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¤ Que venais-je donc bien faire ici ? Comment suis-je arrivé ici ? Notre ancienne demeure est toujours intacte. Rien n’a changé, du moins, pas énormément. Je marchais dans l’une de ses petites rues entourées de maisons aussi blanches les unes que les autres, où seuls ses volets bleus et ces magnifique fleurs, donnaient de la couleur. Ma main était posés sur l’un des murs et tout en marchant, je la faisais glissée d’un mur à l’autre, centimètre par centimètre... Bien que j’ai une préférence pour la nouvelle Arche, ses murs sont imprégnés de tellement de souvenir. Oui, tellement. Deux longues années ; cela ne pourrait paraître réellement long mais si ça l’est. Tellement de choses se sont passés ici, que je ne pourrais les citées toute. Enfin bref, je ne vais pas remuer cela.

Continuant d’avancer dans les rues, je me demandais si j’allais croiser un membre de la congrégation. Ce serai amusant dans un sens. Pendant deux ans, je n’ai fais qu’observer les exorcistes. Aucun membres de la congrégation et aucunes branches, ne connaît mon existence. Ce serai quand même dommage d’un autre côté de se faire découvrir maintenant. Je continuais encore et encore d’avancer sanas vraiment réfléchir quel chemin, je prenais. Je savais seulement où je voulais aller. Au bout d’un moment, je finis par laisser ma main, retomber contre mon corps. Je sentais une drôle de sensation sur mes doigts mais ce n’était pas grand chose et je m’en doutais. Dans mon autre main, comme toujours, je tenais un livre. Je n’avais pas choisis n’importe quel livre, mais un livre remplit de toute sortes de notes de musiques. Je n’en n’aurais pas besoin, mais ça me donne juste des idées pour ce que je veux faire dans le livre que je suis en train d’écrire. Mais cela sera pour plus tard. Continuant d’avancer, j’avais quand même finis par arriver là où je souhaitais aller ... Enfin presque. Arriver devant une grande fontaine, j’en fis le tour doucement, regardant celle-ci une dernière fois avant de m'engouffrer dans une pièce que j’adore tant. Cette pièce est simple mais je l’aime pour une chose ; le piano-à-queue qui se trouve près de la fenêtre. Cette fenêtre au bout donne étrangement sur une sorte de tout petit jardin remplit de fleurs...

Je m’approchais du piano et une fois en fasse de lui n’entendis point pour m’assoir et commencer à jouer. Je passais beaucoup de temps à jouer du piano dans cette salle. J’aime beaucoup. Je ferme les yeux et je laisse glisser mes doigts sur le piano. La mélodie que je joue est triste dans un sens, mais elle me permet d’oublier beaucoup de chose. Je ne pense plus à rien ; seulement à la mélodie. Combien de fois l’ai-je joué dans cette pièce ? Je n’en sais rien. Je n’ai jamais compté mais je sais très bien que je l’ai joué un nombre incalculable de fois... Laissant encore et toujours pendant un long moment, mes doigts glissés sur les touches blanches et noires. Je ne me lassais vraiment pas de jouer cette mélodie. Si je me souviens bien, cette symphonie si triste s’appelle « Regret ». Elle porte très bien son nom je trouve même si dans mon cas, je ... Je ne sais pas vraiment si je ressens du regret mais pour l’instant non. Je n’ai aucun regret de ma vie passé. Pourquoi devrais-je en avoir ? Je n’ai jamais rien fais de mal. J’ai juste mis fin à ma souffrance. De plus on m’avait tout pris, alors pourquoi rester ? Cela n’en valait pas la peine. Même si d’un autre côté, je suis curieux de savoir ce qu’il se passe aujourd’hui. Ils ont du tous bien changé depuis la mort de mon père et « ma disparition ». Mais ce n’est pas grave. Malgré nos quelque accroche-ment, j’ai une vrai famille, alors pourquoi devrais-je pensé au passé me direz-vous sûrement. Pour la simple raison que mon passé ma construit. Si je ne l’avais pas, jamais je ne pourrais rester là devant ce piano. Mais c’est tout ce que cela m’apporte... Enfin ; bref assez parler de cela.

Depuis combien de temps suis-je ici ? Je n’ai pas arrêté de jouer cette mélodie. Même si cela est très risqué de jouer ici, puisque je ne sais pas si je pourrais tomber sur un exorciste. Je suis assez bon manipulateur mais je ne me sens pas trop le cœur pour aujourd’hui. Tout dépend aussi de la personne que je pourrais croisé. De toute manière si je ne rencontre personne d’ici peut de temps, je retournerai dans la nouvelle Arche. Il y a un piano aussi là-bas certes, ce n’est pas le seul mais je voulais revenir ici encore une fois même si me connaissant ce n’est pas la dernière fois...

Puis je finis par entre le bruit de la porte. Quelqu’un était entré. Enfin c’était ce que je supposais. Mais je n’avais pas arrêter de jouer, pas en plein cours de cette mélodie. Je veux la terminer avant de voir qui est arrivé dans cette salle. Je garde les yeux toujours fermé, continuant cette mélodie mais avec plus de vigueur car je sens que dans pas longtemps, je vais devoir arrêter même si on me demande de continuer. Quel dommage ! ... Une fois la mélodie finit, je rouvre mes yeux et regarde un instant les touches avant de me retourner pour voir qui était-ce...

Naomi continuait de se faire harceler par les membres du Central qui croyait encore et toujours qu'elle était encore de mèche avec les Noah... En tant que fille adoptive du comte, il faudrait être taré pour ne pas douter d'elle mais elle avait donné, il y a déjà quatre ans, sa vie à la congrégation...
Voulant un peu de tranquilité, elle était partie dans l'arche qu'ils avaient réussi à prendre aux Noah et avait même dit que si un membre de la congrégation, malgrés toute l'affection qu'elle pouvait leur portait, elle n'hésiterait pas à en faire du hachis parmentier!

C'était clair que les accusations que Central lui portait, lui portait VRAIMENT sur les nerfs! Et Luberrier... Autant ne pas y penser! Une parole de travers, et elle serait bien capable de balancer un des membres de l'administration par la fenêtre! Au sens propre comme au sens figuré du terme!
L'ancienne fille du comte et princesse humaine des Noah était installée sur une marche d'un des escaliers de la ville blanche et lisait tranquillement un livre.

Tout d'un coup, elle entendit le bruit du piano... Allen serait allé, encore une fois, dans la salle? Curieuse, elle ferma son livre et le coinca sous son bras. Elle se dirigea vers la salle et entreprit de frapper à la porte mais elle se retint venant de se rendre compte que la mélodie était différente que celle d'habitude.
Elle entrouvrit la porte et vit, de dos, un homme aux cheveux noirs...

* Qui est ce? *Pensa t'elle...

Elle eu un mouvement de recul quand elle sentit l'aura familière qu'elle sentait venir du jeune homme.

* Non, c'est pas possible! Un Noah?!* Elle plaqua sa main devant sa bouche prise d'un malaise... Lui, elle ne l'avait jamais vue... Certainement un nouveau...
Elle plaqua sa main sur le poignard attaché en permanence sur sa cuisse, se préparant à attaquer, et entra...
Apparemment, il l'avait entendue entrer mais n'y preta pas plus attention que ça, concentré sur la mélodie qu'il jouait... Fallait se l'accorder, il joue très bien!

Le temps passa lentement à ses yeux... Pourquoi hésitait elle? Un Noah, un de ceux qui avaient abusés sa confiance pendant des années... 15 ans... Etait devant elle! Il n'y avait pas lieu à hésiter! Il fallait l'anéantir avant qu'il ne fasse des victimes qui engendront des Akumas!!
Oui, mais... Si les Noah n'avaient pas été la, elle serait morte avant d'avoir pu souffler sa première bougie... Toute haine qu'elle leur portait, elle ne pourrait s'empecher d'avoir de la reconnaissance envers eux...
Elle se rendit compte que le jeune homme s'était retourné... Elle prit un regard noir et s'apprêta à invoquer son innocence...

"Qu'est ce que tu fabriques ici, Noah!?"

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¤ Je me retournais une fois ma mélodie achevée et regardais qui était la personne qui venait d’entrer. Je vis alors une jeune femme, au cheveux court et blond avec de grands yeux bleu qui sur l’instant me rappelait Maryweather ma véritable petite-sœur. A première vu elle m’avait l’air, sûrement, un peu plus âgée que moi mais sûrement de seulement quelques années. Je ne l’avais jamais vu cela j’en était sûr mais je pouvais dire qu’à première vu il s’agissait d’une exorciste. Je remarquais directement que sa main était posé sur ce qui semblait être une sorte de poignard. Mais d’un côté, elle me semblait hésitante à réellement venir à ma rencontre. Je fus étonné quand même que malgré le faite que nous nous soyons jamais rencontrés, elle devinait que j’étais un Noah. Justement voici la phrase qu’elle avait prononcé :

"Qu'est ce que tu fabriques ici, Noah ! ?"

Je me levais alors sans trop vraiment m’approcher, je vins quand même vers elle. Je n’avais en aucun cas peur qu’elle m’attaque comme elle avait dans un sens envie de la faire. Je tenais à présent mon livre dans ma main et je ne le lâchais pas. Un petit sourire amusé s’affichait sur on visage et je lui dis sur un ton tout aussi amusé sans être moqueur :

_ Une lady devrait avoir un langage plus soigné. Surtout lorsque celle-ci à la privilège de pouvoir être jolie.

Et oui je ne peux pas m’en empêché. Grandir dans une famille de Comte anglais à ses défauts et ses avantages. Et j’ai passer assez d’heure être le plus parfait possible dans toute les matière que j’étudiais malgré certaine choses. Avec un air tout aussi amusé je continuais alors :

_ Tu veux savoir ce que je fais ici ? Mais la réponse est simple, je viens seulement me rappeler quelque souvenir et venir jouer comme je le faisais avant dans cette pièce que j’aime tant... Mais pourrais-je avoir le plaisir de savoir ton nom ?

Je gardais mon regard fixé sur elle. Près à «bouger » au moindre de ses mouvements. Je savais déjà que logiquement je ne devrais pas venir ici mais ... j’avais vraiment envie de venir et peut-être cette fois-ci sera la dernière alors autant profité du faite que je puisse venir, non ? J’attendais tranquillement sa réponse sans rien dire avec toujours le même air et réfléchissant en même temps à quelle genre de personne cette jeune femme pourrait-être. Dans le monde entier il existe bien de différentes femmes. Aucune ne se ressemble et pourtant chez beaucoup on peut retrouver un petit quelque chose qu’elles ont toutes. J’ouvris alors mon livre, pris la plume qui se trouvait bloqué entre deux pages et commençait à écrire. Puisqu’elle sait que je suis un Noah, je ne vois pas pourquoi je devrais faire semblant d’être ce que je ne suis pas. Même si je suis certain qu’elle va trouver ma manière d’écrire très étrange car oui logiquement on à besoin d’un encrier pour écrire. Mais tout ceux-ci n’est qu’une simple logique qui ne s’applique point avec moi. Enfin, bref cela vous le savez déjà. M’appliquant comme toujours, j’écrivais simplement quelques notes dont je me souvenais et dont j’avais oublié de noter. Même si en même temps, je regardais toujours la jeune femme en face de moi presque prête à vouloir me tuer. Je ne comprenais pas pourquoi elle était hésitante. Avait-elle un souvenir particulier ou un secret qui lui rappelait certaine chose en rapport avec les Noahs. Je suppose que cela doit être ça puisqu’elle à facilement deviner ce que j’étais. En tout cas si elle ne m’attaque pas, je ne le ferai pas non plus. Je n’en ai pas envie et je ne suis pas venu pour ça, de plus dans un sens je ne devrais pas être là.

Une fois mes quelques notes écris je refermais mon livre délicatement et relevais mon regard vers elle, cette exorciste dont je voulais savoir le nom. En apprenant un peu plus sur elle, peut-être que je pourrai me rappeler de quelque chose dont on m’a parler à son sujet qui sait !

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¤ "Tu es suicidaire? Un autre que moi t'aurais déjà tranché en deux,à supposer qu'il aurait senti ton aura de Noah! Et quand on est un gentleman, la politesse voudrait d'abord qu'on se présente avant de demander à une "lady", comme tu dis, de décliner son identité!"

Mon sourire amusé s’agrandissait. Huhu, c’est amusant comment cette jeune femme réagis. Elle était vraiment amusante. Mais j’ai comme l’impression que je sais déjà quelque chose. Elle dit alors :

"Original comme pouvoir... Tu es l'incarnation des mots si je comprend bien? Si mon nom t'intéresse à ce point le voici: dans l'ordre, on me connait sur le nom de "Naomi" mais chez vous c'est plutôt "princesse Isil"
"Si le comte a eu l'esprit de te parler de moi tu devrais savoir que je suis sa "fille"..."

Je la regardais. Elle est vraiment intéressante. Je regardais à nouveau mon livre. Je l’ouvris, tournais quelque pages et notait ensuite autre chose. Il valait mieux que j’y note maintenant si je voulais en m’en souvenir. C’est pas tous les jours que l’on peut croiser la fameuse « fille » du prince. D’un revers de la main, les des mots se soulevait puis s’éffaçait doucement. Je relevais la tête et dis enfin :

_ Voilà donc la fameuse « Princesse Isil ». J’ai étendu parler de toi à plusieurs reprise. Je n’aurais jamais penser te rencontrer d’aussi tôt. De plus je vois que tu as facilement deviner mon incarnation malgré le faite que je ne l’a cache pas. Et pardon de ne pas m’être présenter de suite. Je m’appelle Elliot Nightmare, enchanté.

Puis je laissais alors passer un cours instant. Un instant où je ne faisais que regarder la fameuse Naomi. Je détaillais chaque parcelle de son corps puis fini par continuer d’écrire dans mon livre. Je me reculais quelque peu, par la suite, me rapprochant de mon piano. Une fois fini d’écrire, je refermais à nouveau mon livre et regardais les touches blanches et noires du piano. Je fis quelques notes toute simples et fini par demander :

_ Et toi que viens-tu faire ici ? Au passage tu disais qu’un autre que toi m’aurais déjà tuer. J’en doute fort pour tout te dire. Pourquoi un autre que toi ? On dirait que tu as aucune envie de me tuer même si logiquement c’est ton devoir ... Et moi si je ne souhaite te tuer pour l’instant pour répondre à cette question qui pourrais être poser, c’est que je veux en savoir plus sur toi...

Je me tu ensuite et rejouais quelques note. Elles se trouvait être la suite des premières que j’avais jouer. Et puis de file en aiguille j’avais fini par jouer la mélodie en entier, attendant patiemment une réponse.
J’étais vraiment intrigué, il fallait dire. J’avais entendu de nombreuses fois parler d’elle par des Akuma le plus souvent mais comme je ne l’avais jamais vu, je ne m’étais fais aucun avis sur elle et c’était le moment pour moi d’en avoir un.

Quand elle avait dit son nom, le nouveau Noah (enfin "nouveau" elle ne sait pas quand il est rentré dans les rangs du comte) avait écrit son nom dont les lettres s'étaient mises à voler à disparaitre... De mieux en mieux, elle avait déjà entendu parler des pouvoirs des mots mais s'était "mieux" qu'elle ne l'aurait crue.

_ Voilà donc la fameuse « Princesse Isil ». J’ai étendu parler de toi à plusieurs reprise. Je n’aurais jamais penser te rencontrer d’aussi tôt. De plus je vois que tu as facilement deviner mon incarnation malgré le faite que je ne l’a cache pas. Et pardon de ne pas m’être présenter de suite. Je m’appelle Elliot Nightmare, enchanté.


"Enchantée... Si on veut"

Elle haussa les sourcils alors comme ça ils parlaient d'elle?

"Ha oui? Pour dire quoi?! Que je leur manque? Ou ils se moquent de moi parce que je l'ai est cru pendant 15 années? Je dirais que c'est plutot la seconde théorie!"

Elle remarqua qu'il la fixait de manière un peu trop bizarre... Elle soupira

"On t'as jamais dit que c'était impoli de fixer une dame?"

Dit elle en s'installant sur le divan blanc de la pièce en resoupirant. Elle déposa son livre à coté d'elle...

_ Et toi que viens-tu faire ici ? Au passage tu disais qu’un autre que toi m’aurais déjà tuer. J’en doute fort pour tout te dire. Pourquoi un autre que toi ? On dirait que tu as aucune envie de me tuer même si logiquement c’est ton devoir ... Et moi si je ne souhaite te tuer pour l’instant pour répondre à cette question qui pourrais être poser, c’est que je veux en savoir plus sur toi...


"Je voulais un petit coin tranquille... On risque pas de nous surprendre! Je leur ai dit que le premier qui me suivait passerait par la fenêtre au sens propre du terme!"

Bien que méfiante, apparemment Elliot ne lui voulait aucun mal et elle s'était remise à relire son livre la où elle s'était arrêtée... C'était quand même étrange, la seule vue d'une exorciste devrait déjà lui donner des envies de meurtre... Et pourtant, il était la à jouer du piano... Elle soupira.
Peut être que son père adoptif lui avait demandé d'enquêter sur elle...

"Tu es bien curieux! C'est pour toi ou pour mon "père"? ** Je le considère plus comme tel mais bon** Pensa t'elle avant d'enchainer: Je l'ai trahi aux dernières nouvelles! Tu devrais être déjà en train d'essayer de m'assasiner... Ou alors, tu n'es pas du genre à lever la main sur une dame?"

Spoiler:

Music



¤ Je tournais un moment mon regard vers elle et vit qu’elle s’était installée sur le divan blanc comme les murs de cette pièce et lisait un livre. Je ne regardais le titre de ce livre préférant retourner regarder mes mains glisser sur le piano et laissant sortir des notes différentes à chaque fois. Les touches blanches et noires, visibles les unes comme les autres se mélangeaient pourtant à chaque morceau de cette mélodie. Je fini alors par me rassoir pour pouvoir jouer d’une manière plus convenable. Puis Naomi répondit à ma question par :

"Je voulais un petit coin tranquille... On risque pas de nous surprendre! Je leur ai dit que le premier qui me suivait passerait par la fenêtre au sens propre du terme!"

Elle était vraiment intrigante. Quoi on peut dire que parfois j’ai aussi envie de passer certaines personnes par la fenêtre pour être sur d’avoir du calme ! Je continuais de jouer, toujours avec des notes assez profonde sur une mélodie assez triste, enfin, mélancolique dirais-je plutôt :

"Tu es bien curieux ! C'est pour toi ou pour mon "père" ? Je l'ai trahi aux dernières nouvelles ! Tu devrais être déjà en train d'essayer de m'assassiner... Ou alors, tu n'es pas du genre à lever la main sur une dame ?"


D’une main et rapidement j’ouvris mon cahier à la page que j’avais commencé. D’un revers de la main j’effaçais quelque chose puis une fois ma mélodie fini, je pris celui-ci et écrivais une nouvelle fois dedans. Je répondais en même temps à Naomi :


_ Je ne satisfait que ma propre curiosité. Je suis sûr que le prince n’aurais nullement besoin de nous, les Noahs, pour en apprendre ce que tu fais de jour en jour... Je ne frapperai pas une femme qui ne m’a rien fait il est vrai. Je préférai verser du poison dans son thé de cinq heures...


Je relevais les yeux vers Naomi et dis d’une voix amusé mais avec un ton un peu plus ... mystérieux dira-t-on :


_ Et puis si je te tue maintenant comment ferais-je pour nourrir ma curiosité. Je ne sais pas lire le passé et les pensées dans les entrailles pour te dire. De plus faire d’un corps un carnage sanglant n’es pas du tout mon genre. Je préfère transformer le corps de mes victimes en œuvres d’art.


Je fermais mon livre et recommençais à jouer mais juste avant je demandais ou plutôt dis :


_ Tu m’a l’air d’avoir beaucoup de mal avec les personnes de la congrégation n’est-ce-pas ? Ton passé leur porte à croire que tu pourrais les trahir... Ai-je raison ?

Elle lisait tranquilement son livre quand elle posa une question à Elliot tout en alterant son regard entre son livre et le jeune homme.
Elle finit par lui poser cette question:

"Tu es bien curieux! C'est pour toi ou pour mon "père"?Je l'ai trahi aux dernières nouvelles! Tu devrais être déjà en train d'essayer de m'assasiner... Ou alors, tu n'es pas du genre à lever la main sur une dame?"

_ Je ne satisfait que ma propre curiosité. Je suis sûr que le prince n’aurais nullement besoin de nous, les Noahs, pour en apprendre ce que tu fais de jour en jour...

** Mouais... Pas completement faux**

Je ne frapperai pas une femme qui ne m’a rien fait il est vrai. Je préférai verser du poison dans son thé de cinq heures...

Elle écarquilla les yeux puis elle regarda son livre avec une tête qui s'en fichait, cela la sureprenait pas. Elle faisait la même chose...

"Je faisais la même chose il y a une époque mais mon arme de prédilection c'est plutot le sabre"

_ Et puis si je te tue maintenant comment ferais-je pour nourrir ma curiosité. Je ne sais pas lire le passé et les pensées dans les entrailles pour te dire. De plus faire d’un corps un carnage sanglant n’es pas du tout mon genre. Je préfère transformer le corps de mes victimes en œuvres d’art.


Elle soupira avant de le fixer : "Si tu espères me surprendre, tu perds ton temps! "

_ Tu m’a l’air d’avoir beaucoup de mal avec les personnes de la congrégation n’est-ce-pas ? Ton passé leur porte à croire que tu pourrais les trahir... Ai-je raison ?


Elle ferma son livre et le refixa. Pourquoi lui posait il une telle question? Il devrait bien s'y attendre non? Et en quoi ça le regardait... Il était peut être impatient de rencontrer la femme qui a trahi celui qui l'avait receuillie mais bon...


"De quoi je me mèle? C'est plutot le Central qui me porte sur les nerfs si tu veux tout savoir"

Elle ressenti encore une des crises. Nom de nom! C'est pas vrai! C'était de plus en plus souvent ces derniers. Elle prit sa seringue remplie du liquide verdatre de sa poche et se piqua le coeur avant d'avoir une quinte de toux... Si ça continuait comme ça, les Noah n'avaient pas besoin de se débarasser d'elle...Sa maladie fera le sale boulot à leur place...

** C'est de plus en plus fréquent... Faudra dire au médecin d'augementer la dose!** Pensa t'elle

Music


¤ Je pus apprendre qu’à une époque, comme disait Naomi, elle utilisait aussi le poison mais que son arme de prédilection était plutôt les sabres. Et bien si elle est plus à l’aise avec ceux-ci soit, alors ! Pendant notre petite conversation, elle me fixait aussi et fini même par refermer son livre, comme j’ai fais à plusieurs reprise avec le mien. Elle ne voulait pas que je me mêle de ses affaires vu sa réaction, mais c’est justement des réactions comme celle-ci qui m’intrigue. Puis juste après je l’a vit prendre une seringue, la remplir d’une sorte de liquide vert se piquer le cœur puis avoir par la suite une quinte de toux. J’avais regarder attentivement ce que contenait la seringue et je trouvais ce liquide bien étrange. Je lui demandais donc :

_ Il semblerait que tu ais quelque chose d’assez grave pour faire pénétrer ce liquide directement sur ton cœur ... ?

Je me demandais ce qu’elle avait. Ce n’était, bien sûr, par de inquiétude mais de la curiosité. Pour un collectionneur de poison telle que moi, j’étais intrigué par ce liquide même si celui là n’avait pas l’effet voulu. Je lui dis aussi pour l’embêter vu qu’elle ne voulait pas que je mêle de ses affaires :

_ Central te porte sur les nerfs ! Et que disent-ils ? Des choses insupportables n’est-ce-pas ! Je n’en doutes pas une seconde.

Dis-je avec un air toujours aussi amusé. Je trouvais cela amusant de la taquinée de cette manière vu comment elle réagit à chaque fois. Je me retournais ensuite vers mon piano et réfléchis à ce que je pouvais jouer ensuite. Je voulais quelque chose de plus calme et plus doux. Au bout de quelque secondes je trouvais quelque chose à jouer. J’aimais beaucoup cette mélodie aussi. Bon il est vai que j’aime beaucoup de mélodie mais celle-ci je la joue plus souvent en ce moment pour tout dire. C’est calme et triste comme j’aime. Je peux jouer cette mélodie les yeux fermés et justement c’est ce que je faisais. Je préfère jouer les yeux fermés. C’est plus relaxant et plus apaisant. De plus ça un côté un peu magique de sentir ses doigts caresser les touches du piano et d’entendre la merveilleuse mélodie qui en sort. C’est étrange je sais mais j’aime bien et cela n’est pas discutable. Je me souviens de la dernière fois où j’ai joué cette mélodie au Manoir Nightmare et ... Je m’arrêtais alors d’un seul coup de jouer. Cette fois là, il n’y avait que lui et moi. Il n’y avait que Riff et moi à cet instant et personne d’autre pour nous déranger. Riff adorait me voir jouer du piano ... Je repris conscience de ce que je faisais et me remis à jouer comme si de rien n’était. Même si pour moi cela ne s’effacera jamais. J’ai souvent l’impression que chaque chose que je fais me rapporte à lui. Normale d’un autre côté, il s’occupait toujours de moi. Riff avait beau être le majordome de la famille, il préférait ne s’occuper que de moi. Après tout tant Kateena s’occupait de Maryweather ma petite-sœur et Ludwig mon grand-frère était bien assez grand pour n’avoir besoin de personne... Une fois la mélodie finit, je continuais quand. Jouant comme ci cela n’avait aucune fin. Je représente le mélancolique à l’état pur il n’y a pas à dire... Ça fait déjà trois ans que Riff est mort mais pour moi c’est comme une éternité qui ne s’arrêtera jamais... Je demandais alors à Naomi, puisque parler d’année m’avait donner une question à poser :

_ Quelle âge as-tu Naomi ? Puisque logiquement il est disgracieux de demander l’âge d’une dame, je vais te dire le miens. Moi j’ai 17 ans.

¤ " Le comte est parfaitement au courant! Pour les détails adressent toi à lui ! "
_ Mais j’ai envie que tu me le dise toi.

Elle allait ensuite servir les deux verres de ce liquide transparent que l’on appelle eau, qui se trouvait sur une petite table proche d’elle. Naomi me tendit ensuite le verre m’assurant qu’il ne contenait rien si c’est ce que je voulais savoir. Je savais pourquoi elle me disait ça mais pourtant cette pensée de n’avait pas traversée l’esprit. Puis ensuite elle retourna se rassoir sur le divan blanc. Lorsque je lui posais ma question même si je connaissais la réponse, elle me lança un regard qui voulait tout dire... Puis vint la scène du piano et de mon cher Riff. Lorsque je m’arrêtais de jouer, Naomi fut sûrement surprise car je l’entendis prononcé mon prénom. Mais bon comme vous le savez je me suis remis à jouer et une fois fini je lui ais poser une autre question et voilà ce qu’elle me répondit :

J'ai 20 ans! Et pendant qu'on y est... Tu serais pas en "deuil" ? La seule raison pour arrêter quelque chose c'est que ça nous rappelle quelqu'un qui nous a quitté.

J’étais un peu surpris et aussi un peu amusé même si mon sourire était bien présent mes yeux affichaient un air bien mélancolique. Elle avait visée juste il est vrai. Je me remis alors à jouer sans répondre tout de suite à sa question. Je voulais jouer encore avant de parler de lui. Cette personne qui comptait le plus à mes yeux. Jouer les yeux fermés m’aidait souvent à me calmer pour parler justement calmement comme j’avais si bien l’habitude de la faire. Lorsque mes doigts arrêtèrent de toucher les touches du piano je répondis alors :

_ Tu es perspicace même si je suppose que tu te fiche pas mal du pourquoi et du comment et même du qui. Selon toi combien de temps peut durer un deuil ?

Pour moi un deuil n’a pas de forcément de fin. Celui-ci n’en a pas. Trois est déjà une éternité pour moi alors que devrais-je dire dans dix ans ? Je ne savais pas comment allais réagir Naomi. Elle avait sûrement du perdre des personnes précieuses mais avait-elle perdu la personne qui compte le plus à ses yeux ? Je ne pouvais le savoir que si elle me le disais. J’allais lui poser la question mais pas maintenant, pas encore. Je déciderai de quand, sera le bon moment pour lui demander. Pour pouvoir avoir de bonne réponse, il vaut mieux que ma question rentre bien dans le contexte sinon je n’aurais jamais la réponse que je veux ; enfin jamais est un bien grand mot. Je ne savais pas non en y pensant si Naomi allait me demander quoi que ce soit à son sujet. Bien sûr, si elle me demande je répondrais mais je ne sais pas qu’elle a envie de savoir l’enfant torturé du Noah des mots. Je tournais une fois mon regard mélancolique vers elle avant de le retourner sur les touches noires et blanches du piano ...

Spoiler:

Elle était assise sur le divan quand elle ressentit une de ses crises. Conformement aux consignes qu'on lui avait donné, elles'injecta son traitement pour ralentir sa maladie mais eu une quinte de toux. Evidemment Elliot en profita pour pour lui poser cette question:

_ Il semblerait que tu ais quelque chose d’assez grave pour faire pénétrer ce liquide directement sur ton cœur ... ?

"Le comte est parfaitement au courant! Pour les détails adressent toi à lui!"

_ Mais j’ai envie que tu me le dise toi.

"Et bien moi, je n'ai aucune envie de te le dire!"

** On serait pas ennemis je penserais qu'il me drague! Mouais... Mon imagination farfelue me joue encore des tours** Pensa t'elle

Elle se leva pour se servir un verre d'eau de la carafe tronant sur une petite table recouverte d'une nappe blanche avec de la dentelle. Elle en profita, que pas pure politesse, pour servir un verre à l'invité surprise (et pour une surprise c'est une surprise!) et le lui tendit.

j'ai rien mit dedans si c'est ce que tu te demandes

Dit elle avec un sourire. Elle se doutait qu' Elliot l'avait deviné, en tant qu'expert en poisons qu'il était, il l'aurait ressenti! Il lui reposa une autre question concernant son âge... Et en profita pour en poser une aussi après avoir remarqué qu'Elliot avait arrêté sa mélodie en plein milieu et était parti "sur la lune".

J'ai 20 ans! Et pendant qu'on y est... Tu serais pas en "deuil" ? La seule raison pour arrêter quelque chose c'est que ça nous rappelle quelqu'un qui nous a quitté

_ Tu es perspicace même si je suppose que tu te fiche pas mal du pourquoi et du comment et même du qui. Selon toi combien de temps peut durer un deuil ?

Elle soupira "Je prend ça pour un compliment!..."

Elle se rallongea completement sur l'accoudoir du divan avant d'enchainer "Qui te dis que je m'en fiche? C'est peut être le comte qui s'est occupée de quinze années de mon éducation, je n'en reste pas moins une humaine... Et la je suis humaine avant d'être exorciste..."

Elle se redressa avec un air et un ton mélancolique: "Comme toi, en ce moment,... Tu es un humain avant d'être un Noah... Et pour ta question..." Soupira t'elle " J'en sais fichtre rien!"
Elle alla chercher dans son décolleté le médaillon porte bonheur avec la photo de Luc et Léa souriant à l'objectif à l'intérieur. Elle l'enleva de son cou avant de dire à Elliot "Attrape!"
Elle lanca le médaillon à Elliot et dit "Je te présente Luc et Léa, les deux personnes que j'ai réellement aimé ne serait ce qu'un peu... Si tu me racontes ton histoire je veux bien te raconter la mienne...A une condition!" Elle fixa avec un air qui avait un air sérieux qui disait "je ne plaisante pas!" "Tu ne parleras de cette discussion à personne, je ferais de même de mon côté en échange!"

¤ "Qui te dis que je m'en fiche? C'est peut être le comte qui s'est occupée de quinze années de mon éducation, je n'en reste pas moins une humaine... Et la je suis humaine avant d'être exorciste... Comme toi, en ce moment... Tu es un humain avant d'être un Noah... Et pour ta question... J'en sais fichtre rien ! "

Je me retournais alors vers elle de façon à la regarder droit dans les yeux. Un humain ? Un mot insignifiant et fragile comme du verre. Laisser le tomber et il se brisera en mille morceaux. Que l’on soit un exorciste, un akuma ou même un Noah il nous reste tous une part d’humain que l’on était il est vrai. Mais d’un autre côté ce n’est pas parce que l’on est pas humain qu’on ne peut ressentir la douleur, l’amour ou autre sentiment qui nous correspond. Humain n’est qu’une étiquette qu’il sait lui-même attribué pour être différent des autres. En tout cas je ne fais pas partie de cette classe qui s'attribut des choses alors qu’elle est bien capable de s’entretuer par peur et même pour rien. Regardant Naomi je la vis alors prendre dans son décolleté ce qui semblait être un médaillon. Puis ensuite me l’envoyer en me disant :

"Je te présente Luc et Léa, les deux personnes que j'ai réellement aimé ne serait ce qu'un peu... Si tu me racontes ton histoire je veux bien te raconter la mienne...A une condition ! Tu ne parleras de cette discussion à personne, je ferais de même de mon côté en échange ! "

Elle m’avait regarder avec un certain regard ce qui m’amusait de plus belle justement. Dans un sens cela était intéressant mais pas dans l’autre. Je n’avais pas vraiment envie de parler de mon passer. Que ce soit de mon père et tout ce qui s’est passer avec lui ou de Riff ... Mais j’avais envie de m’amuser avec elle, je ne dirais que des petits indices et la laisserait trouver. De plus je ne vois pas pourquoi je devrais raconter mon passer avant qu’elle ne me raconte le sien. Je peux savoir son passer si je demande aux autres c’est vrai mais je n’aurais pas ce qu’elle a ressentit et c’est un grand manque dans son histoire que je veux savoir. Je lui dis :

_ Pourquoi voudrais-tu connaître le passer triste et sombre du Noah des Mots ? Par contre tu peux être sûr que je ne raconterais rien. Je suis comme l’une de mes grande-sœurs, j’aime savoir mais je ne raconte pas ce que je sais... Et puis pourquoi serais-je le premier à raconter et à parler des fantômes de mon passé ? Toi qui viens de me donner ceux-ci pour me montrer leur photo pourquoi tu ne commencerais pas ? Maintenant que tu as éveillé ma curiosité je veux savoir.

L’une des choses qu’on ne peut me reprocher de ne pas avoir c’est la malice. Je suis assez taquin lorsque je mis mets ! D’ailleurs j’adore ce côté de moi-même qui montre que je n’ai pas fais que pleurer durant mon enfance. Je renvoyais le médaillon à sa propriétaire et lui dis avec toujours ce sourire amusé :

_ Même si tu ne veux pas me raconter ton passer en première dis-moi ce que tu as réellement ressentit. Qu’est-ce que tu as vraiment ressentit à « ce » moment ? De la haine, une profonde tristesse ; ça je n’en doute pas. Mais dis-le moi avec tes mots. Parce que je suppose que tu ne m’a pas montrer ce médaillon par hasard de raconter ton passé.

¤ " Très bonne question ! J'en sais absolument rien ! "
_ Je ne te crois pas. Je sais très bien que tu le sais. Crois-moi, moi qui suis à la recherche de vérité aussi dure les une que les autres les mensonges ne fonctionne pas. Le meilleur des menteurs ne pourrait me duper car un simple geste, un simple regard en dis déjà long. Et ce silence qui s’est installé avant ta réponse veut bien dire que tu repensais à ces moments là, à ce que tu as ressentis ... Et aussi je devine assez bien ce que tu as du penser. J’en ai vu des choses pas très gai et pour ma part, lorsque l’on m’a enlever la personne la plus cher à mon cœur, c’est comme si le monde s’écroulait autour de moi. Un néant c’est créé dans une attente infini ...

Sur ce coup mon sang n’avait fait qu’un tour. Je ne plaisantais guère avec ce genre de sentiment. Je sais mieux que quiconque que perdre quelqu’un que l’on aimait de tout son cœur c’est plus que dur, c’est insupportable. Les seules choses que l’on fait ou que l’on veut faire c’est pleurer, crier notre souffrance, dans certain cas se venger et pour d’autre se donner la mort par la suite. Tout ses sentiments qui font que l’on nous qualifie de « vivant ». L’amour n’éxiste pas sans la haine, le bonheur est toujours accompagné du malheur. L’un n’est jamais sans l’autre, nous le savons tous mais pourtant dans ses infini moment que l’on aime tant, le faite d’être avec ceux que l’on aime, on voudrait croire que tout ça est impossible. Que l’on ne peut pas ni le briser, ni y souiller ...

_ Tu as dis que tu voulais savoir des choses sur mon passé. Je peux d’or et déjà te dire que j’ai passé toute ma vie à pleurer et que mon âme comme mon corps est marqué de cette souffrance infini... Alors ne me mens pas, de plus je ne vois pas pourquoi tu le ferais !

Je me retournais une nouvelle fois et regardais les touches du piano. De ma main droite et doucement je commençais à rejouer quelques notes de cette musique qui me rappelais Riff. C’est une douleur incessante qui ne partira jamais et qui ne pourra être guéris. Cette plaie pourra sûrement être mis au repos si un jour j’aime quelqu’un d’un véritable amour mais lorsque cette personne aussi aura disparu, cette plaie reviendra et pas toute seule en plus. Mais je ne jouais que quelque notes et ne continuait guère après. Le sentiment que j’ai de la mort de Riff est déjà assez présent dans mon cœur pas la peine dans rajouter plus même si mon âme mélancolique d’un passé sombre malgré tout recherche toujours à se rappeler.

Apparemment, elle avait beau savoir mentir, son interlocuteur l'avait bien deviné...Son silence l'avait trahie...

_ Je ne te crois pas. Je sais très bien que tu le sais. Crois-moi, moi qui suis à la recherche de vérité aussi dure les une que les autres les mensonges ne fonctionne pas. Le meilleur des menteurs ne pourrait me duper car un simple geste, un simple regard en dis déjà long. Et ce silence qui s’est installé avant ta réponse veut bien dire que tu repensais à ces moments là, à ce que tu as ressentis ... Et aussi je devine assez bien ce que tu as du penser. J’en ai vu des choses pas très gai et pour ma part, lorsque l’on m’a enlever la personne la plus cher à mon cœur, c’est comme si le monde s’écroulait autour de moi. Un néant c’est créé dans une attente infini ...

Elle soupira... Bigre! Il était futé celui la

_ Tu as dis que tu voulais savoir des choses sur mon passé. Je peux d’or et déjà te dire que j’ai passé toute ma vie à pleurer et que mon âme comme mon corps est marqué de cette souffrance infini... Alors ne me mens pas, de plus je ne vois pas pourquoi tu le ferais !


Elle re soupira

"Bon ok, alors voila ce que j'ai ressenti: de l'angoisse, de la tristesse et de la colère!"

Elle bu une gorgée d'eau

"Ca te va comme descriptif ou je continue? De plus qui me dis que tu n'utiliseras pas mon passé de l'année que j'ai passé loin de cette fichue guerre comme mon point faible?"

Elle entendit des bruits de pas au loin ainsi que des cris qui devenait de plus en plus descriptible qui disais "...ER!... WEAVER! ... MISS WEAVER!! OU ÊTES VOUS MISS WEAVER ?!" En gros, on était en train de la chercher... Nom de nom! Si on la voyait en compagnie d'un Noah ça allait barder!
Elle se releva et regarda Elliot en reprenant son pendentif avec la photo de Luc et Léa

"'ils me cherchent! Tu ferais mieux de déguerpir et en vitesse! Je sais d'ailleurs pas ce qui me prend de vouloir te sauver la vie...Peut être serait ce une manière un peu trop ridicule de te faire avoir? Je vois d'ailleurs d'ici les membres de la congrégation dire "on a trouvé un Noah accompagné d'une exorciste dans la salle du piano". Plus ridicule, tu meurs!
Enfin bref! Je vais faire diversion! Rentre chez toi, je dirais bien passe le bonjour au comte mais sans façon! Au plaisir de se revoir..Autre part que sur un champ de bataille!"

Elle reprit sa veste d'exorciste et alla ouvrir la porte de la salle blanche au trônait le piano et regarda à droite et à gauche. Ne voyant personne, elle sorti discrètement et se retrouva nez à nez deux "couloirs" plus loin avec la troupe de central qui la cherchait

"Mes respects miss Weaver" dit un des soldats "le grand intendant doit vous donner une missions! Veuillez me suivre"

"Merci mais je crois m'en être rendue compte toute seule!" soupira t'elle complètement blasée par le comportement idiot des membres du Central si on la cherchait c'était soit primo: pour la harceler ou soit pour lui donner une mission.
Elle les suivi en dehors de l'arche direction la Congrégation de l'Ombre

¤ "Bon ok, alors voila ce que j'ai ressenti: de l'angoisse, de la tristesse et de la colère ! "
"Ca te va comme descriptif ou je continue? De plus qui me dis que tu n'utiliseras pas mon passé de l'année que j'ai passé loin de cette fichue guerre comme mon point faible ? "
_ C’est pas vraiment précis mais bon je vais m’en contenter. Et qui te dis que je vais utiliser ton passé ? Je me sers de différentes choses selon les personnes. Après tout je suis le Noah des mots mais rassure toi je n’utiliserais pas ton passé ou que non...
"' Ils me cherchent! Tu ferais mieux de déguerpir et en vitesse! Je sais d'ailleurs pas ce qui me prend de vouloir te sauver la vie...Peut être serait ce une manière un peu trop ridicule de te faire avoir? Je vois d'ailleurs d'ici les membres de la congrégation dire "on a trouvé un Noah accompagné d'une exorciste dans la salle du piano". Plus ridicule, tu meurs!
Enfin bref! Je vais faire diversion! Rentre chez toi, je dirais bien passe le bonjour au comte mais sans façon! Au plaisir de se revoir..Autre part que sur un champ de bataille ! "
_ Je connais cet endroit par cœur pas la peine de faire diversion et puis je suis le Noah des mots ne l’oublis pas, je connais toute les belles paroles pour embobiner ! Et puis je sûr que l’on se reverra, c’est obligé !

Elle sortit dans son côté et moi du mien. Je connais cet endroits dans ses moindres recoins. Je savais par où je devais aller pour retourner à la nouvelle Arche. Seuls les Noahs le savent d’ailleurs. Même si j’étais curieux d’aller voir autre part je savais très bien qu’il était tant de rentrer à la maison une bonne fois pour toute. Si mes aînés ne me tape sur les doigts se sera déjà bien comme ça. D’ailleurs j’ai deux trois recherche à faire et un nouveau poison à tester. Oui, il vaut mieux que je rentre maintenant.J’ai d’autre livre à remplir maintenant et j’aurais une nouvelle historie à raconter. Je regardais une dernière fois, cette endroit où tellement de souvenir étaient ancrés. Les balades avec mes sœurs ou les petites bêtises, les disputes, les course poursuite ... Il y a tellement de chose ici qui sont pour la plus part noté dans mes livres. Je soupirais, d’un soupire amusé et rentrait. Bien évidemment comme tout le monde doit s’en douter j’ai testé mon poison sur des personnes choisis attentivement. Des personnes qui ont une histoires assez intéressantes et qui méritent de mourir !

Sur quelque notes de piano, on peut lire l’histoire tragique d’une personne quelconque, qui a une vie quelconque mais une mort remarquable !