas à le faire ,que vous soyez soit-disant de mon côté….ou pas. Lorsque je veux quelques choses je l’obtiens, en général il s’agit d’informations ou de secrets qui devaient figurer dans mes archives. J’ai déjà tranché quelques gorges pour soutirés ce dont j’avais besoin. Un ou deux humains morts en plus ne changeras rien à la donne, l’humanité ne cessera jamais de ce faire la guerre, ou que l’on aille c’est le même refrain, le même concert de canon et de fusillade, les mêmes prouesses pyrotechnique d’un camp en affrontant un autre. La routine en somme.

Autre chose, on ne me force jamais à faire quelques chose dont je n’ai pas envie, vous ne me verrez jamais obéir à Lavi par exemple alors que Grand-père lorsqu’il me dit quelques choses j’obtempère parce que LUI c’est un vrai Bookman. Je dois donc respect et obéissance à mes anciens. Oui je n’ai peut-être pas ma langue dans ma poche mais je suis une demoiselle qui sait respecter ses ainés et agir en conséquence.
Qu’il fasse jour, nuit, froid, chaud, qu’il pleuve, vente ou neige lorsque je recherche quelques chose rien ni personne n’est en mesure de m’arrêter. Ma détermination est d’acier et ma résistance de titane. Quand je veux je peux être aussi collante qu’une sangsue affamée. Plus d’un vous le confirmeras. Je ne fais pas de caprices, ce n’est nullement le principe du caprice d’ailleurs, j’aime seulement avoir rapidement des réponses à mes questions rien de plus. D’un tempérament froid et distant, vous ne me verrez pas me mêler à la foule. Je préfère le calme d’une chambre vide et la douce mélodie d’une plume encrée courant comme si sa vie en dépendait sur la surface lisse d’une feuille vierge et blanche afin d’un coucher la plus petite information observée auparavant. Oui, j’aime travailler et écrire mes archives, c’est toute ma vie désormais.

Permettez-moi un petit aparté ici car cela concerne mon caractère d’antan. Je n’ai presque jamais sourit dans mon enfance, cela se relevais extrêmement rare. Mais il n’y à jamais eu qu’a une personne que j’ai offert un nombre incalculable de sourires. Son nom : Volunty Nevennriel. C’était une fille de mon âge avec laquelle j’avais étonnamment bien sympathisé. Mais comment est-ce possible me demanderez-vous, comment une personne comme moi as telle put être proche de quelqu’un d’autre que son ombre ? Je vais vous répondre même si je doute fortement que ce morceau de récit soit plus intéressant que les autres.

Tout cela prend origine par une journée banale pour moi, rien de spécialement diffèrent des autres jours. J’étais dehors comme d’habitude pendant que mes parents choyaient mon frère à l’intérieur bien au chaud, ne se demandant même pas ou je pouvais bien être. Comme tout les jours j’étais assise sur un tronc d’arbre surplombé de neige à regarder les cristaux blancs tomber à un rythme irréguliers des nuages épais qui flottaient au dessus de ma tête. C’est ainsi que je l’ai rencontré. Alors que j’étais absorbée par le comptage des flocons, un son étouffé vint alors percuter mes oreilles. En tournant ma tête vers ledit son, je vis quelqu’un écroulé dans la neige. Je me suis lentement dirigé vers cette personne, on aurait dit un petit garçon. Enfin un garçon de mon âge, il avait les cheveux courts, un peu moins sombres que moi et était blanc tant il avait sans doute froid. Dans un élan de générosité ou qu’en sais-je, je l’ai ramené chez moi en passant par la fenêtre de ma chambre et l’ai déposé sur mon lit pour ne pas que mes parents me pose trop de questions et puisqu’ils ne venaient jamais dans ma chambre, c’était bien le seul endroit ou je pouvais le garder en « sécurité ». Je ne savais pas trop quoi faire avec lui, il était inconscient semble t-il et moi…. Bah je ne savais pas encore quoi faire dans ces cas là. Je l’ai regardé dormir pendant trois jours, peu à peu il reprenait des couleurs donc ça me rassurait un peu. Lui avais une peau « normal » pigmentée comme il le fallait, pas comme la mienne. Bon certes ses cheveux étaient d’un noir terne comparés au miens mais ça ne changeait rien au fait qu’il soit constitué normalement.

Lorsqu’il s’est réveillé, j’étais endormie, la tête posé sur un morceau de matelas inoccupé. Volunty me réveilla en me caressant les cheveux et la première chose que j’entendis furent ses remerciements chaleureux mais avec une voix trop fluette pour être celle d’un garçon même avant la mue. Et en effet, j’avais fait erreur sur toute la ligne enfaite à défauts d’un garçon, c’était une fille pure et dure. Ce qui m’avait induit en erreur était ses cheveux courts et ses formes inexistantes. Elle m’apprit son nom, Volunty et m’expliqua qu’elle était originaire d’Australie mais que ses parents étaient venus rejoindre de la famille en Finlande. Le changement lui était apparemment difficile, les habitudes entre ici et le continent australien sont comme le jour et la nuit. La bas il faisait toujours chaud, ici toujours froid, chez elle, elle voyait le soleil toute l’année, pas moi. Nous avons discutés longtemps puis, elle est repartie chez elle à pieds, bravant la neige en me promettant de revenir. Inutile d’essayer de vous expliquer pourquoi mais je m’étais déjà attaché à elle d’une certaine façon et j’ai prié pour qu’il ne lui arrive rien sur le chemin du retour. Mes parents ne furent jamais mis au courant de sa venue ici, ni de ses visites régulières. Car oui elle venait me voir souvent.
La première venue intervint trois semaines plus tard, alors que je n’y croyais plus pour être franche. Je m’étais faite à l’idée que peut-être elle m’avait oublié ou qu’elle ne voulait pas revenir ce qui était logique dans un sens, qui aurait voulu se lier à moi ? Personne nous en conviendrons. Mais non, finalement, c’est par un jour semblable au autres jusque là qu’elle revint, cognant doucement à me fenêtre pour ne pas éveiller les soupçons de mes parents, je lui avais expliqué leur façon de penser donc forcement…

Ensembles, nous faisions tant de choses ! J’avais l’impression d’avoir trouvé une sœur en Volunty, avec elle, j’avais réussi à créer un sentiment d’union que je n’avais pas avec mon frère, c’était tellement étrange. Et pourtant j’appréciais, au moins avec elle je ne me sentais pas transparente. Volunty était vraiment gentille avec moi et je me rendis compte que j’étais bien ignorante de ce qu’il se passait autour de moi. Alors que je ne faisais que compter les flocons à longueur de temps, elle étudiait et à ma demande, elle me délivra quelques cours pour me soigner de mon manque de culture. J’aimais vraiment étudier avec elle. En quelques visites à peine nous étions devenus très proche, comme deux meilleures amies. Dés qu’elle le pouvait elle venait me voir et malheureusement je ne pouvais en faire de même, quitter le secteur étais impensable, pour peut que mes parents se rendent compte de mon existence et qu’ils me cherchent alors que je suis partie…. Je vous laisse imaginer la crise. J’aimais son contact, c’est avec elle que j’ai ris le plus, que j’ai souris à la vie et surtout que j’ai appris à rêver comme bon me semblait. Je béni le jour où je l’ai sauvée de l’inconscience dans la neige.

Seulement elle et moi étions trop différentes.

A sa dernière visite, elle me promit de m’emmener loin de ma famille, me donnant l’espoir fou d’être accueillie chez elle. D’après ce qu’elle m’avait dit, ses parents acceptaient de me garder auprès d’eux puisqu’elle ne disait que du bien de moi. Fille unique elle me dit aussi qu’avoir une jumelle ne serait pas pour lui déplaire le moins du monde. Une jumelle ? Elle me voyait vraiment comme ça ? J’en ai pleuré dans ses bras, c’était la première fois que l’on me disait ça. Même mon propre jumeau n’as jamais daigné s’adresser à moi de cette manière et depuis qu’il était parti (car oui Volunty et moi nous sommes rencontrées juste avant le départ pour la Congrégation de mon frère, elle ne l’as jamais connu autrement que par ce que j’en disais). La laissant partir, je m’empressai de foncer dans ma chambre pour prendre les maigres biens personnels que je possédais, c'est-à-dire pas grand-chose. Elle devait venir me chercher le lendemain en fin de journée. J’étais tellement impatiente si vous saviez !
Mais.. il à fallu que je fouine le lendemain et que je découvre mon innocence…. Après mon enfermement forcé par mes parents et le changement brusque de caractère je ne saurais dire ce que la situation m’aspirait alors. Au moment ou les scientifique sont venus me chercher ça devait faire trois jours que j’étais enfermée. Lorsque nous sommes sortis pour partir à l’Ordre Noir, un instant je l’ai vu, Volunty. Ma meilleure amie était cachée derrière un arbre, se dissimulant du mieux qu’elle le pouvait. Je ne pouvais croire au fait que cela faisait trois jours qu’elle m’attendais inlassablement, m’aimait-elle à ce point ? Il faut croire, elle fut d’ailleurs la seule à m’aimer tout court en ce temps là. J’avais mal de la laisser derrière moi mais trop c’était trop, mes parents avaient abusés sur toute la ligne et puis malgré tout ce que j’en pensais auparavant, mon frère me manquait malgré tout. Volunty était ma sœur jumelle sentimentale, Viaton était mon frère jumeau tout court. Nous sommes parti et Volunty disparu derrière la ligne de l’horizon. Si ça n’avait été que de mon fait j’aurais couru vers elle et l’aurais enlacé aussi fort que je le pouvais jusqu'à l’en étouffée mais vu l’histoire dans laquelle je me retrouvais je ne pouvais me le permettre. Puis de fil en aiguilles je suis devenue Bookgirl et ai du elle aussi la renier. Pour elle se fut plus dur que pour ma famille ou mon frère jumeau bizarrement. Peut-être parce qu’elle était le seule à m’avoir ouvert les bras et à m’avoir guérie de ma transparence permanente…

Adieu Volunty, j’espère que nous ne nous reverrons jamais, je ne pourrais pas te donner d’explications assez tangibles pour que tu me croies et tu me renierais toi aussi à coup sûr. Je refuse ceci. Nous nous reverrons peut-être un jour, si toi aussi tu plonge en Enfers…

{Volunty : (crédit : dessin de Xion, Kingdom Hearts 358/2 Days)}
Spoiler:



Dernière édition par Ekaterina K. Requiem B. le Sam 21 Aoû - 20:52, édité 5 fois
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité
Invité




Ekaterina Kielo Requiem Bookman  Vide
MessageSujet: Re: Ekaterina Kielo Requiem Bookman Ekaterina Kielo Requiem Bookman  EmptyMer 18 Aoû - 2:23

LES MOTS FUTILES QUI ME SUIVENT…


"Des vagues de sanglots et du sel dans la gorge. Et du sel sur la plaie de ce coeur tatoué, à son nom que l'on cri au fond des vars de vin, à ce dire que la vie oui n'était qu'une [...]"


Avant de commencer à utiliser de grands mots pour me qualifier il est nécessaire je pense d’étudier d’un peu plus prés mes géniteurs. Je suis d’origine américano-finlandaise pour resituer un peu les choses clairement. Ma mère, Orvikki Pirinen était une superbe jeune femme au x épais cheveux noirs de jais lisse comme la soie et aux yeux d’un bleu profond que l’on aurait pus croire sorti du plus protecteur des icebergs. Un bleu glaçant mais couvrant de chaleur humaine n’importe qui sachant s’attirer leurs sympathies. Relativement petite du haut de son mètre soixante quatre, on ne pouvait pas dire que la nature ne l’avait pas gâtée de formes généreuses, la rendant particulièrement attirante aux yeux des plus volages et autres énergumènes de la même espèce. Elle était fille de marchands et avait fait le choix à ses six ans d’entrer dans le couvant proche de chez elle. Elle voulait dévouer sa vie à Dieu, enfin du mieux qu’elle le pouvait. Regardez un peu ou on en est arrivé avec ce vœu stupide… Bref reprenons.

Ma mère avait tout juste seize ans lorsqu’elle à connu mon père, un américain à la chevelure d’argent pur et aux yeux aussi noirs (il avait les yeux noirs desquels on voit du bleus, qu’on prend pour l’océan dans lesquels on voit Dieu. Qui font toucher du bout des doigts les horizons mais toujours à la fin on est seuls au milieu….) et malsains que ceux d’un diable, Aaron Crowford. Un coureur de jupons des plus décadents pour tout dire. Je ne m’arrêterais en aucun cas pour faire une description plus approfondi de cet individu, il ne m’intéresse pas et ne m’as jamais intéressé, ce n’est qu’un déchet imbu de lui-même. Pour bien comprendre la rencontre qui à réuni les deux êtres que sont ces personnes il est obligatoire de remonté un peu dans le passé de ma mère. Comme je voulais l’ai dit elle à choisi la voix religieuse et le prêtre de l’église de laquelle dépendait le couvent organisait dans l’année des dix sept printemps de ma mère un voyage en Amérique afin d’apprendre on ne peut mieux la langue anglaise. Evidemment c’est une occasion sur laquelle m’as mère n’as pas manqué de sauter (sans mauvais jeu de mots), logique puisque sans cette décision nous ne serions pas en train de parler vous et moi en cet instant. Je continue donc, ma mère participa à ce voyage initiatique qui débuta au mois de mars de l’année de ma venue au monde. Le groupe de voyageur était composé du père en chef, de quatre sœurs religieuses ainsi que de ma mère et sept autre jeune femmes du même couvent. Ils arrivèrent après plus d’une semaine de voyage à leur destination finale. Le prêtre délégua à chaque demoiselle une tâche à faire en particulier afin que le séjour soit le plus confortable pour tous. Les demoiselles suivirent assidument des cours d’anglais délivré par une église locale, alliée à la leur. En trois semaines elles ne parlaient pas encore couramment la langue mais au moins les bases étaient acquises et solidement ancrées dans leurs cerveaux. Mais ceci n’est point intéressant en définitive, venons en au faits.
Trois jours avant leur retour en Finlande, les jeunes nones eurent quartier libre durant une journée et une nuit entière. C’était un cadeau formidable il faut avouer. Orvikki ne s’est pas fait prier pour faire tout ce dont elle avait eu envie en arrivant sur le territoire américain sans aller à l’encontre des préceptes enseigner dans le couvent d’où elle venait. Avec ses amies nones, ma mère organisa un pique-nique dans le petit parc environnant afin de profiter du soleil et de la somptueuse dont on pouvait profiter depuis la plus haute de ses collines.

C’est là que la rencontre eu lieu. Mon père déambulait tel un fantôme sans but dans ce parc, empestant l’alcool à des kilomètres, une bouteille fraichement vidée à la main se balançant de gauche à droite au même rythme que sa marche désordonnée d’ailleurs. Il déblatérait des inepties immondes inondées d’une incompréhension totale. Que voulez-vous, les délicieux âpres de l’alcool ramène souvent à la dure réalité en peu de temps … Enfin bref, je sais je me répète avec ces mots de liaisons mais bon je suis plus douée pour jeter en pâture l’histoire et mes archives que pour la raconter moi-même avec des mots superflus. Cet homme à la chevelure d’argent est tombé raide sur le sol graveleux du chemin qui entourait les collines devant les yeux effarés des jeunes demoiselles de sainteté. Personne ne bougeât pour lui venir en aide sauf ma génitrice, bien trop gentille à l’époque. Elle lui apporta un peu d’eau afin de lui faire reprendre conscience et après avoir découvert qu’il se prénommait Aaron, se proposa pour ramener cette pauvre brebis égarée chez elle afin d’y prendre du repos. Il accepta son aide non pas avec un sourire de remerciement mais avec un rictus débordant d’intérêt pour le corps de ma mère. Mais sur, jeune et naïve elle n’avait pas encore compris cela. Elle prévint ses amies de ne pas s’inquiéter qu’elle reviendrait à l’église dés que possible. Ne précisons pas que les autres jeunes femmes étaient on ne peut plus inquiètes, ce serait très inutile.
Supportant le poids de mon père et l’aidant à marcher, un bras sur son épaule, la jeune Orvikki finit par atterrir dans l’un des quartiers les plus mal famés de la ville ou ils se trouvaient. Il y avait des tags partout sur les murs, peu de lumière, des personnes louches la regardant de travers sans doute à cause de son uniforme de nones et une immonde odeur de puanteur que les plaques dégouts rouillées vomissaient à n’en plus finir. L’argenté vivait dans un petit appartement approchant du cagibi d’ailleurs dans l’un des immeubles les moins bien entretenu du secteur. Les escaliers qu’ils faillaient arpenter pour arriver jusqu’au fameux appartement en question grinçait horriblement et des rats s’amusaient sans craintes et dévalé eux aussi les marches en même temps que les être humains ou non. En arrivant à l’endroit indiqué par l’ivrogne, une porte leur faisait face. Orvikki ,’eu même pas besoin de forcé outre mesure sur le bois, la porte s’ouvrit d’elle-même. Sécurité indéniable en somme… (comprenez dans cette phrase une singulière touche d'ironie bien sûr.)

L’appartement de l’argenté ressemblais plus à une chambre seule pour tout dire, et que l’état ! Des bouteilles trainaient par terre, la poussière régnait en impératrice et il était clair que vu l’odeur infecte qui flottait ici, l’aération n’avait pas été de mise depuis un certain temps. N’en pouvant plus, ma mère déposa le plus délicatement possible mon père sur ce qui lui servait de lit, à savoir un vieux matelas jaunis par les aventures malheureuses et troués de part et d’autres et, se relevant les manches, elle décida de faire un brin de ménage dans ce capharnaüm. Je vous l’avais dit que ma mère était trop gentille dans sa jeunesse… Manque de chance pour moi sa gentillesse elle l’a perdu depuis le temps. Ca lui à bien pris trois bonne heure pour rendre à cette minuscule chambre de bonne un aspect un peu plus agréable à regarder. Une fois son brin de nettoyage finis, elle se rinça les mains et retourna auprès de mon père qui lui s’était endormir comme une masse à cause de out ce qu’il avait avalé comme substances alcooliques. Preuve de sa sympathie, elle resta auprès de lui une nuit entière pour être sûre et certaine que son cœur ne lâche pas durant son sommeil. Pouah c’est à en vomir tellement ces attention candides ma soulève le cœur. Qu’elle stupidité. Ma mère s’endormit sur le parquet refroidit par la nuit en tenant dans sa main les imposantes phalanges de mon paternel. Lorsque ce dernier se réveilla le premier reflexe qu’il eu fut d’égueuler ma mère pour avoir rangé son dépotoir. De rage il l’avait poussé en arrière, faisant valser sa coiffe un mètre plus loin, révélant à ses yeux d’ingrat la superbe chevelure d’ébène d’Orvikki. Cette vision, alliée aux yeux océans éclatant de lumière prise aux rayons du soleil levant fit chavirer Aaron un instant. En examinant un peu la jeune de plus prés il vit ses formes avantageuses et décida de changer un peu ses plans, il l’as voulait dans son lit maintenant. Changeant sa personnalité du tout au tout comme un caméléon, il tenta de se faire pardonner et invita même la demoiselle à aller manger quelques choses à l’extérieur, prétextant que ça beauté ne se révélerait à la lumière du soleil. Ma mère, qui n’avait encore jamais été charmé par personne se laissa amadouer par ce trentenaire intéressé et succomba à son pseudo charme qu’il avait sans doute déjà utilisé pour obtenir plusieurs autres femmes avant ma mère et qu’il utiliserait bien après également. Ce genre d’individu me répugne plus que la moyenne. Ils passèrent la journée ensemble après avoir été déjeuné dans un petit restaurant de quartier et lorsqu’ils revinrent chez Aaron en fin d’après-midi, des voyous de bas fonds tentèrent de les agresser afin de profiter des vertus de ma génitrice.

Fort « heureusement » pour elle, Aaron était là et il l’a défendu de ses muscles d’adultes. Elle ignorait qu’il n’avait nullement fait ça pour réellement la protéger à la manière d’un prince charmant mais pour défendre son butin des griffes d’autres prédateurs, ce chacal masquait terriblement bien son jeu. Orvikki en resta bouché bée et de ce « sauvetage » découla des sentiments pour l’argenté. Oui, elle était fleur bleue et tomba sous le charme de ce rustre. En revenant dans l’exigu appartement, il lui proposa une boisson. Ma mère, assoiffée accepta volontiers ayant dans l’idée de se jeter littéralement sur le verre d’eau qu’elle lui avait demandé. Il feinta habilement, transformant e cours de route le verre d’eau en verre de Vodka, même transparence et si l’on ne prend pas la peine de sentir les effluves de la boisson il n’y à presque aucunes différence à l’œil nu et inexpérimenté. Ma jeune mère, naïve comme pas deux but cul sec le contenu de son verre sans même se méfiant, ne se rendant compte que bien trop tard de son erreur, lorsque le liquide lui brula la trachée atrocement. Laissant tomber le verre sur le sol et se tenant la gorge, elle toussa douloureusement pendant de longues minutes. Habituellement, Aaron aurait giflé n’importe qu’elle fille qui aurait osé laisser rouler un verre sur son sol mais puisqu’il n’avait pas encore joui du corps de ma génitrice, il refreina ses envies de meurtres. Alors qu’Orvikki toussais, il vint vers elle et feignait de s’être trompé de boisson.

« A….Aron…. Qu’est-ce que….. qu'est ce que tu m’as …. Donné ?
-Pardon, je suis terriblement désolé, j’ai confondu l’eau et la Vodka, que je suis idiot ! »

Idiot ? Non, calculateur assurément. Il avait volontairement inversé les breuvages et pas pour rien. La finlandaise lui avait dit qu’elle retournait bientôt dans les bras de son pays natal et il voulait lui dérober quelques chose absolument avant. L’interdit à bon goût vous savez ? Surtout quand vous êtes sous les effets hallucinogènes de la Vodka. Orvikki n’avait jamais bu une seule gouttes d’alcool de sa vie, je vous laisse donc imaginer ce que ça à produit sur elle lorsqu’elle à bu cul sec un verre entier de liquide alcoolisé. Oui parfaitement, ma mère était ivre et pas qu’un peu, les joues rougies par les effluves et la vision opaque, sa tête commençait à lui tourné et à lui faire penser à des choses en non adéquation avec sa soi-disant sainteté. Suffisamment dans tout les cas pour laisser à Crowford libre cours à ses désirs et volontés, il prit en cet instant la précieuse vertu de cette jeune femme n’ayant pas encore passée le cap des dix sept ans. Mais il s’en fichait, ce qu’il voulait il l’avait à portée de main et n’allait pas cracher dessus ou s’en détourner pour respecter une morale qu’il n’avait jamais eue et qu’il n’aurait jamais. Ma génitrice se laissa faire malgré la vocation d’église qu’elle avait volontairement choisi elle ne résista pas le moins du monde, prenant même grand plaisir dans ces ébats blasphématoires et outrageants. Lorsqu’elle eu dessoulée, elle ne paniqua pas sur le moment comme on aurait pu l’attendre d’elle. Au contraire, elle affichait un certain sourire même. Elle espérait avoir trouvé là l’homme de sa vie. Pff qu’elle idiote. En pensant aux plausibles embryons qui allaient croitre en elle après cela elle sourit à Aaron en lui soumettant l’idée qu’elle trouvait absolument magnifique. Elle était prête à tout abandonner, l’église, sa vocation, ses parents, son pays d’origine, sa vie, tout pour s’installer ici avec Crowford et fonder une famille. Elle était tombée amoureuse d’un serpent.


« Invité regarde moi j’ai le cœur qui renverse. La mémoire de ses yeux qui me colle à la peau.. » Orvikki



Son sourire se figea d’abord avant de se décomposer totalement lorsqu’Aaron lui rit ouvertement au nez en la jetant dehors à moitié habillée avec ses habits de bonnes sœurs, lui crachant à la figure qu’il ne voulait pas d’enfant avec une fille pareille et que si c’était pour avoir la remplaçante de Yuuki, elle pouvait d’or et déjà aller se laisser mourir car cela serait bien mieux pour tout le monde. Yuuki ? Qui était-ce ? Probablement une autre victime de cet homme, une autre pauvre femme qu’il avait sans doute mise enceinte pour l’abandonner par la suite. Quel monstre. Mais revenons à ma mère. Juste avant que cet ignoble personnage ne referme la porte de sa « demeure » elle eu le temps de lui attraper la main pour tenter de le ramener à la raison dans un geste désespéré, elle ne voulait pas qu’il l’abandonne à son sort. Il réussi à défaire ses phalanges de l’étreinte de ma mère au prix d’une bague aussi argenté que ses cheveux qui s’échappa de ses doigts et la rejeta violement vers l’arrière afin de fermer sa porte rapidement, laissant Orvikki seule, à genoux et à demi nue sur la pallier de chez lui. Elle se rhabilla en quatrième vitesse dans le couloir de cet immeuble décrépi et reparti en courant vers l’endroit ou elle logeait jusque là avec les autres jeune nones, les sœurs aguerries et le Père supérieur. Elle se sentait souillée, humiliée. Elle aurait voulu que tout cela n’arrive pas, ce fut la toute première claque de réalité qu’elle se prit en pleine face. C’était dur à accepter, d’ailleurs sur le moment elle reniait encore ce qu’il venait de se passer. Elle nous voulait pas tomber enceinte, pas maintenant, pas de lui..
Tss pensez-vous que je lui ai demandé son avis pour germer dans ses entrailles après ça ? Jamais de la vie. Mais la n’est pas encore la question, je n’apparais que plus tard, reprenons au chapitre actuel. Ses longs cheveux noirs volaient en une vague rythmée par son rythme de course –car Aaron ne lui avait pas rendu sa coiffe en lui balançant ses vêtements au visage- afin de quitter les bas quartiers et de revenir au plus vite auprès de son groupe, elle avait besoin de sécher ses larmes et d’être consoler. Oui, plus que tout elle avait besoin de réconfort. Lorsqu’elle rejoignit finalement les autres, elle se fit sévèrement réprimandée par les adultes. Elle reçu quatre vingt quinze coup de règles en fer sur les doigts pour une première punition et fut privée de repas le soir même. De plus elle eu droit à ne nombreux sermons. Elle n’avoua jamais à son groupe se qu’elle avait fait. Seule sa meilleure amie, Piri la réconforta un peu lorsqu’elle revint les joues humides et les yeux rouges. Pour continuer un peu plus la réprimande, on l’isola seule dans un cagibi noire pour qu’elle expie sa faute jusqu’au lendemain, le jour de leur retour en Finlande. Toute la nuit elle réfléchit à ce qu’elle pourrait bien faire pour empêcher le futur drame qui s’annonçait. Il était clair qu’elle tomberait enceinte vu dans qu’elle période elle se situait alors. Mais la question était surtout comment faire pour empêcher les cellules de s’accrocher et de grossir dans son intimité ? Avorter ? Prendre des aiguilles à tricoter et le tour serait joué ? Non, car si il y a bien un péché qui vienne au dessus de la perte de virginité avant le mariage et avec un étranger c’était bien l’avortement. Soit, dans le souci de ne pas froisser d’avantage sa chère divinité elle ne serait rien à l’encontre de la vie qui écorera peut-être en elle. Néanmoins, elle pleurerait longtemps sa honte et sa douleur d’avoir failli à sa mission de sainteté. Ce fut l’une des nones ancienne qui vint la réveillée dans son isoloir le lendemain avec assez peu de délicatesse pour froissée n’importe qui dés le réveil. Le voyage du retour fut long et difficile, Orvikki ne parlait à personne et personne ne l’approchait sous peine d’être puni à son tour. Elle était devenue pour un moment la bête noire à éviter avec précaution pour ne pas être contaminé de sa malice maléfique. Heureusement que personne n’était au courant de sa faute, qu’elle conséquences cela aurait-il eu si de telles punitions ne sanctionnait que sa disparition durant deux jours ? Je ne préfère même pas y penser.

Les semaines passèrent et son ventre, comme ça plus grande peur lui faisait imaginer commençait à prendre des rondeurs. Elle demanda en urgence un entretien avec la mère supérieure de l’église. Elle fut reçu rapidement et à peine la mère supérieur avait elle ouvert la bouche pour lui demander la raison de cet entretien qu’elle s’effondra en larmes devant elle pour déblatérer rapidement ce qu’elle considérait être un crime pour sa vocation. D’abord étonnée, la mère supérieure se radoucie rapidement, c’était l’une des rares –pour ne pas dire la seule- à ne pas sanctionner injustement. N’oublions pas que même si ma mère à sa part de responsabilités, c’est de la faute d’Aaron qui l’avait fait boire et avait abusée de son inhabitude de consommer ce genre de substance si elle se retrouvait dans cette situations compromettante.
Pour éviter d’attirer des ennuis à Orvikki et protéger la réputation du couvent par la même occasion, il fut décidé de la marier sur le champ à un homme qu’elle ferait passer pour le père de son futur bambin. Cela n’enchantais personne et ce n’était pas très bien vue pour une none qui avait choisis cette vocation de religion de quitter son couvent pour un mariage organisé à la vas-vite mais il n’y avait guère d’autre choix. Elle fut donc l’épouse deux semaines plus tard d’un Finlandais pur souche, un bucheron dur à la tâche de quinze ans son ainé, Ego ( ma mère n’eu ni robe de mariée ni couronne de fleur ou bouquet, elle fut juste déposée chez le bucheron qui réclamait une femme un jour et fut marier en dix minute par un prêtre de passage). Celui qui me servit de père de substitution durant mes premières années de vie, Ego, ne fut jamais mis au courant de la condition de ma mère et, déterminer à avoir des enfants le plus tôt possible lui ordonna de s’offrir à lui afin d’accoucher également au plus vite de beaux héritiers qui l’aideraient à la tâche. Pour protéger son secret, ma mère n’eu pas le choix et se laissa envahir par cet homme certes moins vil qu’Aaron mais qu’elle n’aimait pas. Un mariage sans amours pour garder le silence sur une faute de jeunesse, est-ce une vie ? Non bien sûr. Ma mère commença à sombrer peu à peu dans un tourbillon de déprime permanente. Pour soulager sa peine un instant, elle profitait que mon « père » soit absent de la maison pour piocher dans la réserve d’alcool fort de ce dernier et se servir plusieurs verre. Après tout un verre de vodka lui avait fait oublier ses anciennes bonnes manières de nones, plusieurs verres d’alcools aussi fort auraient du lui faire oublier ce qu’elle vivait à longueur de temps depuis. Ainsi, elle buvait chaque jour de grande quantité d’alcool, faisant attention à ne pas se faire attraper, ne se souciant pas des terribles conséquences que de tels actes pouvait avoir sur nous. Dans un sens, elle aurait voulu nous tuer pour revenir à son ancienne vie.


« Invité, je cherche magie noire pour délivrer mon corps du sort qu'on m'as jeté.» Orvikki




Elle fut forcer d’arrêter un jour, lorsque l’homme qui croyait être notre père revint plus tôt que d’habitude à la maison et la découvrit inconsciente sur le sol, un verre vide à la main, un filet de whisky coulant de ses lèvres pour s’échouer sur le sol de bois. Un médecin fut appeler en urgence et le verdict tomba, nous aurions des séquelles de ses actes à n’en pas douter. « Heureusement » que notre père l’ai découvert à temps car celons le docteur à vingt minutes prés et nous y serions passés tout les trois. Je me demande parfois si ça n’aurait pas été mieux ainsi. Nous ne le sauront jamais. Si Orvikki n’était pas enceinte, elle aurait été sans doute punie à l’extrême mais nous faisions en ce temps là office de bouclier pour notre mère qui souhaitait tant notre disparition. Elle fut assignée a rester au lit jusqu'à le fin de sa grossesse et enchainée au lit de métal pour prévenir de toute éventuelle récidive. Ma mère s’en voulu encore plus après cela, détruire la vie et se suicider n’était pas ce qu’elle voulait et elle avait profité de ne pas connaitre ses limites pour boire à tord et à travers et se mettre dans cet état. S’il n’avait pas été obligé de nous nourrir par son intermédiaire elle se serait d’elle-même privée de nourriture pour se punir. Seulement voila nous grandissions tant bien que mal de jour en jour dans son ventre qui se gonflait de plus en plus.

"Cette horreur au fond d'elle, ce monstre qui crit."


Et, enfin nous sommes venus au monde mon frère jumeau et moi, aussi blancs que des cadavres à causes des futiles agissements de ma mère. L’alcool avait supprimé chez nous toutes traces de mélanine, un précieux colorant épidermique, nous rendant tous deux blancs comme des flocons. Plus tard, le médecin nous appris que le fait que je ne ressente que très peu la douleur et que mon frère soit à la limite de l’asociabilité en ce renfermant sans cesse dés qu’un problème survenait découlait également de ces actes absurdes. La seule chance que ma mère eu par notre naissance, c’est que nous ayons pris ses cheveux sombres et ses yeux bleues, cela masquait bien la supercherie d’une couche supplémentaire d’illusion vivante. En plus, en ce temps là et surtout dans les petites isolations comme celle ou nous sommes nés, l’éducation n’étais pas forcément de mise et personne n’as trouvé étrange que nous naissons parfaitement formés avant le terme normale que ma mère aurait du avoir si nous avions été les enfants d’Ego. Un sauvetage en quelques sorte.
Ma mère à accoucher seule à la force de son corps avec pour seule lumière une petite bougie qui luisait d’une lueur faiblarde et pour seule compagnie ses hurlement qui faisait écho sur les parois murales de la chambre vides meubles dans laquelle elle était recluse. Mon « père » quand à lui n’avait pas souhaité l’aidé et était sorti couper du bois pour continuer à alimenter leurs chaudière rustique. Dix huit heures, c’est ce qu’il fallu à la jeune Orvikki de dix sept ans maintenant pour nous expulser d’elle, tels deux fardeaux virusés dont son corps voulait se délester. Nous fûmes affublés d’un nom finnois comme le veux la coutume de naissance et très vite englobé dans le rythme de vie de parents qui ne s’aimaient pas sincèrement l’un l’autre. Quel manège idiot. Nous ne sommes pas nés par volonté où par amour. Non, seulement par intérêt et naïveté. Il y à donc de bien meilleure raisons pour vivre je pense. Il n’y à pas à dire, ma mère à payer cher cet écart de conduite avec Aaron. Alors que lui s’en sortait sans problèmes ni sanctions, ma mère quand à elle était condamnée à passer le reste de ses jours silencieuses enchainée dans une cage de mensonges et une réalité illusoire qu’elle avait du se créer pour ne pas être tuer à cause du blasphème alors qu’elle venait tout juste d’avoir dix sept ans. C’est injuste ? Possible, mais c’est la vie. Je ne la plaindrais pas, car dans les faits, mon frère et moi avons autant payé de notre personne de son erreur. Qu’elle ne vienne plus pleurer, elle me dégoute.


Ekaterina Kielo Requiem Bookman  15saa7o

Parce qu’ils m’ont mis au monde, je les déteste : Mes parents.

Par un jour froid et ordinaire sur le continent gelé qu’est la Finlande je viens au monde, mais pas totalement seule car oui je fus escortée dans ma naissance par mon frère, mon jumeau : Viaton, ce qui était un synonymes finnois de la qualité qu’est l’innocence en ce bas-monde. Je n’ai jamais compris pourquoi ceux qui étaient autrefois mes parents l’avait affublé d’un tel nom car innocent, mon frère ne l’étais certainement pas. Je me suis toujours demandé, la tête tournée vers les étoiles ce que j’avais bien pu faire dans une autre vie pour que Dieu décide de me réduire à une existence pareille pour toute punition. Je devais sans doute être une bien horrible personne car ce genre de vie je ne la souhaite à personne, pas même à mon pire ennemi. Poursuivons, j’ai grandit dans une petite maisonnette isolée par le blizzard à une centaine de kilomètres de la ville à plus proche à savoir Kuopio. J’y vivais uniquement avec mon père, ma mère et mon jeune frère, dans une sphère familiale en autarcie de tout et de tous au milieu des lacs gelés mais pas forcement soudée pour autant croyez-moi. La seule chose vraiment tangible dont j’ai jamais vraiment tenu à ancrée dans ma mémoire juvénile c’était que notre mère et notre père on toujours été bien plus permissif avec mon jumeau qu’ils ne l’étaient avec moi, sans doute à cause de son comportement prononcé sur le renfermement. Et puis en ces temps et lieux reculer il était bien mieux d’avoir un fils pour de multiples raisons comme par exemple l’aide aux travaux familiaux quand cela est possible, or une fille n’as pas les mêmes « atouts » qu’un garçon pour aider convenablement à la tâche. Et puis un héritier était toujours le bienvenu pour dorer le blason de la famille, les héritières n’existaient pas. Moi je le haïssais justement parce qu’à côté de lui j’avais la désagréable impression d’être plus que transparente aux yeux de tous et ce dés le plus jeune âge. Jamais mes parents n’ont applaudit mes premiers pas alors que pour lui ils avaient été jusqu'à faire rougir leurs phalanges. Jamais il n’avait tenté de gravé mes premiers mots sur du papier pour les immortaliser alors qu’avec lui, on aurait pu penser qu’ils voulaient rattraper ses mots pour les figés dans le temps. Oui je l’admets, j’étais jalouse. J’ignore d’ailleurs si je le suis toujours aujourd’hui mais une chose est sûre, la vie que je menais jusqu'à ce jour fut annihilée par leur arrivée, et c’est tant mieux. Je ne regrette rien.

Parce qu’ils m’ont enlevés mon frère, je les déteste tous : Les exorcistes et leurs Congrégation latine

Eux, c’est par leur venue que tout à changer. Ils on débarqués un jour comme ça sans crier gare, on frappé à la porte de la petite maison que j’occupais avec mon frère et mes parents et on dit à ces derniers que mon frère était un « compatible » et qu’il devait les suivre pour marcher sur le chemin de sa vocation divine puisqu’il avait été choisit par [cette chose]. Evidemment, vous pouvez vous imaginez que j’ai tenté de m’interposer mais en ce temps là je n’avais pas encore de « pouvoir » et mes géniteurs m’ont rapidement maitrisé et enfermer ailleurs, enchainés au mur pour être sûr que je ne perturbe pas mon jumeau pendant ses préparatifs de départ. Le perturber ? Lui ? Comment aurais-je pu faire une chose pareille, il n’y à rien qui soit en mesure de le perturber, il ne se serait même pas rendu compte de mon intervention à cause de son problème à la tête (oui ça fait deux fois que j’en parle sans véritable explications, je vais répondre à cela maintenant. Mon jumeau avait un problème au cerveau, il se refermait extrêmement vite sur lui-même lorsque quelques chose qui sortait de l’ordinaire ou qui le choquait lui arrivait. Ce n’était pas une sorte d’autisme non non mon frère à eu toute ses facultés à ce niveau là mais quand il se renfermait de la sorte, personne jamais ne pouvait le déloger de sa bulle jusqu'à ce qu’il se détende, pas même moi. Il se mettait volontairement dans un monde imaginaire ou il n’entendait rien de ce monde-ci. Comprenez donc la grande difficulté que j’ai eu à créer et entretenir le faible contact qui nous unissait tout les deux.). C’est vrai à quoi bon après tout, pour lui je n’existe presque pas. Autant être invisible au yeux de mes parents je m’y étais habituée et j’avais même finis par apprécier d’ailleurs car au moins comme ça j’avais la paix constamment et je pouvais faire tout ce dont j’avais envie du matin au soir, autant être quasi-inexistante à ses yeux ça me fait mal, tellement mal que pendant que j’étais enfermée j’en ai pleuré. J’ai même tenté de l’appeler, d’hurler son nom tout en pleurant mais rien ne me revint, pas un son, pas une lumière. Il était parti… Ces larmes furent les premières et les dernières que je versai.

Parce que je ne sais pas trop quoi penser d’elle je ne peux pas dire si je l’aime ou la hais : L’innocence.

Finalement après le départ de mon frère mes parents avaient finis par me détacher et tout redevint presque comme avant, oui la même transparence dans leurs regards, la même indifférence à mon égard. Maintenant que leur précieux fils leurs avait été enlevé, plus rien ne justifiais le fait qu’il ne le lève le matin. Pas même moi. Il n’était pas rare que je sois oubliée au moment des repas d’ailleurs mais bon c’est comme tout et on finit par s’y habituer. Pendant ces moments de transparence absolue je sortais dehors dans la neige et je m’amusais comme il m’était possible de la faire si tant est que l’on puisse appeler sa « s’amuser » car enfaite la seule chose que je faisais c’était m’assoir et compter les flocons qui tombaient inlassablement, venant mourir dans ma longue chevelure noire. Un jour, alors que le comptage des cristaux de neige m’avait lassée plus que suffisamment, je suis revenue à la maison et me suis assise dans ma chambre et, alors que j’étais allongée sur mon lit à regarder le plafond sombre, une chose attira mon attention. Au dessus de l’armoire il semblait y avoir une sorte de trappe aux contours beiges. Je l’avais déjà remarqué auparavant mais n’y avait pas prêté attention plus que ça. Seulement ce jour là je n’avais rien d’autre à faire et il m’était absolument hors de question que je passe la journée à m’ennuyer. Alors, j’ai escalader mon armoire le plus discrètement possible pour ne pas recevoir des coups de règles en fer sur les doigts par ma maternelle pour toutes punitions et est tenter de déterminer si cette trappe était scellée….. Où non. Sur le moment on aurait pu croire que oui mais en définitive, en poussant comme il fallait aux bons endroits avec une pression suffisante, elle finit par céder. Moi qui voyait ça pour la première fois je n’en étais pas plus étonnée que ça enfaite, cette maison renfermait tellement de secrets plus ou moins graves qu’un de plus ou de moins ne devait pas faire une grande différence après tout. La petite porte donnait sur une espèce de cachette exiguë, aussi sombre que poussiéreuse. J’y engouffrais ma tête pour tenter de distinguer quelque chose. Il y avait une sorte de mallette épaisse en cuir, fermé par plusieurs imposantes boucles de fer. Heureusement aucuns cadenas, c’était déjà une bonne chose.

Patiemment j’ai donc desserré chaque boucle pour accéder au trésor que renfermait sans doute cette fameuse mallette. Lorsqu’enfin je réussis à toutes les ôter, il m’a semblé que j’avais commencé il y à plusieurs heures tant ce fut fastidieux. Ouvrant le couvercle je fus d’abord déçue de ma découverte, on aurait dit un fusil mais de taille plus affinée, une baïonnette ? Possible bien que je m’y connaissais pas plus que ça en arme à l’époque. En plus elle était en morceaux. Bon, même si je m’attendais à autre chose je pouvais au moins prendre toutes les pièces de cette mallette et essayer de les rassembler, ça m’occuperais comme ça. Je pris donc tous les morceaux de métal dans le creux de mes bras et suis retourné sur mon lit où je les ai tous déposer. Puis l’assemblage à pu commencer. Jamais encore je n’avais vu d’aussi prés ou même touché une arme mais étrangement les pièces passaient dans mes mains et s’emboitaient les unes dans les autres avec une facilité déconcertante. Mon nouveau jouet fut terminé en dix minutes. Bon c’était bien beau tout ça mais bon maintenant j’en faisais quoi ? Il n’étais sans aucun doute pas chargé et puis un temps soit peu, si cela avait été le cas jamais je ne m’en serrais servi. Enfin pour le moment~. Je me souvenais avoir déjà entendu parler d’enfants qui jouaient à la guerre avec de fausses armes ou des bâtons décrépi en guise de fusils d’imitation. Je n’avais qu’à faire pareil après tout ! Ca ne devait pas être très compliqué de s’imaginer une bataille dont on est le héros ? Notre maison était entourée d’arbres frappé par le blizzard, je n’avais qu’a les désigné d’office comme mes ennemis factices ! J’étais persuadée que j’allais m’amuser! Autant aller tester ce nouveau jouet immédiatement ! C’est ainsi que tout à commencer pour moi aussi. Je suis sortie dans le vent (ce genre de temps ne m’effrayait pas, au contraire même, j’aime le blizzard) et ai brandit ma trouvaille devant moi comme si il s’agissait du saint graal. Mais malheureusement, il faut croire que je ne devais pas être conçue comme les autres enfants de mon âge car je n’arrivais pas à m’amuser sincèrement, je visais les troncs d’arbres certes mais je n’arrivais pas à réellement m’imaginer l’impact que cela aurait sur leurs écorces si j’avais vraiment tiré. J’étais déçue. J’entendis la voix de la mère faire brusquement irruption derrière moi. Elle est à la porte de notre maison et m’ordonne de revenir instamment à la maison car c’est soi-disant dangereux dehors.

Tiens ? Elle se souvient qu’elle à une fille ? Ca tiens presque du miracle et un amer sourire se dessina alors sur mon visage. Mais, alors que j’allais sagement obéir comme le fantôme que j’étais à cette mère ignorante de mon existence j’ai vu une chose étrange dans le neige qui elle continuait de tomber. On aurait presque dit un homme mais il semblait tellement bizarre et puis il n’y avait aucune expression sur son visage et il marchait plus qu’étrangement il faut l’avouer… Il s’est approché de moi et malgré les cris de ma mère je n’ai pas reculé car non je n’avais pas peur, j’étais juste intriguée et la curiosité était plus forte que tout. Je me demande parfois ce qu’il serait arrivé si j’avais obéis à ma mère dés le départ. Peut-être n’en serais-je pas la aujourd’hui… Mystère. Enfin bref, l’étranger c’est approché de moi et finis par se transformer en un étrange monstre semblable à une boule volante avec plein de canons greffés dessus. Malgré tout je ne me suis pas enfui pour autant, j’ai juste pointé le petit canon de ma Baïonnette sur lui et tout en le regardant je lui ai demandé ‘ : « Tu veux jouer ? ».

Après tout si je devais mourir je ne pouvais rien faire contre. Mais non finalement ce fut ce petit jouet qui me sauva la vie puisqu’il tira une véritable cartouche à mon plus grand étonnement qui transperça tout d’abord la singulière carapace grisâtre de l’étranger sans autre effets. Il allait enclencher une bonne fois pour tous ses canons lorsqu’il fut pris de soubresauts. Des tentacules planteuses ressemblant étrangement à des racines se mirent alors à sortirent de toute part, de sa bouche, ses yeux, ses canons, bref partout quoi. Il hurlait comme si quelques chose l’avait dévoré de l’intérieur et explosa dans un éclat vert ou il avait implosé peu avant. L’étranger c’était définitivement évaporer. Que c’était-il passé ? C’était quoi cette chose ? C’est moi qui ai fait ça ? Je me souviens que c’était les premières questions qui me sont venus à l’esprit en cet instant.

« Oups, on dirait bien que je l’ai tué ! » avais-je dis en riant avec une expression malicieuse.

Discovery and New name

Entrons maintenant dans le vif du sujet voulez-vous ? Après ma « prodigieuse » démonstration mes parents on décidé de m’enfermer de nouveau dans ce cagibi étroit pour « se préserver de toute intervention monstrueuse dont tu pourrais être capable », enfin c’est ce qu’ils m’ont dit. En plus de sa j’e fus privée de ma baïonnette… Je n’ai même pas cherché à résister, au moins comme ça ils auraient une vrai raison de m’oublier et moi de les effacés de ma mémoire. J’y gagnais autant qu’eux. Une chose germa alors dans mon cerveau : il fallait aussi que je change de nom si je voulais les supprimé de ma vie. Car oui je ne vous l’ai peut-être pas dit mais je m’appelais Kielo, un prénom typiquement finlandais. Seulement maintenant je haïssais ce nom qu’ils m’avaient donné, il m’était presque vital d’en changer. Alors je cherchai dans mon esprit tout en fermant les yeux et en me concentrant un prénom qui pourrait m’être bien plus saillant. Dans l’alphabet je piochai alors des lettres au hasard, je pris deux « a », deux « e », un « r », un « n », un « k », un « i » et un « t ». Voila qui devrait faire l’affaire pensais-je, maintenant je devais trouver le bon ordre de ces lettres. Ce n’est qu’après plusieurs affreuses combinaisons que je trouvai enfin ce lui qui allait imagé ma nouvelle identité : Ekaterina. Oui voila c’était parfait, Ekaterina.

Combien de temps je suis resté ici ? A attendre vainement que l’on vienne me chercher ? Je l’ignore. Ce que je sais c’est que finalement lorsque la porte s’est ouverte sur ce monde trop lumineux pour moi désormais c’était trop tard, je ne croyais plus à la venue d’une quelqu’onque aide, même divine. Et pourtant, c’était des gens en blancs qui se tenaient devant moi, tous avec des airs intrigués sur le visage. Je reconnu u la croix qu’il avait tous sur leurs poitrine. La seule différence c’est que la leur était en tissu mais peut importe c’était bien le même dessin que celui des personnes venu chercher mon frère ! Une fois libérer de mes entraves, je n’attendis même pas que l’on daigne me proposer une main pour me relever, je m’accrochai automatiquement à la veste du premier venu, refusant de le lâcher. Si il fallait que je devienne aussi collante qu’une sangsue pour qu’ils m’emmènent et bien je le serais ! Fort heureusement ce ne fut pas le cas. Tout me fut expliqué. Alors moi aussi j’étais une exorciste ? Comme mon frère ? Comme…. Viaton ? Grâce à cette baïonnette je pourrais le revoir ? Soit, emmenez-moi vite ! Loin d’ici je veux déserter cet endroit maudit qui m’as vu naître et ne jamais y remettre les pieds, JAMAIS !

Travel and explain

Pas un regard, je n’ai pas jeté un regard à ma maison ou à mes parents lorsque je suis partie, trop heureuse d’être enfin libérée de cette cage glacée ! Le voyage fut long, très long et les gens qui étaient des scientifiques et qui voyageaient avec moi n’avait de cesse d’essayer de créer le contact mais moi je n’en avais rien à faire de leurs fausse sympathie. La seule chose que je voulais c’était retrouvé on frère, mon jumeau, ma moitié. Et ça personne à par moi ne pourrait le comprendre. Le problème voyez vous c’est qu’a l’époque je n’étais pas encore une exorciste aguerrie, pour tout dire je ne savais presque pas me servir de mon arme. Sur le chemin, nous fûmes attaquer par des Akumas, une horde de monstre, tous de niveau trois en plus. Aucuns scientifique n’est réchappa, je fus la seule survivante et ce n’était pas grâce à mon Innocence. La vérité, ce fut grâce à un homme un peu particulier que je l’appris. Il n’avait pas de cristal divin mais avec une sorte de balise émettrice identique à celle que les hommes de sciences qui m’avaient emmené possédaient, il avait réussi détruire cet essaim. Mais il en ressortait blessé et sa balise fut annihilée. Pourquoi m’avait-il sauvé ? Je l’ignorais encore. Par instinct de meute ou de conservation je n’en sais rien, je l’ai aidé à marcher pour nous abriter dans une grotte proche que j’avais pu voir durant l’affrontement. Au moins ici nous serions en sécurité.

Je me suis occupé de lui comme jamais je ne l’avais fait avec personne, pansant ses plaies et lui faisant des breuvages à bases d’herbes trouvés dans la grotte. Plus tard, lorsqu’il fut en état de parler de nouveau sans avoir de douloureux tremolo dans la voix il m’expliqua qu’il était un Bookman et qu’il cherchait un apprenti. Il m’as vu avec les scientifiques et puisque je possédais une Innocence il à juger que je serais digne de porter son blason. Voici comment il me proposa la chose, je devais renier tout ce que j’étais jusqu'à mes sentiments pour avoir la chance d’accéder au savoir du monde entier, je serais son élève, une Bookman. J’ai tout d’abord hésité à dire oui, l’offre était alléchante, d’autant plus qu’il m’avait plus renseigné sur les scientifiques au sujet de l’Ordre noir ou je devais être amené par les hommes en blancs pour luter dans les rangs des exorcistes (il était autrefois membre de ce fameux ordre mais l’as quitté car ses archives devaient être complétées ailleurs). Ce fut lorsqu’il m’apprit la mort de ma moitié que, détruite, j’acceptais sa proposition. Avant de marcher dans ses pas je voulais savoir comme mon frère avait tutoyé la Faucheuse. Mon maître m’expliqua qu’il était devenu un « rejeté ». Le fameux « cube » soit le cœur de toutes les innocences l’avait finalement renié. Enfin finalement… il y avait juste eu une belle erreur de parcours disons, les scientifiques aurait confondu sa non compatibilité avec la mienne. Donc il ne survécu pas à cette « transformation forcée ». Il fut exécuté comme tout les rejetés. Je ne voulu même pas demander à l’homme comment il avait su ça, je ne voulais pas connaitre la réponse. Je n’en avais pas le courage.
Lorsqu’il fut totalement rétabli, nous partîmes pour commencer mon apprentissage. Eliminer toute traces de sentiments en moi fut moins difficile que je ne l’aurait cru en fin de compte. Je fus rapidement aussi libre qu’un oiseau volant au dessus de l’océan de l’humanité, qu’elle sensation agréable de se sentir si libre ! Mon maître, de son nom Ezio, m’emmena partout autour du monde en évitant soigneusement la Congrégation de l’ombre. Inutile d’y aller maintenant, je verrais ça en dernier. En deux ans, j’eu le temps de parcourir de nombreux déserts aussi bien de glaces que de sables, d’escalader des multitudes de montagnes et de volcans, d’engranger une quantité phénoménale d’information dans ma petite tête. Ce mode de vie me plaisait vraiment beaucoup. Ezio m’enseigna l’art de la médiation et du combat. Aïkido, judo, karaté, Thaï Kwan do, rien ne fut oublié dans mon apprentissage. J’appris dans le même temps à manier de nombreuses armes (mon maître me fit forgé un katana personnel d’ailleurs, ce n’était pas une innocence mais pour combattre les humains si besoin est ce genre d’armes est toujours utiles) et à parler de nombreuses langues, ce ne fut pas si dur que ça. Il ne me le disait jamais mais je savais que mon maitre était fier de moi, ça se voyait dans ses yeux parfois, cette lumière maligne qui me boostait d’avantage lorsque la motivation n’était plus aussi haute qu’avant. J’étais d’autant plus fière moi-même puisqu’apparemment j’étais la toute première fille à devenir Bookman, rang normalement réservé aux hommes. Que mon maitre est vu en moi une personne digne de son enseignement malgré cette consigne me mis du baume au cœur mais je ne le montrais pas, forte des obligations de Bookman qui m’incombait désormais.

Lorsqu’il est mort je ne saurais pas dire tout ce qu’il s’est passé dans ma petite tête. Il fut emporté par le virus de la galle. Il avait mis de la distance entre lui et moi avant de mourir pour ne pas me contaminer également, nous ne dormions plus ensemble (attention je vous vois venir avec vos idées mal placées, ne croyez pas que l’on faisait quoi que ce soit, nous partagions de même espace c’est tout, compris ?) ni ne nous approchions à moins de cinq mètres. Sur son lit de mort il m’a ordonné de rallier la Tour principale de l’Ordre Noir et de m’y enrôler grâce à mon Innocence. D’une part pour apprendre à manier ma baïonnette, ce que mon maitre n’avait pu m’apprendre convenablement et d’autre part pour donner une suite à ses propres archives qu’il avait déjà entamer là-bas. Il me dit aussi que des Bookmen se trouvaient également dans cette Congrégation, ils étaient au nombre de deux. Mon maître me dit de me placer sous la tutelle du plus jeune puisqu’il en savait sans doute plus que moi pour le moment mais aussi que, dés que l’occasion se présenterait je devrais le supplanter sans la moindre hésitation afin d’assoir ma supériorité en tant que première femme Bookman aguerrie. Pas de problèmes, je respecterais ses dernières volontés, aucuns sentiments n’entrerais en compte, je ne les ferais ressurgir pour rien au monde. J’y allais pour mes archives, pour les étoffer au maximum, pas pour prendre part sincèrement à cette guerre futile entre Exorcistes, Noah et Akumas. Je me fiche de tout ça, ils sont tous une partie de mes écrits, leurs sang est mon encre point final.


Ekaterina Kielo Requiem Bookman  24cu0e1

Je suis Ekaterina Kielo Requiem Bookman. Vous vous demandez sans doute pourquoi j’ai choisi « Requiem » comme nom de désignation. Je vais y répondre de suite car il est vrai que ce n’est pas un patronyme très finnois avouons-le. Et bien si j’ai choisi ce mot c’est pour une raison très simple, plus que tout j’adore les requiem. Pour moi ils sont l’assemblement de milliers de sentiments désinvoltes qui courent vers leurs fins à tous. Après tout c’est vrai, chaque requiem précède un commencement et vice-versa. Et bien entendu, je vous laisse deviner où seront gravés ses commencements et ses fins, sur les pages de mes archives évidemment ! Je n’omettrais aucuns détails, vous pouvez au moins me faire confiance là-dessus.
Toute vie à obligatoirement deux facettes. L’une est claire tandis que la seconde est ténébreuse. La plupart du temps les humains ne montrent qu’une seule de ces facettes à leurs entourages, ennemis, proches etc. Moi, je suis la pour consigner les deux côtés de leurs miroirs dans mes enregistrements. Et oui, c’est ça d’être Bookgirl.

Ekaterina Kielo Requiem Bookman  2ewcwtu

Alors ? Qui serait le premier à me laisser entailler sa peau pour y extirper ce dont j’ai besoin ?


Dernière édition par Ekaterina K. Requiem B. le Ven 20 Aoû - 10:21, édité 3 fois
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité
Invité




Ekaterina Kielo Requiem Bookman  Vide
MessageSujet: Re: Ekaterina Kielo Requiem Bookman Ekaterina Kielo Requiem Bookman  EmptyMer 18 Aoû - 20:53

    Bienvenue.
    Jolie présentation =)
    Tout semble parfait mais je te donne quand même une petite fiche de renseignement.



Ekaterina Kielo Requiem Bookman  264q8av
TOUT CE QUI FAUT SAVOIR

Bonjour/Bonsoir et bienvenue sur le forum :
    D.gray man, le Réveil de Pandore

Je me présente, je suis un Membre du Staff. Étant le premier à commenter ta fiche (du moins de la Team ^^), je vais t'offrir un tuto complet de tout ce que tu dois savoir. Il s'agit de liens importants que tu dois "visiter" obligatoirement, merci de prendre le temps d'y lire les contenus :

~~~~
Le Règlement est à lire car un code est caché. Le système de Combat est à lire car cela te permettra de bien compter tes points. Une présentation de la Team est à lire pour connaitre tes chefs. Et enfin le Prologue et le Contexte sont à lire pour que tu puisses correctement écrire ton histoire et que tu sois au courant des intrigues déjà mis en place sur le Forum.



Liens supplémentaires : Tu ne peux pas être validé si ton avatar n'est pas correctement mis, un tuto t'explique la marche à suivre. Comment remplir correctement son Profil ? C'est aussi un petit topic pour t'aider. Si ça suffit pas car tu cherches des couleurs ou des symboles, clique sur les deux derniers liens. Et puis enfin, découvre les innocences, les souvenirs de Noé ou les pouvoirs Akumas déjà pris.



Information importante : Allen et Eliade s'occuperont de la validation de ta Fiche. Les autres membres du Staff seront présents mais dans l'ombre, ils apporterons leur aide qu'en cas d'absence ou simplement pour dire une remarque qu'ils jugeront importantes. Saches que plus tu feras des lignes, sans fautes et des détails : plus facilement tu seras validé.

Une fois que vous aurez terminé votre fiche, merci de l'avertir : à la suite de ce post, par MP ou tout simplement en mettant "Terminée" dans le titre du topic. Une fois validé, il vous faudra passer par la fiche technique et si tu fais tes preuves et qu'un maréchal veut bien de toi, tu pourrais appartenir à une unité. Dans le cas où tu veux une chambre, un golem, une maison, autre chose, n'hésite pas de jeter un œil au dernier lien.


Voilà, finish, tu peux à présent te mettre entièrement à ton boulot. Bon courage et n'oublie pas que la team est là pour t'aider, on ne mord pas. ^^
Amicalement, Meian.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité
Invité




Ekaterina Kielo Requiem Bookman  Vide
MessageSujet: Re: Ekaterina Kielo Requiem Bookman Ekaterina Kielo Requiem Bookman  EmptyMer 18 Aoû - 22:56

Merci beaucoup Meian!
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité
Invité




Ekaterina Kielo Requiem Bookman  Vide
MessageSujet: Re: Ekaterina Kielo Requiem Bookman Ekaterina Kielo Requiem Bookman  EmptySam 21 Aoû - 20:53

Désolée du double post mais j'ai finis de peaufiner ma fiche, elle est terminée.
Revenir en haut Aller en bas
Mariko Scarlet

Mariko Scarlet
:: Le Démon au Regard Impitoyable ::

Tu crée des souffrances vu que tu es un démon. Tes souffrances ont beau être belles ta cruauté sera de même. Même si à jamais tes regrets ne seront jamais oublier...

Ekaterina Kielo Requiem Bookman  2m2wgue

Points: 54
▐ Ton Age : 28 ▐ Rp : 02
Féminin « Messages » : 576
« Situation » : Yes Rp


Who Are You ?
Level Rise_: Rang C
Souvenir/Pouvoirs/Innocence_:


Ekaterina Kielo Requiem Bookman  Vide
MessageSujet: Re: Ekaterina Kielo Requiem Bookman Ekaterina Kielo Requiem Bookman  EmptyDim 22 Aoû - 21:05

Bienvenue, j'adore la présentation.
Revenir en haut Aller en bas
Road Kamelot

Road Kamelot
L'Incarnation du Rêve ♥

L'Incarnation du Rêve ♥
« Faites que vos rêves dévorent votre vie afin que la vie ne dévore pas vos rêves. »
Ekaterina Kielo Requiem Bookman  Ok0fg6

▐ Ton Age : 33 ▐ Rp : 3?
Féminin « Messages » : 405
« Two Perso » : Violette
« Situation » : Yes Rp


Who Are You ?
Level Rise_: Rang B
Souvenir/Pouvoirs/Innocence_:


Ekaterina Kielo Requiem Bookman  Vide
MessageSujet: Re: Ekaterina Kielo Requiem Bookman Ekaterina Kielo Requiem Bookman  EmptyLun 23 Aoû - 4:06

    Bienvenue sur le forum jeune fille! ♥



Ekaterina Kielo Requiem Bookman  1znos5v
Vérification de la Fiche de Personnage.

_Titre du Topic : Ok ♥
_ Couleur du Titre : Ok ♥
_ Image : Ok ♥
_ Référence du Personnage : Ok ♥ (Elle est déjà dans le répertoire il me semble.)
_ Copyright : Ok ♥
_ Nom et Prénom : Ok ♥
_ Âge : Ok ♥
_ Famille : Ok ♥
_ Histoire : Ok ♥ Très bien!
_ Physique : Ok ♥
_ Caractère : Ok ♥
_ Particularité : Ok ♥ ;)
_ Nom de L'innocence : Ok ♥
_ Type de L'innocence : Ok ♥
_ Description de l'innocence : Ok ♥
_ Le Nombre de Ligne : Ok ♥ Parfait!
_ Avatar : Ok ♥
_ Orthographe, Conjugaison : Ok ♥
_ Niveau du Personnage : Ok ♥
_ Remarque: Rien à dire, c'est parfait! Très jolie présentation! Je suis fan! ♥
Amicalement, Road Kamelot.



    Pas d'hésitation! Tu es validée ♥


Ekaterina Kielo Requiem Bookman  2yl77ug
Revenir en haut Aller en bas
https://dgray-man.superforum.fr

Contenu sponsorisé




Ekaterina Kielo Requiem Bookman  Vide
MessageSujet: Re: Ekaterina Kielo Requiem Bookman Ekaterina Kielo Requiem Bookman  Empty

Revenir en haut Aller en bas

Ekaterina Kielo Requiem Bookman

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
D.Gray'man - Le Réveil de Pandore :: Who are you? ::  IT.'S ● ME ::  M.Y ● C.H.A.R.A.C.T.E.R :: F.I.C.H.E.S ● V.A.L.I.D.E.E.S-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit