D.Gray'man - Le Réveil de Pandore
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Maria Tulla - l'Âme Influençable

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Maria Tulla

Maria Tulla
L'Âme Influençable †

▐ Ton Age : 31 Féminin « Messages » : 433


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Maria Tulla - l'Âme Influençable Vide
MessageSujet: Maria Tulla - l'Âme Influençable Maria Tulla - l'Âme Influençable EmptyJeu 22 Oct - 4:46

Maria Tulla
l'âme influençable



Maria Tulla - l'Âme Influençable 2j3gv2x



Fiche d'identité:

date de naissance:17 février, 22 ans

Origine:Suisse

Taille:1m72

Poids:62 kg

Groupe sanguin:O

Race:Exorciste


My Story:


Caractère: Patiente et compréhensive

Orientation Sexuelle: Hétérosexuelle

Rang: F

Histoire:

Deux pieds se balançaient avec acharnement sans pour autant réussir à faire bouger leur propriétaire d'un centimètre.

C'est au milieu du mois de novembre dans la campagne suisse que se déroule cette histoire. A une époque où, pour Maria, tout semblait encore simple et beau. Au temps de l'innocence.
Son rire clair et tendre résonnant encore dans la blancheur de l'hiver.
Des souvenirs qu'elle conserve précieusement dans son cœur, datant d'un autre temps, voilés d'un brouillard de nostalgie et de douleur.
Elle revoyait parfois ces jours lointains, lorsque la pluie s'enfonçait dans les neiges de novembre.
Elle gardait toujours le visage de cette petite fille, s'agitant sur sa balançoire, une adorable moue boudeuse collée au visage. Toutes ces fois où, vaincue par son irrésistible visage angélique, elle se résignait à venir la pousser, certainement par peur aussi de voir son si chaleureux et candide sourire disparaître.
Oui ,aujourd'hui elle chérissait chacun des instants passés à graver un peu plus dans son cœur la tendresse et l'amour de ces moments.
Mais la douleur et le remord non plus, ne manquaient jamais de revenir serrer son cœur.


Une larme tomba dans la neige.


16 décembre.


Le monde tournait alors comme il avait toujours tourné et tournerait toujours.
Pourtant, l'espace d'un instant, le temps d'une larme, d'un battement de cœur, cette vie si cruelle qui passe sans se soucier de nous avait semblé, elle aussi, retenir son propre souffle, avant d'emporter le dernier d'un petit ange. De son petit ange. Et d'emporter ses larmes, englouties par le froid.


« Maman? Elle reviendra? »


« Non ma chérie. Claire est partie. »


Ta sœur est partie.



18 décembre

Deux pieds se balançaient lentement, emportant leur propriétaire un peu plus vers le ciel à chaque mouvement.
Elle revenait souvent sur cette balançoire. Seule. Et chaque fois, ce vide en elle semblait grandir un peu plus. Parce que sa petite Claire n'était plus là pour lui sourire. Parce qu'elle n'avait plus personne à étreindre. Parce que la solitude lui donnait froid.
Son soleil avait disparu. L'hiver le lui avait pris, égoïste, il l'avait fais fondre, jaloux à l'idée qu'elle puisse voir l'été sans lui. Il devait beaucoup aimer Claire lui aussi.
Maria ne pouvait pas lui en vouloir. Parce qu'elle aussi, si elle l'avait pu, elle aurait voulut garder Claire avec elle pour toujours.
Mais Maria n'avait pas le droit d'être triste. Car si elle aussi sombrait dans le désespoir, elle savait, que ses parents, eux, finiraient par s'effondrer.
Les enfants ne comprennent pas. C'est vrai. Ils sentent les choses. Et Maria sentait qu'elle devaient être forte, si elle souhaitait un jour faire revenir un rayon de soleil sur sa vie. Si elle ne voulait pas tout perdre à nouveau.


16 décembre

Deux pieds avachis, côtoyant des chaussettes aussi douteuses que délaissées. L'homme assis sur le vieux canapé rongé faisait pitié à voir. Il semblait si désabusé, décharné par le temps qu'on aurait pu le croire mort. Ses yeux dénués de toute chaleur semblaient être ceux d'un cadavre ambulant et toute trace de couleurs semblait avoir déserté son corps.
Cet homme n'avait pas souri depuis un ans.
Depuis un an qu'il avait vu sa précieuse enfant quitter ce monde. Un ans déjà qu'il se murait dans sa solitude, refusant de voir qu'il était la cause de la dégradation croissante de la santé de sa femme, forcée de travailler seule pour faire vivre leur famille, et de celui de sa fille.
Non, il n'avait pas la force de voir, pas même la force de regarder à quel point la petite se négligeait pour tenter de le réconforter, pas la force de voir à quel point il la brisait en l'ignorant si cruellement dans chacune de ses tentatives. Il était tellement plus simple de se noyer dans les remords passés pour fuir la réalité. Il ne voyait que son passé.
Sa souffrance. Ses regrets. Oh oui, il regrettait tant.
Il aurait tellement souhaité la revoir.
Juste une fois.
Il aurait fait n'importe quoi...
Pour la ramener...


« papa? »

Elle était là. Devant la porte, à le regarder encore et toujours avec cette insupportable chaleur, si semblable à sa sœur, si généreuse, l'incarnation de son péché. De son égoïsme, de sa lâcheté. Elle si forte du haut de ses neuf ans semblait n'être là que pour lui rappeler à quel point il ne méritait pas sa vie, à quel point il était mauvais.


« Papa? Toi aussi tu as froid? »

C'était si douloureux. Pourquoi? Pourquoi ne pouvait-elle pas juste rester une pure ignorante sans importance? Pourquoi fallait-il qu'elle sache, tout ce qu'il ressentait si bien? Il avait tellement honte.


« Oui »


« Papa?...Je t'aime tu sais? Alors n'aie pas peur! »


une larme coula sur la joue de l'homme.
Il était trop tard pour lui. Il n'avait plus la force. Il avait trop peur. Mais il ne laisserait pas Maria commettre les mêmes erreurs que lui. Il était bien décidé à lui faire comprendre, par tous les moyens.
Il se leva brusquement.


La gifle partit.



Puis les cris résonnèrent. Violents.


« Pour qui tu te prends hein? Tu crois qu'une gamine comme toi peut me dire ce que j'ai à faire? J'en ai assez! Je n'ai pas besoin de toi!
Qu'est ce que tu veux à la fin! »

La porte s'ouvrit à la volée alors qu'il s'apprêtait à la frapper de nouveau, sa femme s'interposa et ils se mirent à crier.
Mais Maria ne les entendait plus. Elle restait là, ébranlée. Sa joue lui faisait mal mais la douleur ne la préoccupait pas. Les mots de son père refusaient de s'effacer. Ils tourbillonnait dans sa tête résonnant encore et encore.

« je n'ai pas besoin de toi! »
« pour qui tu te prends»
...


« Qu'est ce que tu veux? »



Qu'est ce qu'elle voulait?
Devait-elle forcement vouloir quelque chose? Les autres n'étaient-ils pas plus importants qu'elle? Qu'est ce qu'elle aurait pu vouloir?
Elle ne savait pas. Depuis un an, elle n'avait pensé qu'à aider ses parents. Était-ce parce qu' au fond, elle n'avait plus rien d'autre? Parce qu'elle ne voulait plus rien? Étais-ce parce qu'elle ne voulait rien qu'il ne voulais plus d'elle? Était-ce mal? Mais était-elle encore vraiment quelqu'un?
Marie avait mal. Elle avait peur. Ses larmes avaient coulé d'elle même le long de ses joues, juste avant qu'elle ne sente les bras de sa mère se refermer sur elle et qu'elle sombre dans le sommeil.


31 Décembre


Maria courait de toute ses forces. Ce garçon qui lui avait dit avoir vu son père se dirigeant vers la sortie du village s'était peut-être moqué d'elle mais elle refusait de laisser passer la moindre petite chance. Non, elle n'était pas Claire. Et peut-être que son père la détestait. Mais avant qu'il parte, juste une fois, elle voulait lui donner sa réponse.
Tout à coup elle l'aperçut sur le porche du cimetière. Elle s'arrêta essoufflée et tremblante. Cette rencontre l'effrayait un peu. Elle avait peur de le voir se retourner pour lui dire encore une fois qu'il ne voulait pas d'elle. Elle ravala ses larmes et son angoisse et elle s'approcha de lui.
Il lui tournait le dos mais elle s'en contenterait. Il fallait juste qu'au moins,il sache.
Ce à quoi elle avait tant réfléchi, ce qu'elle avait finalement trouvé. Ce qu'elle voulait vraiment.

« papa?... Tu sais j'ai vraiment cherché. Tu m'as demandé ce que je voulais non? »


Il ne se retourna pas mais il semblait l'écouter. Elle s'avança.

« Laisse moi au moins répondre avant de m'abandonner! Je veux juste que tu sache. Même si c'est bizarre... »


Elle déglutit, elle voulais qu'il reste. Elle s'approcha encore, les larmes silencieuses perlant à ses yeux. Elle cria alors avec toute sa volonté de le voir rester et tout l'amour qu'elle lui portait.

« tout ce que je veux moi,... »


Il se retourna...



Et un immense canon se pointa sur le front de la petite fille, prêt à faire feu...
Maria laissa ses larmes s'enfoncer silencieusement dans la neige. Comme il y a un an. Parce qu'à cet instant, Maria sut qu'elle avait perdu son père. Et que jamais il n'entendrait sa réponse.
Tout se passa alors si vite qu'elle ne réalisa ce qui s'était passé que lorsqu'elle se retrouva seule dans la neige, entourée par le sang noir du monstre qu'était devenu son père, et qui avait disparu sous ses yeux.
Qu'elle avait détruit.
Il ne lui restait plus qu'une cuisante douleur à l'épaule, là se trouvait sa marque de naissance...

Cette nuit, sous le manteau de la nuit sans lune, un cri de désespoir fendit avec force le rideau de silence de l'hiver.


22 Mai


Maria contempla les inscriptions de la pierre avec mélancolie.
Cela faisait 7 ans maintenant qu'elle était partie. Bien qu'elles aient su toutes deux que ce jour arriverait inéluctablement, la douleur de Maria avait été bien plus forte qu'elle ne l'avait imaginé. Après tout ce temps, tout ce qu'elle avait fait pour elle, la voir partir avait été tellement difficile. Tellement que même le Comte était passé tenter sa chance auprès d'elle.
Mais Maria ne pouvait pas imaginer faire souffrir ainsi sa mère bien que la proposition ait été dure à refuser. Maria avait trop de respect pour sa mère pour rendre sa mort aussi vaine. Elle lui avait fait une promesse :Elle ferai tout pour profiter de sa vie à fond. Pour en faire ce qu'elle voulait en faire.
Elle jeta un dernier regard sur la tombe de marbre blanc que le village l'avait aidée à financer.
A présent, il lui faudrait continuer sa vie comme elle pouvait et poursuivre ses objectifs.
A l'entrée du cimetière, Matt l'avait attendue. Même dans ce genre de situations, il arrivait encore à la faire sourire!
Maria connaissait Matt depuis 7 ans maintenant et dés leur première rencontre ils s'étaient tout de suite bien entendus. Il était orphelin et travaillait dans un bar à l'entrée du village où sa mère et elle avaient emménagé après la mort de son père. Elle observa la ville qui s'étendait à ses pieds, se remémorant tous ces lieux qu'elle avait traversés, tous ces gens qu'elle avait rencontrés. Qu'elle avait pu aider.
Car oui. Maria avait réfléchi et elle avait trouvé. Ce pourquoi elle voulait vivre. Ce pourquoi elle voulait se battre. Ce qu'elle voulait.
Elle voulait aider les autres. Elle avait finalement réalisé qu'elle n'aidait pas les autres seulement pour eux mais aussi pour elle. Parce qu'ils faisaient partie de sa vie. Et qu'elle avait choisi d'entremêler sa vie aux leurs. Elle leur avait appris ce qu'elle savait, les erreurs qu'ils pouvaient éviter. Car même si l'innocence incrustée dans son épaule lui montrait une destinée de destruction, elle voulait trouver un autre moyen d'arrêter ces meurtres inutiles et cette souffrance. Elle savaient bien que les akumas ne pouvaient être sauvés. Mais elle ne pouvait se résoudre à les détruire, eux. Nés du péché humain. Des êtres vivants. Alors elle avait choisi comme voie de faire son possible pour prévenir leur création. Expliquer aux gens ce qu'ils étaient pour les empêcher de commettre une erreur. Mais elle ne pouvait évidemment qu'en arrêter une petite partie. Pourtant elle se refusait obstinément à les tuer.
Après la mort de sa mère, Matt l'avais aidé edans ses objectifs et ,depuis toutes ces années, ils étaient comme deux doigts d'une main ,prêts à tout pour se soutenir et affrontant ensemble les épreuves de la vie. Il la comprenait mieux que personne et voulait lui aussi sauver le plus de gens possible. Elle ne pouvait lui exprimer sa reconnaissance. Il lui avait apporté le soutien dont elle avait eu besoin et rendait chaque jour de sa vie amusant. Ils faisaient des petits boulots par-ci par-là.
En ce moment, Maria enseignait le piano aux enfants. Elle aimait beaucoup le travail avec les enfants qui l'adoraient d'ailleurs aussi! Matt disait souvent que son âme s'inscrivait dans sa musique et que c'était si beau qu'il pourrait passer des jours à l'écouter.
Maria aussi aimait jouer. Cela l'apaisait et elle évacuait ses émotions par ce biais. Elle alla le rejoindre en souriant.
Sa mère pouvait être heureuse après tout.
Elle avait tenu sa promesse.


23 Octobre

Tout n'était plus que panique, destruction et sang. Les akumas bombardaient sans pitié le pauvre village en pleine panique. Les cris fusaient en tous sens, tous se piétinaient, tentaient vainement de fuir cet enfer chaotique.
Maria était là, désespérée. Seule. Elle était la seule à pouvoir le faire mais elle ne pouvait pas. Tous ces gens mouraient sous ses yeux et elle était incapable de réagir.
Des pleurs d'une enfant résonnèrent et Maria ferma les yeux.
Elle n'avait plus le choix.

Tout était à feu et à cendre, tous les survivants étaient à la recherche de leurs proches et les appels sans réponse accentuaient toujours plus sa culpabilité. Mais dans l'immédiat, elle n'y prêtait plus attention.
Elle courait, elle courait juste de toute ses forces et elle appelait, elle aussi. A présent, seul Matt comptait. Parce qu'elle ne voulait pas le perdre, parce qu'elle ne pouvait pas le perdre. Elle ouvrit la porte pour trouver leur appartement vide. Des larmes de rage et de panique lui montèrent aux yeux avant qu'elle aperçoive sur la table ronde une lettre, dont elle reconnu immédiatement l'écriture.


Petite Maria

Je suis convaincu que tu dois être en larmes. Sèche les s'il te plaît. Te voir pleurer et l'une des pires choses que je puisse imaginer.
Tu t'est montrée courageuse n'est-ce pas? Non, ne sois pas triste. Peut importe ce que tu en pense, tu n'est pas responsable de ce qui est arrivé. Et même si tu as du détruire des Akumas, tu dois prendre conscience que c'est la meilleure chose pour eux. Les morts ne reviennent pas à la vie et tu as le pouvoir de les libérer. C'est un don qui fait partie de toi, tu as le pouvoir de changer les choses. Je sais bien que c'est difficile pour toi d'accepter cela.
Tu es quelqu'un de si généreux, et ce monde est si égoïste. J'ai toujours pensé qu'il ne méritait pas de porter quelqu'un comme toi. J'espérais être capable de t'en préserver mais au final ce n'était probablement qu'une idylle. Même si ces années passées à tes côtés ont été les plus belles de ma vie, tout aujourd'hui me prouve que j'avais raison et que ton destin n'est pas aux côtés d'une personne comme moi qui n'a pas les capacités pour combattre le mal qui ronge notre univers. Tu es une élue et je pense bien que ce n'est pas à moi de te dire quoi faire mais je pense que ta véritable place est aux côtés d'autres exorcistes. Tu sais au fond comme moi que' ici bas, les mots sont insuffisants pour combattre les ténèbres et que même si tu y répugnes, l'affrontement est parfois inévitable.
Je sais que si tu poursuis ta lutte tu sauras faire les bons choix, je sais que tu pourras juger d'une bonne manière la façon de régler les situations auxquelles tu seras confrontée.
Car tu es une personne forte et compréhensive.
Petite Maria, je pense savoir ce que tu cherches dans cette lettre et malheureusement je suis bien incapable de te donner la réponse que tu attends. J'ignore ce que je vais devenir si je survis à cette attaque. Je sais juste que je ne peux pas rester à tes côtés.
Tu peux ne pas me croire mais j'en viens presque à souhaiter mourir. Pardonne moi mais l'idée de vivre sans toi m'est intolérable. Pourtant c'est la meilleure chose à faire.
Je te promets que quoi qu'il arrive, je continuerai à mon niveau à œuvrer pour la paix.
Il faut aussi que tu saches ,ma Maria, que je ne passerai pas un jour sans penser à toi, et que dans mon cœur reste gravé chaque instant, chaque note de notre histoire. Je garderai toujours l'espoir de te revoir toi ma sœur, mon amour, mon amie. Ma Marie.

Je t'aime.


Matthew Earl




Une larme s'écrasa sur la lettre, et Maria serra le poing.
Elle était déterminée à présent, et prête à entrer à la congrégation.


Innocence:

Son innocence, un peu particulière, lui permet de percevoir celle des autres et se renforce avec la force des sentiments des personnes qui l'entourent.
(Tout comme sa compatible, son innocence est sensible aux sentiments des autres à mesure égale de la sensibilité de cette dernière. )
Maria étant une personne extrêmement compréhensive , ressentant les émotions des autres avec justesse et étant fortement influencée par ces émotions, ce qu'elle ressent des autres se répercute dans le pouvoir de son innocence. Son innocence n'évolue donc pas uniquement avec sa compatible à mais aussi avec les personnes qui l'entourent et dont elle est mentalement proche.
L'innocence de Maria est tout ce qu'il y a de plus symbiotique, Elle consiste en un tatouage incrusté sur son épaule droite. Il représente deux Edelweiss entrelacées, symboles de pureté et de renaissance mais surtout du lien entre son âme et celle des autres.
Activée, cette marque se propage dans son corps et allonge ses cheveux, rend sa peau blanche et ses yeux noirs . Sa principale technique d'attaque et de défense se trouve dans ses cheveux qui lui tiennent lieu de « lasso » comme de « flèches » ou de bouclier et qui se modifient au gré de sa volonté selon les situations.
Ses yeux lui offrent une perception de ce qui l'entoure différente de celle des humains normaux. Elle est capable de voir des choses invisibles pour un œil normal ( mouvement très rapide, son cerveau peut gérer plusieurs choses en même temps, son champ de vision s'étend...): elle se synchronise avec son environnement et ses capacités physiques se développent en conséquence. Elle peut par exemple devenir plus légère, augmenter sa souplesse et sa rapidité de mouvement, la résistance de sa peau ou encore son acuité visuelle ou bien diminuer voire supprimer ses besoins en oxygène, grâce à l'innocence qui circule dans son corps. ( et qui donne à sa peau cette couleur blanche lors de son activation).
Les possibilités que lui offre cette innocence sont nombreuses mais elle n'en n'a pour l'instant qu'une maîtrise approximative et, étant pour le moment assez peu synchronisée, elle ne peut l'utiliser que à court terme à un niveau élevé ,sous peine de trop s'épuiser physiquement et mentalement.


Physique:

Maria est une jeune femme avec une silhouette gracieuse, plutôt grande et élancée, avec de longues jambes sans que cela soit trop flagrant. Pas trop maigre ni trop grosse. Elle a un teint plutôt pâle mais pas maladif et des cheveux châtains clairs souples qui lui tombent jusqu'aux coudes et qu'elle laisse presque toujours détachés. Un visage aux traits très doux et de beaux yeux noisette qui attirent le regard par leur magnifique couleur et l'intensité chaleureuse de son regard.
Elle reste souvent isolée, n'as pas vraiment conscience de sa beauté et ne fait pas attention plus que nécessaire à son apparence. Elle tient à conserver son apparence naturelle ce qui lui confère un charme particulier.
Elle a de long doigts fins et qui jouent également leur part dans son talent pour le piano.
Maria se contente en général de vêtements assez discrets et n'aime pas du tout porter l'uniforme de la congrégation qu'elle ne met qu'en cas de nécessitée absolue et préfère les couleurs pastels qui s'associent mieux à son caractère calme et réfléchi.
Autrement elle peut porter toutes sortes de vêtements, la plupart du temps assez simples mais presque tous lui vont.


Caractère:

Maria est une jeune femme mature qui est extrêmement réceptive envers les autres et joue souvent le rôle de confidente. Elle est toujours très sensible à l'histoire et aux sentiments de ceux qui l'entoure et s'implique toujours entièrement dans ses relations avec les autres. Elle sait faire preuve d'une patiente à toute épreuves et perd assez rarement son sang froid. Elle est très intelligente, ayant un très bon sens logique et de l'orientation, elle prend la plupart du temps le rôle de guide lors des missions en équipe. Elle prend du plaisir à parler avec les gens et se montre souvent trop généreuse et humble.
Maria est une personne influençable et préfère résoudre les situations critiques par les mots plutôt que part le combat dans la mesure du possible car pour elle, comprendre la mentalité de ses ennemis est important, elle ne considère jamais personne comme tout blanc ou tout noir et garde un esprit très ouvert, ce qui peut malheureusement lui causer beaucoup d'ennuis. Cela peut sembler stupide mais ce caractère influençable et plus du à sa grande sensibilité qu'à de la naïveté pure.
Dans la vie quotidienne, c'est une jeune femme agréable qui prend plaisir à se lier aux autres sans pour autant se montrer extravertie. Elle porte une forte affection pour la nourriture Française et pour le chocolat, séquelle de ses origines suisse, qu'elle consomme d'ailleurs en quantité abusive, cette gourmandise étant évidemment due à son innocence, bien qu'elle consomme tout de même moins que les autres symbiotiques. Elle aime passer son temps libre, lorsqu'elle n'a personne avec qui discuter à rester tranquillement assise et à réfléchir, ou bien à jouer du piano, art dans lequel elle possède un donindéniable.


Famille:

Maria avait une petite sœur Claire, de trois ans plus jeune qu'elle, décédée d'une maladie l'hiver de ses 6 ans. Son père, s'est alors plongé dans la culpabilité et a demandé au comte de la ramener. C'est Maria qui, a 9 ans, a du tuer l'akuma qu'étais devenu son père et a éveiller ainsi son innocence pour la première fois. (auparavant, elle ignorait l'origine de son tatouage).
Elle a ensuite vécu avec sa mère jusqu'à sa mort 4 ans plus tard. Elle n'avait pas de contact avec les autres membres de sa famille. Puis elle a vécu 6 ans avec Matthew qui est la personne la plus chère a ses yeux mais qui l'a quitté après l'attaque de son village par les akumas pour lui permettre de devenir exorciste.



Behind the screen:


Prénom: Camille
Âge: 16 ans
Sexe: Féminin
Remarque sur le forum: C'est mon préféré! vive les membres déjantées!!!
Vanille ou chocolat ?: Chocolat.


Dernière édition par Maria Tulla le Mer 2 Juin - 16:05, édité 2 fois
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MessageSujet: Validée Maria Tulla - l'Âme Influençable EmptyJeu 22 Oct - 5:38

    Whaou! Jolie présentation vraiment! Chapeau! Bien sur tu es validée chère exorciste! ♥️


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